Remonté et méchamment le Marc Levy, et plus particulièrement contre ceux qui fustigent sa littérature, qualifiée de « romans de gare », alors même qu'il s'apprête à sortir son prochain livre : Les voleurs d'ombres.
En même temps, Marc, romans de gare, c'est chouette, faut voir la bright side of life... Oui, mais non, dixit l'intéressé, dans une interview réalisée par l'AFP : « Le mot roman de gare, ou le mot roman de plage, font partie de ce vocabulaire utilisé par les pseudo-littéraires du milieu. »
Et bim ! Dans les dents des détracteurs. Mais c'est pas fini, la corrida ne fait que commencer ! « Roman d'été, c'est un truc qui donne bonne conscience parce que ça permet aux gens qui se prennent très au sérieux, mais qui ont quand même envie de parler un peu des livres qui se vendent, de dire : ça, c'est dans la catégorie roman de l'été. »
Re-bim, dans les ratiches, deuxième round. Les critiques littéraires ne tiendront pas la troisième reprise. Surtout que ces pédants croient qu'un roman qui sort en septembre, c'est bien plus intelligent qu'un livre publié avant les grandes vacances. C'est dire le niveau intellectuel de ces rustres !
D'ailleurs, le cercle 'germino-pratin', si Zola me passe le néologisme, a toujours affirmé clairement ses positions estime le talentueux romancier : « La critique parisienne n'aime pas les écrivains populaires. » Y'aka voir le temps qu'il lui a fallu pour consacrer Frédéric Dard ou Georges Simenon, qui aujourd'hui est dans la Pleïade, faut-il le rappeler ?
Fâché et très fâché, le monsieur Sony Reader friendly qui nous avait dédicacé notre PRS-505 lors d'un show-room sur les Champs... organisé par Sony. Son prochain roman de gare, qui sort le 17 juin, raconte « la nostalgie de l'enfance et [...] les rêves qu'on garde au fond de soi quand on devient adulte ».
Qu'on se le tienne pour dit, Marc Levy attend son heure...