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Marc Bloch, Lucien Febvre

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Livres, actualités : tout sur Marc Levy

Né le 16 octobre 1961 à Boulogne-Billancourt, Marc Levy connait plusieurs carrières avant de se mettre à l'écriture : le succès de son premier roman, Et si c'était vrai, en 2000, l'incite à se consacrer exclusivement à son activité d'auteur. Bien lui en a pris : à un rythme qui devient rapidement annuel, Marc Levy publie un roman qui devient presque automatiquement un ouvrage classé dans la liste des meilleures ventes.

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Roman, nouveautés : les livres de Marc Voltenauer

Né en 1973 à Genève, Marc Voltenauer se destinait à être pasteur. Après des études de théologie, il réoriente sa carrière vers la banque puis l’industrie pharmaceutique et écrit son premier roman, Le Dragon du Muveran qui a obtenu le Prix SPG au Salon du livre de Genève. 

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Romans, nouveautés : les livres de Marc Levy

À 18 ans, Marc Levy s’engage dans la Croix Rouge et il y passe 6 ans. Puis, après avoir créé une société spécialisée dans les images de synthèses en France et aux États-Unis, il dirige un cabinet d'architecture. 

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Romans, nouveautés : les livres de Franck Bouysse

Né en 1965 à Brive-la-Gaillarde, Franck Bouysse publie son premier roman en 2008, L’Entomologiste, aux éditions Lucien Souny. Entre 2008 et 2012, il signe une trilogie, la Trilogie H., aux éditions Les Ardents Éditeurs, avec des illustrations de Pierre Demarty.

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Livres, actualités : tout sur Andrée Chedid

Née le 20 mars 1920 au Caire, en Égypte, sous le nom Andrée Saab, Andrée Chedid y mène ses études, apprenant le français et l'anglais, et utilisant de manière ponctuelle l'arabe. Avec son mari Louis Selim Chedid, qu'elle épouse en 1942, elle part au Liban l'année suivante, où elle publie son premier recueil poétique, On the Trails of My Fancy, sous le pseudonyme A. Lake.

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Dossier

Le Prix Renaudot

Créé en 1926 par des journalistes et des critiques littéraires qui s'ennuyaient en attendant les choix des jurés du Prix Goncourt, le Prix Renaudot s'est depuis fait une place de choix au sein des prix littéraires de la rentrée. Il emprunte son nom à Théophraste Renaudot (1586-1653), journaliste et médecin français, connu comme le créateur de la presse et de la publicité françaises...

Extraits

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Sciences historiques

Lucien Febvre face à l'Histoire

Face à l'Histoire, telle aurait pu être la devise de Lucien Febvre. Né à Nancy en 1878, mais franc-comtois d'origine et de coeur, Febvre fréquente l'Ecole normale supérieure avant d'être nommé professeur au lycée Victor-Hugo de Besançon. C'est au coeur de cette Franche-Comté tant aimée qu'il rédige sa thèse qui lui permet de devenir professeur aux universités de Dijon et de Strasbourg. En 1929, il fonde avec M. Bloch la revue des Annales avant d'être élu au Collège de France en 1932. Il devient alors, selon la formule de Braudel, un "prince de l'histoire" et construit une oeuvre féconde. A partir de nombreuses archives inédites, ce livre offre un portrait nouveau de Lucien Febvre, plus complexe, plus précis aussi, grâce à une mise en lumière du milieu intellectuel dans lequel il a gravité pendant sa jeunesse et à des analyses renouvelées de ses combats et convictions, de son écriture de l'histoire et de la réception de ses oeuvres à l'étranger. Cet ouvrage offre l'occasion unique de le suivre, depuis le temps joyeux du Père Ubu, en passant par ses premiers engagements politiques, avant qu'il ne soit confronté à la violence de la guerre, expérience fondatrice qui irrigue ensuite toute son oeuvre et qui lui fait comprendre l'utilité de l'histoire, discipline indispensable à la vie car "seule capable [...] dans un monde en état d'instabilité définitive, de vivre avec d'autres réflexes que ceux de la peur".

