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Lewis Mumford, Frank Lloyd Wright

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Anne Frank et son Journal

Morte en 1945 à Bergen-Belsen, Anne Frank a légué à l’humanité un journal devenu historique. Ce récit fait part des réflexions qui occupent la jeune adolescente, alors qu’elle est partie avec sa famille aux Pays-Bas, pour échapper aux nazis. Nous sommes en 1942, elle a 13 ans. 

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Franck Thilliez

Franck Thilliez est l'un des auteurs français de thrillers les plus connus et appréciés du public. Depuis plus de 15 ans, il enchaîne les succès critiques et commerciaux, avec des romans aussi captivants qu'angoissants. Son style narratif unique, mélange de suspense, de psychologie et de surnaturel, a conquis des milliers de lecteurs à travers le monde.

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Franck Bouysse

Né en 1965 à Brive-la-Gaillarde, Franck Bouysse publie son premier roman en 2008, L’Entomologiste, aux éditions Lucien Souny. Entre 2008 et 2012, il signe une trilogie, la Trilogie H., aux éditions Les Ardents Éditeurs, avec des illustrations de Pierre Demarty.

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Dossier

La littérature à Montmorillon, sous la présidence de Franck Bouysse

Du 2 au 4 juin prochain, la manifestation littéraire dédiée aux territoires et à leurs réalités en mouvement revient. Ouverte à toutes et tous des plus petits aux plus grands, elle offrira lectures, rencontres, débats, projections, ateliers, spectacle jeune public, repas festif, balades patrimoniales... 

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Dossier

Livres, BD, actualités : tout sur Alan Moore

Maîtres parmi les auteurs de bandes dessinées britanniques, Alan Moore est à l'origine de quelques-unes des œuvres les plus importantes du genre, notamment Watchmen (avec Dave Gibbons), V pour Vendetta (avec David Lloyd) ou encore From Hell (avec Eddie Campbell). Il a aussi signé plusieurs romans, dont le très remarqué Jérusalem, publié en France dans une traduction de Claro aux éditions Inculte.

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Dossier

De l'auteur à la création : le rapport Racine, une nouvelle politique publique

141 pages de constats, d’observations, de commentaires, découlant des différentes auditions menées ces derniers mois : le rapport de Bruno Racine fait office de pavé dans la mare, lancé depuis les hauteurs de la tour Montparnasse. Et le ministre de la Culture, Franck Riester, se laisse encore quelques semaines avant de présenter les mesures qui en découleront.

Extraits

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Beaux arts

Trente ans de correspondance 1926-1959

Frank Lloyd Wright (1867-1959), le célèbre architecte et théoricien de l'architecture organique, et l'historien et critique Lewis Mumford (1895-1990) ont joué un rôle crucial dans l'histoire de l'architecture et de l'urbanisme, comme en témoigne leur longue et abondante correspondance. Ces deux figures majeures de la culture américaine échangèrent plus de 150 lettres passionnantes, clairvoyantes, énergiques, spirituelles mais non dépourvues de tensions, qui illustrent à merveille le débat intellectuel sur l'architecture américaine et internationale du XXe siècle. C'est Frank Lloyd Wright, alors âgé de presque 60 ans, qui inaugure cet échange épistolaire en écrivant en 1926 à Lewis Mumford, qui n'a qu'une trentaine d'année. Renommé, mais en marge des tendances architecturales en vogue et confronté à des difficultés financières, l'architecte, en quête de critiques qui renouvellent son image, remercie de son soutien le jeune écrivain qui commence à s'imposer sur la scène newyorkaise. La correspondance prend son essor un an plus tard. Libres d'esprit, à la fois conservateurs et iconoclastes, les deux hommes trouvent vite de nombreux terrains d'entente, aussi bien professionnels que personnels. Au fait de l'actualité et de l'évolution contemporaine de l'architecture et de l'urbanisme, ils abordent de nombreux sujets, à commencer par leurs oeuvres respectives, et évoquent leurs alliés et leurs adversaires, l'avènement du Style international et les événements politiques qui bouleversent l'Europe et les Etats-Unis. Opposés à la sévère orthodoxie de modernistes tels que Le Corbusier, ils prônent tous deux, à l'instar d'Emerson, un meilleur usage de l'architecture et de la technologie au profit de l'environnement et de l'humanité, un point de vue qui faisait presque alors exception dans le panorama architectural. Affectueux et élogieux, Wright tient à l'approbation de Mumford et aspire à un rapport plus étroit. Plus prudent, souhaitant conserver son indépendance en tant que critique, Mumford refuse les multiples invitations de Wright à lui rendre visite dans son domaine de Taliesin, mais il n'en admire pas moins l'oeuvre de l'architecte - "modèle de l'architecture organique, construite en harmonie avec les rythmes de la vie moderne" - qui l'inspire. La Seconde Guerre mondiale interrompt brutalement cet échange profond et fécond, Mumford étant partisan de l'intervention des États-Unis en Europe, et Wright pacifiste et protectionniste. La correspondance ne reprendra que dix ans plus tard, à l'initiative de Wright. Une fois réconciliés, malgré leurs désaccords politiques et esthétiques, les deux hommes multiplient les témoignages d'affection et d'admiration. Sous la direction de deux grands universitaires, Bruce Brooks Pfeiffer, spécialiste de Frank Lloyd Wright, et Robert Wojtowicz, spécialiste de Lewis Mumford, cette correspondance est agrémentée d'une riche et rigoureuse introduction, de notes sobres et précises, d'un index, d'une chronologie de chacun des correspondants, ainsi que d'une note du traducteur sur leurs styles respectifs.

