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Liberté des lagunes

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Liberté des lagunes

"J'ai fait quelques pas. Je me sentais bien, léger. Pas faim, pas soif. J'ai vu le souffle du vent sur les frondaisons de l'autre côté de ma vallée. Et j'ai eu envie d'aller loin. Voilà. Au début, ce n'était rien de plus." Dans un temps où il n'est plus possible de vivre qu'en acceptant de se dissoudre dans un "on" totalitaire, ou de fuir dans un isolement volontaire tout aussi destructeur, un homme se met en marche. Exilé trop longtemps, il veut retrouver les traces de Celle qu'il a laissée, là-bas ; chemin de libertés, celle des lagunes ou - qui sait ? , mieux encore, qui pourrait être le nôtre, dans un monde à l'étrangeté familière. Ode à l'errance, ode à la liberté, ode à l'amour - mais peut-être tout cela est-il la même chose, l'auteur nous entraîne avec lui dans ses pérégrinations, au fil d'un récit poétique en forme de conte dystopique, spirale indécise qui pourrait le ramener vers Elle autant que vers lui-même.

01/2022

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Littérature Italienne

Je choisis la lagune

Plasticienne, Christine Célarier a deux "autres" passions, Venise et la littérature. Depuis de nombreuses années, elle se rend à Venise plusieurs fois par an. Là, au milieu des eaux, elle observe, dessine, prend des notes... Elle y croise des êtres chers. Elle y marche, de jour comme de nuit, dans les pas du grand poète disparu : Franck Venaille. Avec le temps, elle est même devenue l'amie de Micha, Micha Venaille, veuve du poète et lectrice attentive et bienveillante. Comme d'autres avant elle, Christine Célarier a donc choisi la lagune. Elle a choisi Venise, cette incroyable cité en partie engloutie sous les eaux et à laquelle elle offre ses mots comme elle a pu offrir, déjà, de très nombreux dessins. Venise est son royaume de prédilection, royaume placé à mi-distance entre ombre et lumière. Venise, de l'aube jusqu'au crépuscule. Elle nous propose trois nouvelles dont voici un extrait : "Aucun matin n'est semblable. L'un d'eux m'a étreint aux toutes premières heures du jour. Une tasse chaude à la main, le regard porté au dehors, j'ai furtivement vu une femme qui descendait les marches menant à l'eau du canal". Le décor est planté, l'ambiance pareillement. On assiste à la scène. COMMENT ? D'abord plasticienne, Christine Célarier peaufine ses proses avec justesse et précision. Elle ne dit jamais tout d'un seul coup. Elle dévoile, peu à peu. Elle libère. Elle a, surtout, plusieurs cordes à son arc. Et, en choisissant "la lagune" , elle a aussi choisi de percer quelques-uns des mystères de la langue, sa propre langue, en toute discrétion. Christine Célarier sait faire entrer, tout naturellement, la poésie dans la fiction. Ses récits, aux titres évocateurs et troublants, Sang lagunaire, Ombre nuit, Laissant le ciel à sa splendeur, ce dernier emprunté à un poème de Pasolini, ne cherchent au fond qu'une seule chose, l'impossible consolation. QUI ? Christine Célarier est née le 4 mars 1952 à Nevers (Nièvre). Diplômée de l'Ecole nationale supérieure des Beaux-Arts de Lyon (DNSEP). Professeure d'enseignement artistique de 1981 à 2013. Directrice de la classe préparatoire de l'ENSBA de 2006 à 2013. Commissariat d'exposition pour la Grange de Clavière en Ardèche, ainsi que pour La Grande Galerie, (lagrandegalerie. org) dans la Drôme avec un collectif d'artistes. https : //www. christine-celarier. com

09/2023

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La forêt qui libère

La lagune du triomphe, au coeur de la forêt Amazonienne Péruvienne est le lieu où des Chamanes depuis des millénaires pratiquent leurs rituels. L'auteur en prise aux difficultés inhérentes à la vie professionnelle d'un cadre exécutif expatrié d'une multinationale et à un mariage agité effectue le pèlerinage animé par une quête personnelle. Il est convaincu de l'importance de sa décision pour se retrouver et améliorer sa vie. Ce qu'il découvre avec Francisco le Chamane qui l'initie à l'Ayahuasca va bien au delà de ses attentes.

10/2015

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Essais sur les relations du travail avec le capital

" Il s'est fait de nos jours une insigne découverte, celle du peu que vaut la Liberté. Paradoxe et blasphème, allez-vous dire... . Nous en appelons de cet arrêt à une simple distinction qui sera toute notre apologie. Certaine liberté est excellente sans doute, mais seulement celle qui signifie gouvernement d'une nation par elle-même. Que si l'on entend par ce grand mot le moins de gouvernement possible, il n'y a là qu'une chose médiocre et trompeuse. La liberté, pour quelques esprits, c'est la faiblesse du gouvernement, l'humilité de son rôle, la pauvreté de ses attributions. Peu leur importe que le pouvoir soit l'élu et le surveillé de la nation, leur maxime n'en est pas moins celle-ci : le tenir constamment en échec et en défiance ; substituer en toute matière l'action des individus à celle de la société ; exclure l'Etat de tout ce qui concerne le culte, l'enseignement, les travaux publics, et lui interdire notamment toute intervention dans les choses d'industrie. C'est ce genre de liberté qui semble désormais frappé de défaveur, et dont l'expérience nous signale chaque jour les lacunes, les imperfections, les impuissances".

03/2023

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Tu es mon bienfaiteur

Aux corps de maintes parties adverses tirés vers les bas-fonds boueux, s'entremêlent la naissance de la liberté et de l'union des morts. Elle fournit des lâches et des tombes. Elle fournit aux coeurs, des mutilations extrêmes, générant, ainsi des lacunes au sein d'elle-même. Ces hommes sont indispensables au monde. Ils méritent aussi d'être. A moins qu'il n'existe de si vaillants, le monde serait vexations et brimades, rien que soumission et esclavage. Ce sont des bénévoles qui, pour le bien commun, perdent leur temps, leurs argents, leurs forces et leurs vies, au nom de l'Amour et de la Paix, qu'ils défendent et raccommodent inconditionnellement.

06/2023

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Biassou, Jean-François, Toussaint Louverture et les "noirs français" de Saint-Domingue

En 1792, pour les Espagnols de Santo Domingo, face aux troupes révolutionnaires de la partie française de l'île, il ne restait plus qu'à mettre à profit leurs dissidences. Par l'intermédiaire d'hommes de confiance persuasifs, il ne fut pas très difficile de contrôler, parmi les chefs, Jean-François et Biassou. Mais la liberté générale concédée par la Convention remit Toussaint Louverture dam le camp des Fronçais, faisant de lui un ennemi redoutable pour les Espagnols dont il connaissait les faiblesses. Ce revirement mit en danger la province espagnole qui ne pouvait plus se fier qu'aux troupes auxiliaires, les "Noirs français". Une fois la paix signée en 1795, qui entraînait la cession de la province à la colonie voisine, il ne restait plus qu'à reléguer les deux "généraux" et une partie de leurs gens en des provinces éloignées. Biassou se retrouva ainsi en Floride, mais Jean-François qui ne se montra pas aussi docile, mourut cependant de sa belle mort... à Cadix. Cette nouvelle recherche de Jean-Pierre Tardieu sur la vision espagnole des événements qui secouèrent Saint Domingue rectifie des erreurs et comble des lacunes en s'appuyant sur des archives espagnoles trop peu exploitées. Un livre important pour l'historiographie des indépendances des Antilles et de l'Amérique latine.

04/2021

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