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Ma mère

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Littérature anglo-saxonne

Ma Mere

Edna Ford, 1910-1981. Entre ces deux dates, que s'est-il passé ? Une enfance banale dans l'Arkansas, une jeunesse turbulente pendant la Grande Dépression, un mariage, une naissance, des années de solitude, un cancer. En se penchant sur la vie de sa mère, qu'il a tendrement aimée, Richard Ford découvre que le grand secret, c'est qu'il n'y a pas de secret. Ce qui reste, c'est alors ce que Richard Ford se refuse à nommer, le sentiment poignant d'une perte, et celui, mystérieux, d'une identité profonde entre la mère et le fils.

02/2003

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Prière et spiritualité

Ma Mère

Chaque homme vient au monde par une mère. Mais si cette mère est présente à toute naissance humaine, la suite de l'histoire n'est pas la même d'un homme à l'autre : certaines mères sont très aimantes, d'autres moins , certaines vivent longtemps, d'autres meurent tôt. Ce qu'est sa maman pour un homme varie de l'un à l'autre. Il n'en est pas de même pour la sainte Vierge Marie, que Dieu a donné pour Mère céleste à tout chrétien, et dans un sens à tout homme. Par elle l'âme reçoit, au baptême, la vie surnaturelle. C'est le début d'une présence attentive, d'une bienfaisance tendre, d'une protection constante. Marie est une bonne Mère pour tous sans exception. La question est du coup de savoir si ses enfants, sur terre, sont de bons enfants : s'ils la connaissent, s'ils la prient, s'ils l'aiment. Ces belles vérités et ces grands devoirs sont exposés dans Ma Mère, du R. P. Joseph Schrijvers.

12/2022

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Non classé

Ma mère

"Voilà la mère que j'ai eue, la mère qui a fini par tant dépendre de moi. Imprévisible, obstinée, têtue, incernable, méfiante, manipulatrice, exigeante, quelque peu sorcière, soucieuse de tout contrôler, de tout maîtriser. Je mettais ces caractéristiques sur le compte du danger qu'elle devait ressentir à être d'une autre culture, d'un autre âge, d'un tout autre monde que celui dans lequel nous vivions. Avec, comme corollaire, la crainte de ne pas pouvoir protéger ses enfants, ces enfants qui ont toujours été pour elle rien de moins qu'une partie d'elle-même". Aldo Naouri explore le lien mère-fils et raconte comment la figure maternelle qui nous accompagne aux premiers jours de notre vie nous façonne, nous construit, nous marque de son empreinte. Ce livre est celui d'un auteur qui conjugue le regard de l'analyste et le talent de l'écrivain.

05/2021

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Littérature française

Ma mère

A la mort de son père, Pierre tombe sous la griffe d'une femme terrifiante et sulfureuse, à l'adoration dévoratrice : sa mère. Initié par elle à l'orgie et à la débauche, l'adolescent découvre une vie de perdition où se mêlent honte, jouissance, dégoût et respect. Face à un monde en dérive, perverti, comment aimer encore et apprendre à grandir ?

09/2012

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Littérature anglo-saxonne

Ma mère

L'hommage bouleversant et tout en pudeur de Richard Ford à la femme qui lui a donné le jour. Edna Ford, 1910-1981. Entre ces deux dates, que s'est-il passé ? Une enfance banale dans l'Arkansas, une jeunesse turbulente pendant la Grande Dépression, un mariage, une naissance, des années de solitude, un cancer. En se penchant sur la vie de sa mère, qu'il a tendrement aimée, Richard Ford découvre que le grand secret, c'est qu'il n'y a pas de secret. Aussi la réponse à la question est-elle : rien. Il ne s'est rien passé - de notable, de mémorable, d'extraordinaire. "Le grand romancier américain fait ses adieux à la femme qui lui a donné le jour. Et c'est bouleversant". Le Nouvel Observateur Né en 1944 à Jackson, Richard Ford est considéré comme l'un des chefs de file de la littérature américaine. Il est notamment l'auteur d' Indépendance , prix Pulitzer 1996, et de Canada , prix Femina étranger 2013. Primée dans le monde entier, toute son oeuvre est disponible chez Points. Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Josée Kamoun

04/2025

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Cinéastes, réalisateurs

Ma mère rit

"Au début c'était un cataclysme avec de la brûlure et de l'exaltation. Des mots, toujours les mêmes sans cesse répétés, j'ait fait connaissance avec les mots d'amour d'une langue ancienne. J'ai tant parlé. J'aurais pas dû. Oui, je revivais. J'arrêtais de voir ma mère mourir. J'arrêtais de ne pas vivre. Il y avait de la vie en moi. Toute une vie. Une pleine vie". Dans cet autoportrait écrit à vif, dans la brûlure, l'intensité et la crudité du quotidien, Chantal Akerman nous confie pour la première fois la matière même de toute son oeuvre, de toute sa vie. Depuis son premier court-métrage à dix-huit ans, Saute ma ville, en 1968, et ses premiers films, Je, tu, il, elle en 1974 ou le film culte Jeanne Dielman, en 1975, avec Delphine Seyrig, jusqu'à son dernier film librement réalisé à partir du roman de Conrad en 2012, La folie Almayer, en passant par ses installations et ses carnets de voyages, films documentaires en Russie, à New York ou dans les pays de l'Est, elle n'a jamais cessé de décrire l'enfermement, la répétition avec l'autre, le désir d'un ailleurs, le vertige de la folie. Ma mère rit est une magnifique plongée dans le coeur, le rire, les joies et les blessures de Chantal Akerman.

10/2013

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