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Même la mort peut mourir

Extraits

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Mondes fantastiques

Même la mort peut mourir

- Quatrième et dernier tome de la saga qui remet au goût du jour l'univers cauchemardesque de H. P. Lovecraft - Des adolescents tiraillés entre leurs pouvoirs monstrueux et leur humanité - Une série de Jean-Luc Marcastel qui mutliplie les références aux grands noms de la littérature fantastique (Verne, Conan Doyle...) En des temps immémoriaux, d'effroyables formes de vie dominaient le monde. En sommeil lorsque l'espèce humaine est apparue sur Terre, elles n'attendent que l'alignement de certaines étoiles pour régner à nouveau... Alors que l'Agence Lovecraft s'apprête à livrer l'ultime combat pour sauver l'humanité, l'équipage du Nautilus est atteint par un mal insaisissable, une " couleur " qui brûle ceux qu'elle contamine. Marie, qui accepte enfin sa nature de shoggoth, est la seule à pouvoir y faire face, mais au prix de son amour pour Ryan. Bouleversé par son sacrifice, le jeune Américain n'est pourtant pas au bout de ses peines. C'est en effet par son sang que Cthulhu peut s'incarner dans la réalité. Ryan restera-t-il fidèle à l'Agence Lovecraft ou rejoindra-t-il, comme son frère Jonathan, les hordes de l'impitoyable monstre ?

03/2023

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Théologie

Dieu peut-il mourir en Afrique ?

Il faut s'en persuader, même si cela va à l'encontre du discours habituellement tenu : l'étude objective des traditions connues révèle que les Africains ne croient pas tous en un Dieu unique, créateur, rémunérateur et vengeur. La croyance à l'au-delà n'est pas aussi évidente qu'on le dit souvent. Il y a des cas d'incroyance dans les sociétés traditionnelles, et il existe une tradition de pensée critique à l'égard de la religion que l'on trouve dans un grand nombre de contes. L'indifférence et l'incroyance se rencontrent aussi dans certaines sociétés contemporaines, non seulement parmi les lycéens, les étudiants et les intellectuels, mais aussi parmi les cadres, les commerçants, les employés. Les devoirs religieux sont habituellement négligés, la religion a peu de place dans les préoccupations de la vie quotidienne, les vérités de foi fondamentales sont mises en question. Il n'est pas rare que romanciers, sociologues, philosophes d'obédience marxiste ou non, présentent la religion comme une mythologie périmée, un frein au progrès de l'humanité, un instrument de domination et d'exploitation ou, tout simplement, comme une absurdité. L'effondrement des régimes communistes ne signifie pas nécessairement la mort de la pensée de Marx. Curieusement, le message final du Synode africain (mai 1994) ne souffle mot de l'indifférence religieuse et de l'incroyance en Afrique. On pense, bien à tort, qu'elles ne concernent pas l'Afrique et qu'à tout prendre il ne s'agit que d'importations étrangères tant il va de soi que l'Africain est doué d'" un sens naturel de la présence de Dieu ". Et si ça n'était pas le cas ? Certes, il ne s'agit pas dans cet ouvrage d'opposer à la thèse d'une Afrique incurablement religieuse, celle d'une Afrique irreligieuse. Il s'agit en fait d'aller au-delà des traditions les mieux assurées et de poser clairement un certain nombre de questions, qui paraîtront peut-être à certains inopportunes, mais dont la vie quotidienne des villes et des campagnes africaines révèle dès aujourd'hui l'urgence. L'étude du phénomène religieux en Afrique noire est bien moins avancée qu'il n'y paraît et le chantier est immense.

04/2013

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Vie chrétienne

Dieu peut-Il mourir en Afrique ?

Il faut s'en persuader, même si cela va à l'encontre du discours habituellement tenu : l'étude objective des traditions connues révèle que les Africains ne croient pas tous en un Dieu unique, créateur, rémunérateur et vengeur. La croyance à l'au-delà n'est pas aussi évidente qu'on le dit souvent. Il y a des cas d'incroyance dans les sociétés traditionnelles, et il existe une tradition de pensée critique à l'égard de la religion que l'on trouve dans un grand nombre de contes. L'indifférence et l'incroyance se rencontrent aussi dans certaines sociétés contemporaines, non seulement parmi les lycéens, les étudiants et les intellectuels, mais aussi parmi les cadres, les commerçants, les employés. Les devoirs religieux sont habituellement négligés, la religion a peu de place dans les préoccupations de la vie quotidienne, les vérités de foi fondamentales sont mises en question. Il n'est pas rare que romanciers, sociologues, philosophes d'obédience marxiste ou non, présentent la religion comme une mythologie périmée, un frein au progrès de l'humanité, un instrument de domination et d'exploitation ou, tout simplement, comme une absurdité. L'effondrement des régimes communistes ne signifie pas nécessairement la mort de la pensée de Marx. Curieusement, le message final du Synode africain (mai 1994) ne souffle mot de l'indifférence religieuse et de l'incroyance en Afrique. On pense, bien à tort, qu'elles ne concernent pas l'Afrique et qu'à tout prendre il ne s'agit que d'importations étrangères tant il va de soi que l'Africain est doué d'" un sens naturel de la présence de Dieu ". Et si ça n'était pas le cas ? Certes, il ne s'agit pas dans cet ouvrage d'opposer à la thèse d'une Afrique incurablement religieuse, celle d'une Afrique irreligieuse. Il s'agit en fait d'aller au-delà des traditions les mieux assurées et de poser clairement un certain nombre de questions, qui paraîtront peut-être à certains inopportunes, mais dont la vie quotidienne des villes et des campagnes africaines révèle dès aujourd'hui l'urgence. L'étude du phénomène religieux en Afrique noire est bien moins avancée qu'il n'y paraît et le chantier est immense.

