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Lettres ecrites de la montagne

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Littérature française

Lettres écrites de la Montagne

"Lettres écrites de la Montagne" est un ouvrage de Jean-Jacques Rousseau, un philosophe et écrivain français du XVIIIe siècle. Publié en 1764, cet ouvrage se présente sous la forme d'une série de lettres dans lesquelles Rousseau exprime ses opinions sur divers sujets politiques, sociaux et religieux. Dans ces lettres, Rousseau défend ses idées sur la liberté individuelle, la démocratie directe, la séparation de l'Eglise et de l'Etat, ainsi que sur la tolérance religieuse. Il critique également le gouvernement genevois de l'époque et dénonce les persécutions religieuses dont il est victime. "Lettres écrites de la Montagne" ont été publiées à titre posthume et ont suscité une grande controverse à leur époque en raison de leur ton audacieux et de leurs critiques du pouvoir établi. Cet ouvrage reste une lecture essentielle pour quiconque s'intéresse à la pensée politique de Rousseau et à son influence sur la philosophie politique moderne.

03/2024

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Rousseau

Lettres écrites de la montagne

Les "Lettres écrites de la montagne" sont une série de lettres écrites par le philosophe genevois Jean-Jacques Rousseau en 1764. Elles ont été rédigées en réponse à une lettre pastorale du clergé de Genève qui condamnait l'ouvrage "Emile, ou De l'éducation" de Rousseau. Dans ces lettres, Rousseau défend sa position et critique vivement les autorités religieuses de Genève. Il revendique sa liberté de pensée, s'exprime sur la religion, la philosophie, la politique, et dénonce ce qu'il considère comme des attaques contre sa personne et ses idées. Les "Lettres écrites de la montagne" sont un plaidoyer pour la tolérance religieuse, la liberté d'expression, et la séparation de l'Eglise et de l'Etat. Ces lettres sont importantes à la fois pour l'histoire de la philosophie politique et pour la vie de Rousseau lui-même, car elles ont contribué à son excommunication de l'Eglise de Genève et ont renforcé sa réputation en tant que philosophe controversé et indépendant.

10/2023

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Littérature française

Lettres ecrites de la montagne

"Les Lettres écrites de la Montagne" sont une série de lettres écrites par Jean-Jacques Rousseau, le philosophe et écrivain du XVIIIe siècle. Ce recueil de lettres, publié en 1764, a été rédigé en réponse aux attaques contre Rousseau après la publication de son ouvrage "Emile" et de "Du Contrat Social". Dans ces lettres, Rousseau défend ses idées politiques et philosophiques, critiquant l'Eglise et le gouvernement, tout en expliquant ses croyances sur la liberté individuelle, la moralité et l'organisation de la société. Il y aborde des thèmes liés à la religion, à la politique et à l'éducation, tout en présentant ses réflexions sur l'homme et la société. Cet ouvrage est considéré comme l'une des oeuvres majeures de Rousseau où il expose et défend ses idées politiques et philosophiques, contribuant ainsi au mouvement intellectuel et culturel de son époque.

