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Louis Guilloux

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Théâtre - Pièces

La Véritable Histoire de Thelma et Louise

Trois femmes. Thelma, Louise et Celle qui... Les deux premières, issues de la culture populaire et du cinéma américain, sont une trace vivante du refus de la vie monotone et de l'asservissement perpétré par la domination masculine. Celle qui... s'en souvient. Venue d'une autre époque, elle réinvoque leur puissance et leur pouvoir de résistance : celui du " Non " qui peut engendrer la métamorphose. Lors de la traversée hypnotique de l'Amérique, les voix se répondent, s'enchâssent, se remémorent, jusqu'au fameux saut final.

06/2024

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Littérature française

Coco perdu

Il ne sait pas encore, ce vieil homme qui soliloque dans les rues d'une ville de province, ce «retraité» dont toute la vie, sans doute, s'est passée à battre en retraite, le plus dignement possible - il ne sait pas encore, ce Coco perdu, qu'il se parle à lui-même parce qu'il n'a déjà plus d'interlocuteur. Il vient d'accompagner sa femme au train de Paris. Brève absence ? Court voyage ? Rien de tout cela... Après deux jours d'angoisse inavouée, le narrateur s'aperçoit que Fafa s'en est allée pour toujours. La détresse de Coco, le courage quotidien, l'humour et le désespoir, tout cela est comme tapi sous des paroles qui se donnent l'illusion d'être paroles en l'air.

03/1978

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Littérature française

Coco perdu

Il ne sait pas encore, ce vieil homme qui soliloque dans les rues d'une ville de province, ce "retraité" dont toute la vie, sans doute, s'est passée à battre en retraite, le plus dignement possible, il ne sait pas encore, ce Coco perdu, qu'il se parle à lui-même parce qu'il n'a déjà plus d'interlocuteur. Il vient d'accompagner sa femme au train de Paris. Brève absence ? Court voyage ? Rien de tout cela... Après deux jours d'angoisse inavouée, le narrateur s'aperçoit que Fafa s'en est allée pour toujours. La détresse de Coco, le courage quotidien, l'humour et le désespoir, tout cela est comme tapi sous des paroles qui se donnent l'illusion d'être paroles en l'air.

02/1978

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Littérature française

Coco perdu

Il ne sait pas encore, ce vieil homme qui soliloque dans les rues d'une ville de province, ce «retraité» dont toute la vie, sans doute, s'est passée à battre en retraite, le plus dignement possible - il ne sait pas encore, ce Coco perdu, qu'il se parle à lui-même parce qu'il n'a déjà plus d'interlocuteur. Il vient d'accompagner sa femme au train de Paris. Brève absence ? Court voyage ? Rien de tout cela... Après deux jours d'angoisse inavouée, le narrateur s'aperçoit que Fafa s'en est allée pour toujours. La détresse de Coco, le courage quotidien, l'humour et le désespoir, tout cela est comme tapi sous des paroles qui se donnent l'illusion d'être paroles en l'air.

03/1978

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Poches Littérature internation

Coco perdu

Il ne sait pas encore, ce vieil homme qui soliloque dans les rues d'une ville de province, ce «retraité» dont toute la vie, sans doute, s'est passée à battre en retraite, le plus dignement possible - il ne sait pas encore, ce Coco perdu, qu'il se parle à lui-même parce qu'il n'a déjà plus d'interlocuteur. Il vient d'accompagner sa femme au train de Paris. Brève absence ? Court voyage ? Rien de tout cela... Après deux jours d'angoisse inavouée, le narrateur s'aperçoit que Fafa s'en est allée pour toujours. La détresse de Coco, le courage quotidien, l'humour et le désespoir, tout cela est comme tapi sous des paroles qui se donnent l'illusion d'être paroles en l'air.

04/1990

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Littérature française

Le sang noir

Le Sang noir est l'histoire d'une journée de 1917, dans une ville provinciale de l'arrière. C'est à travers le calvaire du professeur de philosophie Merlin, dit Cripure (à cause de la critique de la raison pure), le tableau d'une société de pharisiens, de grotesques, de haïssables, en face de gentils, de révoltés, de victimes. Cripure, lui, s'il a été un révolté, ne l'est plus guère. Il est la caricature d'un homme extrêmement pitoyable. Moqué par ses élèves, vivant avec une gothon, sachant qu'une révolution se lève à l'Est, trop tard pour lui, haï par tous les patriotes de l'arrière, il veut se battre en duel, dans un dernier sursaut. Et, comme on le prive de ce duel et de son honneur, il ne lui reste plus que le suicide. Cripure qui, la nuit, dans son sommeil, entend une voix de femme lui demander : " Pourquoi as-tu envie de pleurer ? " , est une de ces figures les plus présentes qu'un romancier ait jamais crées. Il a beau sortir du roman, grotesquement vautré dans une troïka lamentable, agonisant, lentement escorté à travers la ville, jusqu'à l'hôpital, par deux agents cyclistes, il ne sera jamais oublié. Bien que retentissant des problèmes de 1917, Le Sang noir est un roman métaphysique, plus que politique. Cette dimension métaphysique et le foisonnement des personnages : Cripure, Maïa, Nabucet, Moka, Lucien... font du Sang noir le roman le plus dostoïevskien de la littérature française.

10/1935

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