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MAIN BASSE SUR L'OR DE LA FRANCE.

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1981 à 1995

MAIN BASSE SUR L'OR DE LA FRANCE.

18 mars 1998 : à 11 000 kilomètres de Paris et 4 100 mètres d'altitude,me voilà en "Tintin" reporter au nord-est du Pérou, à Yanacocha, l'un des plus riches gisements d'or du monde. Mirifique Filon... bradé par la France en 1994, lors d'une privatisation truquée, sous le président François Mitterrand, le premier ministre Edouard Balladur et Claude Allègre, alors président du bureau de recherches géologiques et minières, le BRGM. Scandale d'Etat... où l'on voit aussi, en 1997-1998, un " ami " du président de la République Jacques Chirac (et du président du conseil constitutionnel Roland Dumas) tenter de s'imposer comme " intermédiaire" dans cette ténébreuse affaire, à Coups de "menaces", "d'intimidations", voire de "chantage". A ce dossier exemplaire j'ai consacré neuf mois d'enquête en France, au Pérou et aux Etats-Unis. Voici les pièces d'un puzzle financier et intercontinental, où les intérêts de la France ont été délibérément sacrifiés. Voici comment 800 tonnes d'or - 12 milliards de francs - sont partis en fumée. Un dossier brûlant, accablant, où la friponnerie et l'impunité cohabitent avec l'anonyme et affligeante irresponsabilité d'acteurs de premier plan. " Jean Montaldo

09/1998

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Dictionnaires français

Main basse sur l'afrique

Les compagnies minières et pétrolières occidentales installées en Afrique pillent, tuent, commettent des crimes inhumains sans coup férir, allument les guerres ici et là. Cri de révolte, ce livre arrache le voile posé sur le pillage, la corruption, les crimes commis par les Occidentaux en général et, en particulier, par la France contre l'Afrique. Il contribue à éclairer la lanterne pour mettre fin à l'abus d'hégémonie surtout de la France en Afrique francophone. En effet, après des siècles d'esclavage, de traite négrière, de colonialisme et de néocolonialisme, la France continue de tenir toujours en laisse ses anciennes colonies par des accords secrets de tutelle. Et pour bien asseoir son hégémonie, elle installe ici et là sur les territoires de ces pays son armée pour défendre ses intérêts. Les dictateurs africains sont soutenus par la France, qui corrompent ses hommes d'Etat pour rester à vie au pouvoir. La France a commis beaucoup de crimes politiques, économiques et financiers en Afrique, qu'elle a toujours pris soin de laisser dans l'ombre ou de classer secret d'Etat. Elle a imposé aux pays africains francophones indépendants une monnaie appelée le Franc CFA. Elle a également inventé l'aide au développement qui n'est qu'une une finasserie pour maintenir l'Afrique dans la boue de la pauvreté. Il est temps que tous les Africains se lèvent comme un seul homme pour rompre avec fracas ce boulet encombrant, sonner le glas de ce perpétuel oeil du maître de la France. Il est temps que les Africains décident de prendre en main leur destin tant sur le plan politique, militaire, économique que monétaire. Il vaut mieux mourir debout que vivre toute sa vie à genoux.

03/2023

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Géopolitique

Poutine : main basse sur l'Afrique

La France est chassée de l'Afrique qui était autrefois son pré carré. L'après Barkhane se révèle un échec, nombreux étant les pays qui ne veulent plus de la présence française. La Russie et la Chine s'immiscent sur le continent et tentent de prendre en main les richesses naturelles. Explosion démographique, terrorisme, échec de la démocratie, guerres interethniques, ce numéro analyse la nouvelle donne en Afrique de l'Ouest.

04/2023

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Main basse sur nos forêts

Ce livre est une enquête documentée sur l'industrialisation des forêts françaises et les nouvelles menaces que font peser la "croissance verte" et la transition énergétique sur ces territoires. Il analyse notamment les logiques à l'oeuvre dans l'extractivisme forestier à outrance : surmécanisation, dégradation des sols, monoculture résineuse, destruction des savoir-faire, perte de sens du métier, financiarisation... Sous couvert de lutte contre le réchauffement climatique et de production d'énergie verte, des industriels veulent "mettre au carré" la forêt, la rendre productive et rentable. En parcourant la France à la rencontre des acteurs de terrains, Gaspard d'Allens s'est demandé comment nous pourrions collectivement nous réapproprier la forêt, son devenir, et inventer une autre voie que celle de l'industrialisation.

04/2022

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Main basse sur nos forêts

Les forêts deviennent une industrie ! Parée du discours trompeur de l'énergie verte et des vertus de la biomasse, une entreprise massive et silencieuse de transformation de la sylve en matière se déploie en France. Nous pensons la forêt comme le refuge de la liberté, nous la parcourons pour respirer le parfum de la nature, nous nous y réfugions des trépidations urbaines. Mais les abatteuses, les voies forestières démesurées, les centrales à biomasse sont en train de l'avaler, de la quadriller, de la standardiser. Cette dramatique industrialisation de la forêt, on ne l'avait pas encore racontée. Pendant des mois, des Landes au Morvan, de l'Auvergne aux Vosges, Gaspard d'Allens a couru les bois pour décrire et raconter le désastre en cours. Car la forêt subit maintenant la logique productiviste qui a ravagé l'agriculture, détruisant les emplois, dispersant les produits chimiques, gaspillant l'énergie, réduisant la biodiversité. Mais il est encore possible d'inverser le cours de la destruction. Des bûcherons réinventent leur métier, des forestiers promeuvent un usage doux de la forêt, des Zad luttent contre les machines. L'espoir est là, l'alternative est vivante, les humains et les arbres peuvent se réconcilier.

04/2019

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Ouvrages généraux

Main basse sur le Cameroun

Mongo Beti, écrivain camerounais, est connu pour ses romans, notamment ceux des années 1950, qui ont joué un rôle important dans la prise de conscience du colonialisme et dans la lutte contre celui-ci. Publié en 1972 par les Éditions François Maspero, Main basse sur le Cameroun était un réquisitoire contre les crimes du président Ahidjo, dictateur du Cameroun par la grâce du néocolonialisme français. Son but fut largement atteint, semble-t-il, puisque le livre fut interdit, saisi, l'éditeur poursuivi, et l'auteur l'objet de multiples pressions et menaces. Sa réédition, en 1977, dans une version revue, était encore d'une actualité brûlante à l'heure de l'intervention française au Zaïre. Mongo Beti montre en effet que les anciennes colonies d'Afrique occidentale française et d'Afrique équatoriale française, formellement indépendantes depuis les années 1960, n'en sont pas moins restées étroitement contrôlées par la France. Trente ans plus tard, ce livre reste un document historique majeur, indispensable pour comprendre les évolutions ultérieures de la " Françafrique ". Une préface inédite d'Odile Tobner, présidente de Survie, retrace l'histoire mouvementée de ses différentes éditions.

01/2010

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