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Louise ou Les mères intérieures

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Littérature française

Louise ou Les mères intérieures

1982. Louise écrit Donner le jour où elle s'adresse à Marie, l'enfant qu'elle attend. Elle lui dit ses craintes de ne pas être une mère plausible, inventorie tout ce qui, dans ses ascendants, les livres, les beautés du monde, pourrait justifier son désir de devenir mère. 2020. Louise sommant sa fille d'accepter la donation des Volets bleus, Marie vient se confiner sur place pour prendre le pouls de la maison et de son enfance. C'est le début d'un jeu de piste où le passé que Marie a cru avoir vole en éclats. Trois femmes vont aider Marie à reconstituer le puzzle et à supporter la vérité. Dans ce cheminement, chacune est conduite à faire apparaitre et à risquer ce qui lui est essentiel. Toutes les quatre prolongent les luttes que les femmes ont menées pour naître à elle-même et au monde.

11/2024

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La Mère dans les contes de fées

A l'énoncé du mot "mère" s'éveillent toutes sortes d'impressions, car chacun colore le mot de sa propre expérience. Les contes de fées et leur analyse montrent que la mère extérieure, individuelle, a pour pendant la mère archétypique, ils dévoilent que cette mère intérieure revêt les caractéristiques très contrastées de la Grande Mère universelle. Sorcière ou déesse, maléfique, dévoratrice, ou protectrice, féconde, elle est, à l'image de l'inconscient, porteuse de tous les possibles. Accueillie, elle cesse de submerger, et devient créatrice comme la matrice.

05/2022

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Le bonheur est déjà là

Nous courons souvent après le bonheur comme s'il était une chose extérieure à nous-mêmes que nous pourrions, par nos efforts, l'acquérir une bonne fois pour toutes. Et il nous échappe toujours ! Pour l'auteur, ce bonheur que nous cherchons est invisible parce que nous ne savons pas le trouver au seul endroit où il se trouve vraiment : à l'intérieur de nous. De façon simple et imagée, il explique la nature intérieure du bonheur — un état de l'esprit — et dévoile quels sont les obstacles qui nous le font perdre de vue.

11/2019

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Etudes historiques

Les dernières Dames de Montargis

Voilà juste 500 ans que Renée de France est née, et l'occasion est belle de rappeler tout ce que Montargis doit à cette grande Dame. Mais la publication de l'ouvrage doit peu à ce hasard de calendrier. Depuis de nombreuses années, Anne d'Este et Renée de France sont l'objet de l'attention toute particulière des historiens locaux, et d'Huguette Leloup en particulier. L'ouvrage est l'aboutissement de toutes ces recherches menées au sein de la Société d'Emulation et des Amis du Vieux Montargis.
Renée de France et Anne d'Este sont-elles des figures locales ou des personnages incontournables de l'histoire de France ? Voilà bien le choix que toutes les biographies antérieures se sont contentées de faire. Elles sont les deux, et Huguette Leloup montre, pour la première fois, combien les contingences locales interfèrent avec les réalités nationales. Entre 1560, date de l'arrivée de Renée à Montargis, et 1607, à la mort d'Anne, il y a une "exception montargoise" .
Voilà deux femmes de la Renaissance, éprises d'art et de littérature, destinées par leur naissance à une vie de cour futile. Et voilà que les événements les obligent à assumer leur rôle de Dames, c'est-à-dire à exercer le pouvoir de la seigneurie de Montargis. Elles l'exercent avec un mélange d'autorité et de tolérance, et savent se prévaloir au besoin de leur sang royal, hérité d'Anne de Bretagne et de Louis XII.
La mise en perspective des deux biographies permet de mieux mesurer la liberté que les événements laissent aux deux femmes, et la liberté qu'elles se forgent elles-mêmes. Mais ce pouvoir de femmes s'exerce au milieu de guerres d'hommes, terribles et fratricides, dans une des périodes les plus troublées du royaume de France. "Guerres de religion" , dit-on. Renée, empêchée d'être ouvertement protestante, et Anne, contrainte d'être farouchement catholique : Renée et Anne sont sans doute les premières à avoir compris qu'en fait de "guerres de religion" , il s'agit de guerres de pouvoir, dans lesquelles la religion est prétexte.
Comme toujours... Avoir compris cela a sans doute permis à Montargis d'échapper aux grands massacres. On n'hésitera pas à dire que cet ouvrage savant se lit comme un roman. On garde longtemps en mémoire la réponse de Renée à son assiégeant Malicorne, qui avait mission de l'expulser de son château : "Malicorne, avisez ce que vous entreprenez ; car il n'y a homme en ce royaume qui me puisse commander que le roi : et si vous en venez là, je me mettrai la première sur la brèche pour essayer si vous serez si audacieux que de tuer la fille d'un roi".
Quant à Anne d'Este, est-ce le sang des Borgia qui la transforme en "mère louve" ou un désir légitime de vengeance contre ceux qui ont assassiné son mari et ses deux fils ? Cette lecture des biographies croisées de Renée et d'Anne est donc passionnante, mais elle est aussi nécessaire. Elle donne des clés pour les grandes interrogations de notre temps : interrogations sur les limites de la tolérance, sur l'exercic

09/2010

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