02/2017

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Développement durable-Ecologie

Lewis Mumford pour une juste plénitude

Lewis Mumford (1895-1990), critique d'architecture, enseignant et historien des arts, se mobilisa toute sa vie contre la guerre, contre l'armement nucléaire, et pour l'environnement. Il en vint rapidement à une critique virulente du capitalisme, tant comme système de production prédateur des ressources naturelles que comme système de consommation reposant sur le "toujours plus" et l'obsolescence programmée. Ecologiste attentif aux interrelations au sein du monde vivant et entre ce dernier et les humains, il étudie les villes dans leur contexte tant culturel que géohistorique ou social, et réfléchit à d'autres formes d'urbanisation reposant sur l'autonomie des habitants et sur l'entraide ; sa quête de la juste mesure nous alerte sur l'excès qui dégrade l'environnement, surconsomme de l'énergie et aliène et assujettit les citoyens, devenus consommateurs passifs et faussement satisfaits. Les précurseurs de la décroissance Les auteurs réunis dans cette collection constituent les racines de la pensée politique de la décroissance. L'apport de Lewis Mumford à cette pensée est présenté ici par Thierry Paquot ; la seconde partie de l'ouvrage est composée d'extraits qui offrent un accès direct à son oeuvre.

03/2015

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Beaux arts

L'estampe japonaise. Une interprétation

L'influence que le Japon – sa culture aussi bien que son architecture – a exercée sur le célèbre architecte américain Frank Lloyd Wright, est avant tout visible dans ses propres créations. Contrairement à ses contemporains aux États-Unis qui considéraient l’architecture européenne comme faisant partie de leur héritage, Wright a pris le Japon et la culture japonaise comme modèle pour son esthétique. Cette influence se manifeste également dans la constitution de collections d'objets d'arts, de sculptures et surtout d’estampes. En 1906, il expose à l’Art Institut of Chicago la collection d’ukiyo-e (des œuvres de Hiroshige) qu'il a commencé un an auparavant, à l’occasion de son premier voyage au Japon. Collectionneur (il fut l’un des premiers en Occident) et marchand incontournable, il développe immédiatement une théorie interprétative (qu’il publie il y a tout juste 100 ans), The Japanese Print : an Interpretation, devenue à la fois une lecture essentielle pour les experts et les amateurs de l’art japonais et pour tous ceux qui veulent comprendre l’architecture de Wright. Inédite en français, indisponible en anglais, nous proposons de ce livre deux versions : un tirage de la traduction en langue française réalisée par Laurent Bury et un tirage en langue anglaise, respectant le choix des textes et la présentation de la réédition de 1967.

