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Margaret Atwood

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Margaret Atwood, des romans pour deux siècles

Dans l'imposant paysage littéraire — romans, poèmes, essais — dressé en cinquante ans par Margaret Atwood, il a été choisi ici de centrer la lumière sur quatre de ses romans. Autour du diptyque incontournable constitué par La Servante écarlate (1985) et sa suite, Les Testaments (2019), l'éclairage est porté sur deux autres ouvrages qui se situent aux extrémités de cet arc romanesque : Faire surface, publié en 1972, ouvre aux premiers romans de l'auteure et permet d'y déceler certains des thèmes qui trouveront dans La Servante leur développement. A l'autre extrémité, Graine de sorcière, publié en 2016, consacre, sous une forme réjouissante et brillante, tout le talent de l'auteure se colletant au génie de Shakespeare. L'exploration menée dans cet ouvrage déborde l'analyse littéraire pour donner place aux contextes politiques et idéologiques qui s'y réverbèrent, depuis l'utopie puritaine jusqu'aux années Trump ou aux débats sur la procréation assistée, et dessine le portrait d'une créatrice en constant mouvement, dans le dialogue incessant qu'elle poursuit avec son oeuvre elle-même, mais aussi avec ses lecteurs... et avec ses critiques. Aussi souvent que possible, l'auteur remonte au texte dans la langue originale.

09/2021

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Littérature étrangère

La petite poule rouge vide son coeur

Inédit en Poche Un recueil de nouvelles dans lequel Margaret Atwood, impitoyable, bouscule les idées reçues et joue avec la réalité pour la déformer. Dans un cocktail envoûtant de prose et de poésie, de fiction et de contes de fées, Margaret Atwood bouscule les idées reçues et joue avec la réalité pour la déformer. Au fil de vingt-sept courts textes, Atwood démontre à nouveau le jeu de son esprit infaillible, plein de virtuosité et d'audace. Elle nous livre, avec beaucoup d'humour, une véritable déconstruction des mythes et des images qui ont forgé " la " femme, le tout avec le charme de la fiction enfantine, et une douceur amère parfois désarmante. --------------------- " Un merveilleux échantillon miniature des talents sensuels et sarcastiques d'Atwood. " The Times " Margaret Atwood démontre qu'elle est une miniaturiste hors-pair. " Toronto Globe and Mail

12/1996

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Littérature étrangère

Lady Oracle

Cavale littéraire, roman d'une fuite en avant, d'une quête d'identité désespérée. Une jeune femme mène des existences multiples sans parvenir à les harmoniser : adolescente obèse, auteur de romans à l'eau de rose, épouse effacée, pseudo-terroriste... Autant de personnalités que de secrets, jeu périlleux bientôt insupportable. A bout de souffle dans ces vies contradictoires et mensongères, l'héroïne en vient à concevoir sa propre fin. Un suicide fictif merveilleusement mis en scène. Des rives du lac Ontario à l'Italie, le parcours et les rêves d'une héroïne lucide et drôle, tour à tour perdue et pleine d'audace, au regard ironique sur son propre sort. Un beau portrait de femme où la vie fantasmée rejoint le réalisme désabusé.

04/1997

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Littérature anglo-saxonne

La Servante écarlate

Devant la chute drastique de la fécondité, la récente dictature théocratique militaire à la tête de la république de Gilead, a réduit au rang d'esclaves sexuelles les quelques femmes encore fertiles. Vêtue de rouge, Defred, "servante écarlate" parmi d'autres à qui l'on a ôté jusqu'à son nom, met son corps au service de son Commandant et de son épouse. Le soir, en regagnant sa chambre à l'austérité monacale, elle songe au temps où les femmes avaient le droit de lire et de travailler… En rejoignant un réseau secret, elle va tout tenter pour recouvrer sa liberté. Le quotidien glaçant décrit dans ce classique de la littérature anglophone vendu à des millions d'exemplaires à travers le monde nous rappelle combien fragiles sont nos libertés.

01/1999

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Littérature anglo-saxonne

La Servante écarlate

Defred est en quelque sorte un bien national, à elle seule une entreprise de salubrité publique. En ces temps de dénatalité galopante, elle a dû mettre au service de la République de Gilead, tout récemment fondée par une poignée de fanatiques religieux, son attribut le plus précieux : sa matrice. Et c'est avec un sentiment mal réprimé de révolte qu'elle offre son corps, comme toutes les femmes en âge de procréer, aux privilégiés en mal de progéniture. Vêtue d'écarlate, à l'exception des voiles blancs de sa cornette, elle accomplit sa tâche comme une somnambule. Doit-elle céder à la révolte, tenter de tromper le système ? A ce jeu-là, elle a déjà tant perdu : son mari et sa fille lui ont été arrachés... Le soir, Defred regagne sa chambre à l'austérité monacale. Là, elle laisse affluer les souvenirs. Elle songe au temps où les femmes avaient le droit de lire, d'échanger des confidences, de dépenser de l'argent, d'avoir un travail, un nom, des amants... C'était le temps où l'amour était au centre de tout. L'amour, cette chose si douce aujourd'hui punie de mort... Saluée partout comme une oeuvre majeure, La servante écarlate est l'un des plus grands succès littéraires des dix dernières années aux Etats-Unis, au Canada et en Angleterre. La société répressive qu'y évoque Margaret Atwood n'est pas sans rappeler 1984 d'Orwell : un monde si proche du nôtre qu'il paraît en être issu. Mais au-delà de cette magistrale création d'un monde, c'est la question du rôle et de l'avenir des femmes - libres ou soumises ? - que pose, avec force, ce roman fascinant.

09/1987

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Littérature anglo-saxonne

La servante écarlate

" Les meilleurs récits dystopiques sont universels et intemporels. [... ]La Servante écarlate éclaire d'une lumière terrifiante l'Amérique contemporaine. " Télérama. Devant la chute drastique de la fécondité, la république de Galaad, récemment fondée par des fanatiques religieux, a réduit au rang d'esclaves sexuelles les quelques femmes encore fertiles. Vêtue de rouge, Defred, servante écarlate parmi d'autres à qui l'on a ôté jusqu'à son nom, met donc son corps au service de son Commandant et de sa femme. Le soir, dans sa chambre à l'austérité monacale, elle songe au temps où les femmes avaient le droit de lire, de travailler... En rejoignant un réseau clandestin, elle va tout tenter pour recouvrer sa liberté. Paru en 1985, La Servante écarlate est aujourd'hui un classique de la littérature anglo-saxonne et un étendard de la lutte pour les droits des femmes. Si la série adaptée de ce chef-d'oeuvre a donné un visage à Defred, celui d'Elisabeth Moss, cette nouvelle traduction révèle toute sa modernité ainsi que la finesse et l'intelligence de Margaret Atwood. La Servante est un roman polysémique, empli de références littéraires et bibliques, drôle même... et c'est à nous, lecteurs, de découvrir ses multiples facettes.

01/2021

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