« Si les auteurs, illustrateurs, scénaristes ont faim, et n’ont pas de pain, qu’ils mangent de la brioche, enfin... », disait Marie-Antoinette, dont le goût pour les sucreries était bien connu. Évidemment : la reine, disant cela, n’avait déjà plus toute sa tête – et l’on sait qu’elle a fini par la perdre. Mais les créateurs du monde du livre, quitte à choisir, préféreraient croquer plus gourmandement une part du gâteau.