10/2012

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Uurbanisme

Histoire naturelle de l’urbanisation

C'est au Néolithique que les premières villes se constituent dans les vallées fluviales. Au fur et à mesure que la domestication de certaines plantes (céréales) et animaux s'intensifie, la sédentarisation se généralise, des villages et des villes sortent de terre. Ces dernières se subordonnent les campagnes tout en se minéralisant. Le productivisme génère la mécanisation de l'agriculture, provoquant un exode rural. L'extension du chemin de fer et du domaine industriel facilite la multiplication des villes, de plus en plus peuplées, foyers des épidémies, des inégalités, des gaspillages des ressources non renouvelables et des pollutions, tant de l'eau que du sol. Il convient de contrer un tel processus qui dénature la planète en rééquilibrant l'urbain et le rural et en inventant de nouvelles configurations résidentielles. La cité-jardin, au début du XXe siècle, montrait le chemin... Lewis Mumford, de manière documentée et didactique, relate en 1956 cette géohistoire écologique des villes. Une telle approche transdisciplinaire est alors inédite, originale et convaincante. Il est possible de repenser les interrelations entre les campagnes et les villes, mais aussi entre les humains et le monde vivant, en les saisissant à travers la géohistoire des techniques, des mythologies, des religions, du droit, des structures familiales, des cultures.

07/2023

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Beaux arts

Les Brown Decades. Etude sur les arts aux Etats-Unis (1865-1895)

Les Brown Decades ont commencé après la guerre de Sécession : elles ont pris fin avec l'adoption de la frontière. La couleur de la vie en Amérique a changé par la suite. L'électricité a effectué des progrès pour notre civilisation mécanique : la période néotechnique était née. Les nouveaux appareils de libération du territoire, l'automobile, l'avion et la radio, ont été inventés : l'atome a révélé la complexité insoupçonnée et la psychologie a mis en lumière des profondeurs jusqu'alors intactes dans l'esprit. A côté de ces impulsions vives à la réflexion et à l'action sont des éléments plus sombres, aussi sombres que tout ce qui a été généré par la guerre de Sécession : la journée du pionnier industriel finie, un impérialisme agressif commençait la recherche de nouveaux marchés et par une centralisation constante du pouvoir et de la richesse, des villes monstrueuses ont commencé leur existence : l'embrigadement des hommes et de la culture de choses ont suivi. Les Brown Decades finissaient : leurs créateurs et initiateurs ont été négligés, jetés avec mépris de côté, leurs espoirs sont devenus insolvables ; leurs seuls monuments ont ironiquement défié le temps. Nous avons gagné et nous avons perdu. Qui peut pleinement montrer où, qui peut estimer combien ? Un changement définitif dans notre vie a eu lieu vers 1895 et il y a quelque chose derrière celui qui se perd dans un simple compte des choses, des forces, des machines, des institutions, des événements : quelque chose qui nous échappe encore et semble détenir un indice. C'était peut-être que seulement une couleur. Mais ce qui était valable dans l'art et dans la pensée des Brown Decades n'a pas cessé d'exister, même si cela a été temporairement oublié. Si l'on met l'accent sur les personnes négligées des Brown Decades, il n'y a pas a dénigrer les leaders reconnus ou a rabaisser tout à fait leur travail : il s'agit plutôt de placer la totalité de la somme des réalisations dans une meilleure perspective et de mettre en premier plan les noms les plus illustres. Quand les artistes s'appelaient - Olmsted, Roebling, Richardson, Ryder - les Brown Decades devenaient dans les arts ce qu'était le Guilded Age dans la littérature : l'accomplissement du passé et un point de départ pour l'avenir. Ce travail mène-t-il vers notre propre génération ? Oui, au moins, dans une certaine mesure. Vers une réalisation encore plus solide que la nôtre ? Espérons-le.

11/2015

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Ouvrages généraux

Technique autoritaire et technique démocratique

Deux essais de Lewis Mumford, "Technique autoritaire et technique démocratique" (1963) et "L'héritage de l'homme" (1972) où il défend sa conception d'un être humain inventeur de symboles plus que d'outils techniques, et expose son concept de Mégamachine. Une excellente introduction à l'auteur du Mythe de la machine.

03/2021

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