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Maison des Sciences de l'Homme

Dossiers

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Dossier

Piktos Poche : une maison d'édition de petits formats

Le groupe éditorial toulousain Piktos crée une nouvelle maison d’édition dédiée au POCHE. Fruit du rachat de différentes marques éditoriales, le groupe Piktos, fondé en 2010, s’est nourri de plusieurs catalogues, de plusieurs savoir-faire et s’est construit dans l’écoute, le perfectionnement et l’enrichissement du partage.

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Leïla Slimani

Leïla Slimani est une romancière et journaliste franco-marocaine née en 1981 à Rabat, au Maroc. Elle va faire ses études à Paris, où elle étudie la science politique et les relations internationales à l'Institut d'études politiques de Paris (Sciences Po) et le journalisme à l'ESJ Paris.

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Dossier

Romans, nouveautés : tous les livres d'Alain Damasio

Alain Damasio, de son vrai nom Alain Raymond, est né le 1er août 1969 à Lyon. Il adopte son pseudonyme en hommage à sa grand-mère, Andrée Damasio. Après un baccalauréat scientifique, il poursuit des études à l'École supérieure des sciences économiques et commerciales (ESSEC), mais se détourne rapidement du monde des affaires pour embrasser la carrière d'écrivain, se spécialisant dans la science-fiction et la fantasy​​​​.

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Dossier

Le trône de fer : les livres de la saga A Song of Ice and Fire de George RR Martin

Le trône de fer est une immense saga d’héroïque fantasy qui s’inspire de la série des Rois maudits de Maurice Druon. C’est au début des années 1990 que Georges R.R. Martin commence à écrire Le trône de fer, le premier volume est publié en 1996. En 2007, la chaine de télévision HBO acquiert les droits d’adaptations. L’auteur lui-même participe à sa production et écrit le scénario d’un épisode par saison. 

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Dossier

Octobre, mois de l'Imaginaire, la littérature de demain

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Dossier

Piktos s'ouvre à la jeunesse

Déjà riche de quatorze marques éditoriales abordant des thématiques éclectiques telles que la santé, les sciences humaines, l’ésotérisme, l’écologie, la spiritualité et le développement personnel, Piktos désire aujourd’hui s’adresser à un nouveau public, avide de connaissances : celui des enfants.

Extraits

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Sociologie

La Maison des sciences de l'homme

Ce livre nous présente l'histoire de la Maison des sciences de l'homme, qui naît officiellement le 4 janvier 1963 lorsqu'elle est reconnue fondation d'utilité publique, mais dont les grandes lignes sont dessinées dès la période qui va de la fin de Seconde Guerre mondiale au milieu des années 1960, avec la VIe section de l'Ecole pratique des hautes études comme cadre institutionnel et la Fondation Ford comme support. L'auteur s'interroge également sur l'avenir de la FMSH dans un contexte institutionnel et scientifique en pleine transformation et dans une conjoncture politique et économique nationale et internationale en plein bouleversement. Nous verrons comment la FMSH, depuis ses débuts jusqu'à nos jours, contribue à une meilleure connaissance - pluridisciplinaire et transdisciplinaire - d'un monde devenu multipolaire et global.

