Mon cher Hervé, j’ai feuilleté la correspondance de Baudelaire, éditée par le savant baudelairien Claude Pichois, deux volumes de la Pléiade. Je ne sais plus à quelle occasion j’ai acheté ces beaux livres. J’ai ouvert le premier tome au hasard (Correspondance I 1832-1860). J’ai commencé à lire devant les étagères et je me suis laissé prendre par cette vie prise sur le vif, par Charles Baudelaire en chair et en os.