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Ma vie sans moi, roman

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Ma vie sans moi, roman

Dans ce dix-neuvième livre, Ma vie sans moi, roman, Nathalie Rheims s'abandonne plus que jamais, et poursuit la démarche entreprise dans Laisser les cendres s'envoler (2014) et Place Colette (2016), ses deux derniers romans publiés aux Editions Léo Scheer.

08/2017

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Littérature française

Proust, roman familial

Toute mon adolescence, j'étais persuadée que les personnages d'A la recherche du temps perdu étaient des cousins que je n'avais pas encore rencontrés. A la maison, les répliques de Charlus, les vacheries de la duchesse de Guermantes se confondaient avec les bons mots entendus à table, sans solution de continuité entre fiction et réalité. Car le monde révolu où j'ai grandi était encore celui de Proust, qui avait connu mes arrière-grands-parents, dont les noms figurent dans son roman. J'ai fini, vers l'âge de vingt ans, par lire la Recherche. Et là, ma vie a changé. Proust savait mieux que moi ce que je traversais. Avant même ma rupture avec ma propre famille, il m'offrait une méditation sur l'exil intérieur vécu par celles et ceux qui s'écartent des normes sociales et sexuelles. Proust m'a constituée comme sujet. L. M.

09/2024

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Roman d'amour, roman sentiment

Encré sous ma peau

Un petit rien peut déclencher de grands changements. Ma vie se résumait à ma boutique de fleurs, mes amies et surtout aucun homme. L'amour, je n'y crois plus depuis longtemps, j'en ai assez bavé. Aucun homme ne trouvait grâce à mes yeux... jusqu'à ce qu'il arrache mon rétroviseur. Dan a débarqué sur sa moto, habillé de noir, sorti de nulle part, et il m'a envoûté. Sans rien faire, en un regard, il s'est infiltré sous ma peau comme un tatouage indélébile. Quelle ironie pour un tatoueur ! Dan ne veut pas d'amour et moi non plus, alors où est le problème ? On peut jouer sans se brûler, non ?

10/2022

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Littérature française

Proust, roman familial

Un roman qui médite sur le pouvoir émancipateur de la littérature, qui est aussi un pouvoir de consolation et de réconciliation avec la vie. - Rentrée littéraire 2023 - Toute mon adolescence, j'ai entendu parler des personnages d'A la recherche du temps perdu, persuadée qu'ils étaient des cousins que je n'avais pas encore rencontrés. A la maison, les répliques de Charlus, les vacheries de la duchesse de Guermantes se confondaient avec les bons mots entendus à table, sans solution de continuité entre fiction et réalité. Car le monde révolu où j'ai grandi était encore celui de Proust, qui avait connu mes arrières-grands-parents, dont les noms figurent dans son roman. J'ai fini, vers l'âge de vingt ans, par lire la Recherche. Et là, ma vie à changé. Proust savait mieux que moi ce que je traversais. il me montrait à quel point l'aristocratie est un univers de formes vides. Avant même ma rupture avec ma propre famille, il m'offrait une méditation sur l'exil intérieur vécu par celles et ceux qui s'écratent des normes sociales et sexuelles. Proust ne m'a pas seulement décillée sur mon milieu d'origine. Il m'a constituée comme sujet, lectrice active de ma propre vie, en me révélant le pouvoir d'émancipation de la littérature, qui est aussi un pouvoir de consolation et de réconciliation avec le Temps.

08/2023

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CD K7 Littérature

Proust, roman familial

Un texte sur le pouvoir émancipateur de la littérature, qui est aussi un pouvoir de consolation et de réconciliation avec la vie. Toute mon adolescence, j'ai entendu parler des personnages d'A la recherche du temps perdu, persuadée qu'ils étaient des cousins que je n'avais pas encore rencontrés. A la maison, les répliques de Charlus, les vacheries de la duchesse de Guermantes se confondaient avec les bons mots entendus à table, sans solution de continuité entre fiction et réalité. Car le monde révolu où j'ai grandi était encore celui de Proust, qui avait connu mes arrière-grands-parents, dont les noms figurent dans son roman. J'ai fini, vers l'âge de vingt ans, par lire la Recherche. Et là, ma vie a changé. Proust savait mieux que moi ce que je traversais. Il me montrait à quel point l'aristocratie est un univers de formes vides. Avant même ma rupture avec ma propre famille, il m'offrait une méditation sur l'exil intérieur vécu par celles et ceux qui s'écartent des normes sociales et sexuelles. Proust ne m'a pas seulement décillée sur mon milieu d'origine. Il m'a constituée comme sujet, lectrice active de ma propre vie, en me révélant le pouvoir d'émancipation de la littérature, qui est aussi un pouvoir de consolation et de réconciliation avec le Temps. " Ce que rappelle avec force ce livre, c'est le formidable pouvoir émancipateur de la littérature. " Elisabeth Philippe, L'Obs " Erudit, réjouissant, euphorisant. " Nathalie Crom, Télérama " Un des meilleurs livres qu'on puisse rêver sur Proust. " Tiphaine Samoyault, Le Monde des livres " Eblouissant. " Jérôme Garcin, Le Masque et la plume Prix Médicis essai 2023 ; prix Jean d'Ormesson 2024

10/2024

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Littérature française

Ma vie ; Amélie et Germaine ; Cécile

Au début du XXe siècle furent retrouvés, parmi les manuscrits de Benjamin Constant, trois récits inachevés à la première personne, en partie inspirés de sa vie. Ecrits entre 1803 et 1812, ils retracent une éducation sentimentale dans l'Europe du tournant des Lumières. Aux vagabondages et aux aventures sans lendemain rapportés dans Ma vie, authentique autobiographie où l'auteur revient, avec une ironie mordante, sur ses années de formation, succède le désir d'une liaison durable. "Il faut me marier, mais avec qui ? " : telle est la question posée dans Amélie et Germaine, qui met en scène, sous la forme d'un journal, son hésitation entre la fée du logis - Amélie Fabri, tomme douce et docile -, et la reine des salons - Germaine de Staël, intellectuelle à la personnalité affirmée. L'alternative est dépassée dans Cécile, fiction nourrie de l'incroyable saga que Constant vécut avec Charlotte de Hardenberg : les amants attendirent treize ans pour partager leur première nuit, et quinze ans pour se marier... Autobiographie, journal, roman : à travers ces trois oeuvres où il joue en virtuose des registres de la première personne. Constant livre le portrait lucide et sarcastique d'un moi qui n'est ni tout à fait lui-même ni tout à fait un autre.

02/2011

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