05/1997

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Mort

Vivre la mort

"Quand j'entrevois, comme aujourd'hui, le simple fond des choses (ce qu'à la condition d'une chance infinie, l'agonie révélera sans réserve), je sais que je devrais me taire : je recule, en parlant, le moment de l'irrémédiable" , écrit Georges Bataille. Nous n'ignorons pas que la fin de vie est un combat contre la mort perdu d'avance. Mais surtout, nous redoutons tous les derniers moments d'une agonie, synonyme d'effroi et de désespoir. Est-on pour autant inéluctablement condamné à subir la tragédie finale ? Serait-il possible d'envisager, à l'heure sombre, le dévoilement d'une dimension autre ? C'est d'abord un itinéraire de lumière que nous propose Blandine Humbert dans un essai audacieux. Partant de notre condition d'homme vivant, de sujet ayant un corps, elle engage une réflexion pour vivre paisiblement, ou du moins réconcilié avec les autres et soi-même, le grand passage. A condition toutefois d'accepter les risques à courir... Les aléas du voyage, passivité et pauvreté, abandon et désespoir peuvent amener à une traversée où surgit de notre incarnation même la surprise de la rencontre de notre moi profond. Sans pour autant ignorer nos failles et nos vulnérabilités, la fin de vie peut être ainsi une occasion de consentir à ce que nous sommes, pleinement et joyeusement. A défaut de choisir de mourir, nous pouvons nous révéler jusqu'au dernier jour. Blandine Humbert est docteur en philosophie. Elle enseigne à l'Institut catholique de Paris ainsi qu'au Collège des Bernardins. Après un passage au Centre d'éthique clinique de l'hôpital Cochin, elle est aujourd'hui membre du conseil scientifique de la SFAP.

10/2023

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Ethique

La liberté de mourir

L'homme fait partie des vivants. Voilà, dira-t-on, une assertion des plus banales ! Elle recèle deux sortes de conséquences qui en montrent l'insondable teneur. La première est que le dire c'est le connaitre. Et le connaitre c'est faire montre d'une capacité proprement humaine, c'est être humain. L'homme est seul capable de connaitre et d'avoir finalement un discours sur lui-même... En cela, il est un homme. Voilà un fait remarquable qui guidera tout mon propos dans cet ouvrage. La deuxième conséquence de cette assertion est que, comme tous les vivants, l'homme va mourir... . L'homme est un vivant - parmi les vivants - qui va mourir - comme tous les vivants - et qui, par le fait qu'il est humain, le sait. Voilà une donnée inédite qui plonge volontiers chacun dans un abime de réflexions, de peurs et quantité d'autres vécus intérieurs... Le présent ouvrage se veut un effort, bien maladroit, de "secondarisation" , de mise à distance. Tout en recevant et embrassant la souffrance des uns et des autres, je tenterai d'aider chacun à se forger un habitus conforme à l'humanité de l'homme. J'en ai parlé plus haut, le fait de mettre en mots la question, si profonde pour l'homme, de sa mort est une manifestation de son appartenance à l'espèce humaine. Peut-être y a-t-il une manière encore plus humaine, dans le fond, de porter cette parole.

05/2023

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Non classé

Jusqu’à la mort

Fort d'une foi triomphante, un seigneur français entreprend, à la tête d'une troupe de croisés, la chevauchée qui doit le conduire vers la Ville Sainte. Le massacre des Juifs accompagne sa progression, mais bientôt, au sein de paysages désolés, la marche se fait plus lourde et l'esprit plus inquiet. Les malédictions, la mort frappent. Les survivants perdront tout, jusqu'à la pesanteur du corps, pour devenir l'expression d'un pur désir en marche vers une Jérusalem céleste, non plus ville, mais amour absolu. Neuf siècles plus tard, à Tel-Aviv, un vieux conférencier itinérant effectue un autre voyage, au bout de la solitude, de la paranoïa et de l'impuissance. C'est sous le double signe de la mort et de la haine que cheminent ces voyageurs avec lesquels le romancier nous ouvre le cercle vicieux du discours raciste. La haine, chez les chrétiens, engendre l'angoisse ; ils chassent le Juif autour d'eux, parmi eux, peut-être même en eux. Chez l'Israélien, elle est l'émanation de l'inquiétude d'un monde où la conscience débouche sur l'absence. Mourir pour Jérusalem. Etre un mort-vivant à Tel-Aviv. Deux faces d'une même obsession tragique.

11/2020

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