10/2019

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Sciences historiques

Correspondance. Volume 2, De Strasbourg à Paris (1934-1937)

Le premier volume de la correspondance entre les historiens Marc Bloch (1886-1944) et Lucien Febvre (1878-1956), document unique sur l'un des mouvements intellectuels majeurs qui a contribué à renouveler en profondeur l'histoire, et plus largement les sciences sociales en France et à l'étranger, a permis de découvrir le moment particulièrement riche de la création, les premiers tâtonnements, les premières expériences, les obstacles aussi. Le volume II marque le transfert de la revue à Paris. Febvre est désigné, à la fin de 1933, au Collège de France. Bloch obtiendra plus difficilement dans la capitale un poste dans une conjoncture universitaire en crise. Les lettres se font l'écho des efforts vainement déployés par le médiéviste afin de rejoindre son ami au Collège de France, pour se retrouver à la Sorbonne, et éclairent les procédures de recrutement de l'une des grandes institutions françaises d'enseignement et de recherche avant la guerre. Précisément, à l'inverse du premier volume où les deux historiens ont paru préoccupés d'abord par la mise sur pied de l'entreprise, ce tome II s'ouvre sur l'événement, puisque les premières lettres évoquent principalement le 6 février 1934. Jusqu'à l'avènement du Front populaire, la montée des extrêmes, les lettres témoignent du désarroi de deux historiens pris dans le dilemme de la distanciation et de l'engagement. Troisième thème majeur de ce volume qui traduit encore l'intensité de l'échange et des débats entre les deux hommes : l'Encyclopédie française. C'est ici que l'on peut suivre l'implication de Febvre dans cette immense entreprise encore mal connue aujourd'hui. Les lacunes des lettres des années 1936 et 1937 trahissent la crise traversée alors par Febvre et qui touchera les Annales en 1938.

01/2004

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Sciences historiques

Correspondance. Volume 1, La naissance des Annales (1928-1933)

La pérennité et la fécondité, en France comme à l'étranger, d'une revue créée en 1929 par deux historiens de l'université de Strasbourg - les Annales d'histoire économique et sociale - ne sont plus à démontrer. Il a en revanche été jusqu'à présent presque impossible de savoir comment Marc Bloch et Lucien Febvre l'ont conçue et développée, ni de mesurer la part prise par chacun dans la gestion à la fois intellectuelle et matérielle de cette ambitieuse entreprise. Longtemps différée, la publication des quelque cinq cent trente lettres subsistant de la correspondance qu'ils échangèrent de 1928 à 1943 permet enfin de connaître la genèse de la revue. Ce premier volume (1928-1933) - qui sera suivi de deux autres - donne à voir les Annales en train de se faire : définition du projet, recherche d'un éditeur, constitution d'un noyau de collaborateurs proches des vues des deux créateurs, mise en place d'un réseau de soutien, conquête d'une légitimité au sein d'un monde universitaire pour le moins sclérosé. Il éclaire enfin nos générations sur la question, âprement discutée de nos jours encore, des relations entre ces deux hommes de génie : en dépit de quelques frictions passagères, ils furent amis, alliés, complices même, et cultivèrent en permanence une estime et une admiration réciproques. Écrites au fil de la plume, avec fraîcheur et spontanéité, dans le souci presque exclusif de faire sortir la discipline historique de ses habitudes et de ses attitudes en l'ouvrant aux sciences sociales (sociologie, économie, etc.), empreintes de préoccupations à la fois stratégiques et tactiques, elles constituent en fait le seul document sur les débuts des Annales et sur la personnalité d'historiens qui n'avaient pas le goût de l'ego-histoire. Elles offrent aussi une incomparable vision sur le monde savant des années vingt et trente, et sur les réseaux et les affinités des intellectuels d'alors. Le magnifique travail d'établissement et d'annotation des textes - sans oublier la collecte de multiples documents annexes - auquel s'est livré Bertrand Müller (auteur d'une bibliographie des articles de Lucien Febvre, chercheur au Fonds suisse de la Recherche scientifique et enseignant à l'université de Lausanne) ainsi que la substantielle introduction qu'il a rédigée font de cet ouvrage un véritable événement dans l'histoire culturelle de notre siècle.