02/2023

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Graphisme

Futurs de l'écriture

Ce numéro tente de répondre à l'invitation d'Arjun Appadurai à développer une " anthropologie du futur " qui rendrait compte de " la construction des avenirs culturels ". Nous l'avons donc axé sur des pratiques d'écriture qui nous semblaient, pour la plupart, relever des trois préoccupations qui, selon lui, modèlent le futur : l'imagination, l'anticipation et l'aspiration. Ce numéro voudrait mettre en valeur et en discussion des usages nouveaux de l'écriture portés par de grands domaines que nous avons privilégiés en raison de leur vitalité scripturaire : les mouvements militants, les écritures artistiques et le monde des professionnels de l'écrit (chercheurs, graphistes). Spécialistes des transformations de l'écriture elle-même, des combats et des expériences actuelles d'écritures inclusives et/ou non binaires qui sont menées par des typographes, des historiennes de la langue et des militantes féministes ont naturellement pris la parole dans ce numéro. Elise Goutagny tente un premier bilan des effets de ces propositions à partir de la collecte de manuels et de modes d'emploi de l'écriture inclusive produits ces dernières années. A cette contribution fait écho le compte rendu proposé par Lucile Haute du livre En finir avec l'homme d'Eliane Viennot, ainsi que celui de Lucile Encrevé concernant l'exposition du collectif " Bye Bye Binary ". Dans un tout autre domaine, nous avons mis en avant des expériences radicales, peu connues, émanant des mondes érudits : c'est le cas du papyrus Prisse, le " plus vieux livre du monde ", récemment exposé à la Bibliothèque nationale de France et qui a été " performé " par un acteur à la demande de l'égyptologue Chloé Raggazoli, entrainant par la même occasion une nouvelle traduction. En écho, Claire Bustarret montre comment l'agrandissement photographique des brouillons d'écrivains dans les années 1930 a ouvert la voie à de nouveaux courants de recherche. Enfin croisant anthropologie et archéologie, Claudia Defrasne et Philippe Hameau révèlent comment de nouveaux outils transforment l'approche d'expressions graphiques datant du néolithique. Une place particulière est accordée aux artistes, souvent considérés comme des " créateurs de futur ", à commencer par Catherine Zask, graphiste invitée à créer l'identité visuelle de ce numéro. C'est le cas également de Franck Lebovici, artiste engagé depuis longtemps dans des expériences littéraires basées sur des procédés de " data mining ", et du chercheur Gabriele Stera, qui a consacré sa thèse aux travaux de Christian Marclay sur l'usage détourné des sous-titres de films. Le dialogue entre Philippe Artières et Béatrice Fraenkel porte sur les monuments temporaires de Thomas Hirschhorn, rencontré pour ce numéro. La place centrale de l'écriture dans ses oeuvres y est discutée non seulement comme " écritures engagées ", mais aussi comme célébration d'un monde de l'écrit précaire, capable selon lui de donner consistance à une mémoire éternelle. La dimension politique habite plusieurs expériences présentées dans ce numéro. C'est le cas du projet de design participatif mené par la graphiste Silvia Dore et des initiatives graphiques produites en Amérique latine des années 1960 à nos jours, présentées dans l'exposition " Giro Grafico " (Museo Reina Sofía, Madrid, 2022) relatée par Francesca Cozzolino. Anthropologue immergée dans les luttes écologiques, Laurence Marty témoigne des usages variés et décisifs de l'écriture dans la vie des militant·es. Elle donne à voir comment s'ébauchent de nouvelles " humanités écologique " qui remettent en cause l'écriture des sciences humaines et sociales en prônant la recherche d'une langue nouvelle. A son tour, la contribution provocatrice de Pierre Déléage plaide pour l'expérimentation d'écritures multiples en anthropologie, notamment l'usage de la science-fiction qui lance un défi d'ampleur à la doxa académique et littéraire.

09/2024

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Linguistique

Interagir en situation de jeu

Le jeu comme objet d'étude suscite un intérêt grandissant, essentiellement en psychologie, sociologie et dans les sciences de l'information et de la communication. Ce numéro traite des interactions en situation de jeu, au travers d'une entrée sociolinguistique, la catégorisation. Dans une perspective ethnographique et ethnométhodologique, il s'intéresse à la construction et à l'émergence de différentes catégories en situation de jeu. Ces dernières années, des analyses discursives, interactionnelles ou ethnométhodologiques ont en effet mené à s'interroger sur les pratiques de catégorisation des joueurs et joueuses : quelles catégories sont mobilisées pendant et après le jeu ? Comment ces catégories sont-elles construites à travers les activités du jeu et dans l'interaction ? Et comment différents types de catégories (liés au jeu ou pas) se superposent ou s'entremêlent ? Ce dossier rassemble des recherches francophones étudiant des jeux de plateaux (Barbier ; Bécu-Robinault & Ghimenton), un jeu digitalisé (Heiden & Quignard) et des jeux sur la plateforme Twitch (Colón de Carvajal). Les auteurs et autrices s'appuient sur la théorie des rôles de Goffman, la membership categorization analysis et sur la théorie du positionnement afin de comprendre les pratiques et enjeux de la catégorisation pendant le jeu ou après-coup.

