Dans la seconde moitié du XIXe siècle, les éditeurs faisaient paraître chaque fin d’année de beaux livres, cartonnages ou reliures généreusement dorés, volumes illustrés, grands formats, etc., à destination du jeune public. C’étaient les livres d’étrennes. La tradition s’est perdue. Le développement de la littérature jeunesse au cours du siècle suivant et les efforts des éditeurs pour réaliser de beaux livres tout au long de l’année le justifient probablement.