01/2004

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Sciences historiques

Correspondance. Volume 3, Les Annales en crises (1938-1943)

Le premier volume de la correspondance entre les historiens Marc Bloch (1886-1944) et Lucien Febvre (1878-1956), document unique sur l'un des mouvements intellectuels majeurs qui a contribué à renouveler en profondeur l'histoire, et plus largement les sciences sociales en France et à l'étranger, a permis de découvrir le moment particulièrement riche de la création, les premiers tâtonnements, les premières expériences, les obstacles aussi. Le deuxième couvre les années de l'implantation de la revue à Paris, les débuts de l'Encyclopédie française et le difficile climat des années 1934-1937. C'est par une crise importante que s'ouvre ce volume 111. Crise aux raisons bien sûr multiples et qui a failli interrompre le mouvement en marche. Febvre et Bloch se séparent de leur éditeur et peinent, malgré la proximité géographique, à donner un souffle nouveau à leur collaboration. Ce qui ne sera pas sans conséquences sur une autre crise qui survient fin 1940 et début 1941, sur laquelle la publication des lettres, complétées d'importantes annexes, donnera enfin la connaissance la plus précise. Au-delà du problème de la nécessité de poursuivre ou non la publication de la revue aux conditions fixées par les lois raciales de Vichy, c'est aussi le destin particulier de Bloch que l'on peut suivre dans les mois de l'" étrange défaite ", dans ses réactions face à l'humiliation ressentie du fait de la discrimination dont il fut victime, dans la manière dont il s'est efforcé, par la Résistance, de faire face à ses responsabilités d'historien, de citoyen mais aussi de père de famille. La disparition des lettres de Febvre confère une dimension plus fascinante encore à un dialogue qui devient très émotionnel, en partie en raison d'expériences vécues très divergentes, par des possibilités et moyens d'action, enfin des destins très différents.

01/2004

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Haut Moyen Age (Ve au Xe siècl

Naissance de la France

Historien prolifique, Ferdinand Lot fait ici le récit de la période qui s'étend de la fin de l'empire romain aux débuts de l'âge capétien. L'ouvrage se présente comme un tableau de la France naissante, depuis l'arrivée des Francs jusqu'à l'an mil. La première partie, qui traite de la période mérovingienne, est construite comme la deuxième sur l'époque carolingienne : l'auteur étudie, suivant une architecture rigoureuse, les faits politiques, l'économie et les classes sociales, l'Eglise, et dans une perspective plus large, la civilisation du Moyen Age français. Pour Ferdinand Lot, l'Histoire est forcément critique. Elle est faite d'éléments perturbateurs qu'il faut comprendre dans leurs dynamiques propres, et dans la façon qu'ils ont de rendre l'Histoire, selon lui, parfaitement imprévisible. Cet ouvrage classique, fruit de soixante ans de recherche universitaire sur la période médiévale, constitue un éclairage singulier et vivant, à la fois accessible et savant, dans le débat historiographique actuel sur la naissance de la France. Ferdinand Lot (1866-1952) est un historien médiéviste français, spécialiste de la période capétienne, ancien membre de l'Académie des inscriptions et belles-lettres. "Une entreprise de Ferdinand Lot n'est jamais une entreprise banale. [... ] Quel salutaire non-conformisme chez cet historien qui n'a rien d'un iconoclaste bruyant ni d'un pourfendeur avantageux des doctrines reçues ! " Lucien Febvre, fondateur, avec Marc Bloch, de l'Ecole des Annales "Chez Ferdinand Lot, on retrouvera le mordant, la franchise décidée dans les jugements, le goût des vastes perspectives, brusquement entrouvertes. " Marc Bloch, fondateur, avec Lucien Febvre, de l'Ecole des Annales

02/2023

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Romans, témoignages & Co

Lucien

Lucien, pré-ado à l'enfance difficile, déraciné, écorché vif, est balloté de famille d'accueil en famille d'accueil. Il est devenu un objet qu'on déplace. Il est né de père inconnu ; sa mère a été internée dans un hôpital psychiatrique suite à des troubles déclenchés par la consommation de drogue. Lucien n'a qu'un rêve : retrouver sa mère, retrouver une vie enracinée dans un espace bien à lui. Fugueur, il flirte avec la délinquance, et a quelques ennuis avec la police. Sur sa route, il tombe sur un jeune chien abandonné qu'il adopte malgré le refus catégorique de sa famille d'accueil avec laquelle il va au clash. Il rencontre également Flora, jeune femme un brin originale, qui gère une petite ferme biologique, et qui, avec une grande délicatesse, tente de l'épauler. Surtout, il rencontre le docteur Marc Lamy, psychiatre et pédopsychiatre, profondément humain et pragmatique, qui, avec doigté, cherche à redonner confiance à ce garçon rebelle et méfiant. Cet enfant au passé chaotique va-t-il réussir à s'en sortir et à réaliser son rêve ? La fiction est suivie d'une interview du docteur Pierre Courbin, psychiatre et pédopsychiatre à Paris, qui s'est occupé durant trente-cinq ans de jeune primo-délinquants.

06/2022

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