10/2024

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Linguistique

Coulisses et marges de la protestation

Si la dimension langagière des mouvements sociaux a fait l'objet de recherches dès les années 1960, les travaux existants privilégient dans leur majorité des corpus de paroles ou de textes publicisés. En faisant dialoguer les disciplines du langage et du discours avec la sociologie interactionniste, la théorie politique des (contre-)publics, l'histoire et la sociologie des mobilisations, ce dossier déplace le regard vers des productions langagières protestataires qui se situent en amont et en périphérie de leurs processus de publicisation. Un tel déplacement implique un travail d'enquête archivistique et/ou ethnographique pour transformer en corpus ce qui se dit et s'écrit dans les coulisses et les marges des mobilisations. Ce programme de recherche se déploie à partir d'une réflexion sur l'articulation de ces deux notions de coulisse et de marge (article de Manon Him-Aquilli, Juliette Rennes et Marie Veniard) et d'une discussion du vocabulaire conceptuel de James Scott pour analyser le " texte caché " des groupes dominés d'un point de vue sociolangagier (Mariem Guellouz). Le dossier explore également l'usage d'archives écrites pour saisir le travail de protestation au 19e siècle depuis ses marges (Dinah Ribard) et l'ethnographie des échanges langagiers en terrain militant pour investiguer la constitution ou le délitement des stratégies d'alliance entre des groupes (Lilian Mathieu) et l'élaboration collective d'un discours pour défendre une cause émergente (Laura Verquere). Il se clôt par un entretien collectif (avec Alexander Bikbov, Jean-Gabriel Contamin, Manon Him-Aquilli et Julien Talpin) sur les enjeux méthodologiques, épistémologiques et éthiques des enquêtes sur les coulisses militantes.

11/2024

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L'homme comme un "être d'habitude"

Les "Sciences du design" regroupent les disciplines universitaires professionnelles qui partagent un dispositif pédagogique historique et unique, celui de l'Atelier de design, dans lequel on dispense un enseignement appelé le "projet" de design. On y retrouve l'architecture, l'architecture de paysage, l'urbanisme, le design de produit, le design d'intérieur, le design graphique, le design de jeux, etc. l'anthropologie et l'épistémologie des sciences du design ont connu diverses mutations au gré des traditions pédagogiques qui ont façonné leur structure académique. Quatre modèles anthropologiques se sont succédé pour concevoir et structurer les savoirs qui doivent être enseignés aux futurs praticiens professionnels : le modèle romantique de l'Ecole des Beaux-Arts (le designer vu comme un artiste), le modèle triptyque du Bauhaus (le designer alliant art, science et technique), le modèle de l'acteur rationnel (le designer vu comme un "être de raison") et le modèle du praticien réflexif proposé par Donald Schön. Dans un essai intitulé Human Nature and Conduct, John Dewey énonçait : "Man is a creature of habit, not of reason nor yet of instinct". Le présent ouvrage propose les grandes lignes d'une anthropologie et d'une épistémologie fondées sur une vision du designer comme un "être d'habitude". Il s'agit de considérer les savoirs professionnels en design comme des "habitudes acquises". Ce modèle anthropologique et l'épistémologie qui en découle trouvent leurs fondements dans les écrits de plusieurs grands penseurs (Aristote, Charles S. Peirce, John Dewey, Maurice Merleau-Ponty, Paul Guillaume ou Pierre Bourdieu) appartenant à des champs disciplinaires divers comme l'éthique, le pragmatisme, la phénoménologie, la psychologie et la sociologie.

01/2021

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L'homme et sa maison

Figure pionnière et incontournable de la géographie française, Pierre Deffontaines publie ce texte majeur en 1972, peu de temps avant sa mort. Le géographe a alors dans ses bagages de "voyageur actif" d'innombrables lectures, carnets de terrain et dessins sur le vif ; de quoi nourrir abondamment plusieurs monographies régionales mais, surtout, donner corps à cet ambitieux volume sur la diversité des hommes au prisme de leur "marque essentielle" : la maison. De branchages ou de pierre, souterraines ou dominantes, bourgeoises ou agraires, groupées ou dispersées... les habitations des cinq continents sont ici répertoriées dans un souci d'exhaustivité et de description méthodique. Toutes spécifiques et adaptées à leur milieu, elles apparaissent sous la plume de ce passionné comme des structures dont la trame répond aux exigences d'ordre physique, économique et symbolique de leurs occupants. Sous-tendu par la conscience d'une uniformisation progressive de l'habitat et de la fin annoncée des modes de vie traditionnels, ce travail de synthèse s'entend comme une entreprise de recueil des principales empreintes humaines avant que ne s'éteigne un monde séculaire. Mais outre un précieux témoignage historique teinté d'ethnographie, les pages illustrées de ce classique de la géographie humaine recèlent entre leurs lignes un enseignement remarquable ; une leçon magistrale sur la science, sinon l'art, de l'attentive observation.

05/2021

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