11/2023

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Rousseau

Lettres écrites de la montagne

Lettres écrites de la montagne par Jean-Jacques Rousseau Les Lettres écrites de la montagne est une oeuvre de l'écrivain et philosophe Jean-Jacques Rousseau en réponse aux Lettres écrites de la campagne de Jean-Robert Tronchin, procureur général à Genève. Après la parution de l'Emile et du Contrat Social, Jean-Jacques Rousseau est menacé de prise de corps par le Parlement de Paris. Il s'enfuit à Neuchâtel en juin 1762, ne pouvant réintégrer la ville de Genève dont il est citoyen, car les syndics et le Petit Conseil de Genève ont également condamné les deux ouvrages et interdisent l'accès de la ville à Jean-Jacques sous peine d'arrestation. Le 12 mai 1763, Jean-Jacques abdique sa citoyenneté genevoise. Quelques amis de Rousseau, menés par Jean-François Deluc, font une Représentation devant le Petit Conseil en juin 1763 pour faire annuler cette condamnation. L'affaire prend un tour politique. Devant le silence du Petit Conseil, les Représentants en appellent au Grand Conseil ou Conseil des CC, appel que le Petit Conseil juge inopportun en usant de son droit négatif. Le conflit s'éternise, c'est alors que le procureur général Jean-Robert Tronchin fait paraître trois lettres écrites de la campagne le 27 septembre 1763, suivies d'une quatrième le 24 octobre. Les lettres justifiaient la condamnation des deux livres et évacuaient les prétextes juridiques avancés par les Représentants. C'est dans ce contexte que Rousseau rédige entre octobre 1763 et mai 1764 les neuf lettres de la montagne. Les cinq premières ont pour objet de démontrer que la sentence du Petit Conseil est arbitraire car seul le Consistoire est compétent en matière de foi. La sixième prend la défense du Contrat Social. Les trois dernières apportent un appui aux Représentants en faisant la démonstration que le droit négatif exercé par le Petit Conseil usurpe le pouvoir souverain qui relève du peuple. Sur le plan de la foi, il ne renie rien de ses écrits et fustige les pasteurs qui se veulent orthodoxes en se montrant persécuteurs. Les Lettres sont imprimées à Amsterdam par Marc-Michel Rey et publiées en décembre 1764 avec la devise Vitam impendere vero. Le caractère séditieux du contenu, notamment les lettres politiques, indigne le Petit Conseil. De nombreux libelles sont échangés, mais le plus violent est Sentiment de citoyens de Voltaire paru d'abord anonymement et qui révèle publiquement l'abandon des enfants de Rousseau.

04/2021

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Rousseau

Lettres écrites de la Montagne

L'une des rares œuvres de pensée religieuse et politique du Citoyen de Genève qui n'ait pas encore été rééditée en livre de poche, les Lettres écrites de la Montagne méritent à plus d'un titre de figurer dans la collection Poche Suisse. Rédigées entre 1763 et 1764 à Môtiers dans le Val-de-Travers, au cœur des Montagnes neuchâteloises, en réplique aux Lettres écrites de la Campagne (1763) du Procureur Général de la Cité de Calvin, Jean-Robert Tronchin (1710-1793), et portant essentiellement sur la religion de Genève comme sur l'histoire et le régime des institutions politiques genevoises, elles relèvent effectivement au premier chef de l'histoire et de la littérature de la Suisse romande. Mais il est d'autres raisons que cet helvétisme de l'origine et de la matière des Lettres de la Montagne pour offrir cette œuvre aujourd'hui à un plus large public. Ces " Provinciales de la démocratie politique et du libéralisme religieux " (G. Vallette) constituent en effet un modèle de ce que Jean Rousset appelait une " littérature d'action, qui prétend influencer un développement historique ". Avec cette réédition des Lettres écrites de la Montagne, plus qu'un Rousseau suisse, c'est donc un Rousseau profondément impliqué dans une réalité historique, religieuse et politique donnée que nous voudrions présenter. Car Jean-Jacques Rousseau n'est pas un penseur utopiste, un esprit purement spéculatif, un philosophe rationaliste cosmopolite. Tout à l'inverse, sa pensée politique, loin de se mouvoir dans la sphère de l'utopie, procède d'une expérience réelle et est toute tendue vers le réel qu'elle veut transformer à long terme " (M. Launay). Tel est le Rousseau que font apparaître ces neuf Lettres, dont la rigueur de l'argumentation n'a d'égale que la solidité de la documentation théologique et historique. C'est que l'auteur des Lettres de la Montagne entend bien, par-delà son apologie de la Profession de foi du Vicaire Savoyard et sa défense du Contrat Social, influer sur le développement de la religion et des institutions politiques de sa patrie genevoise ; il se pose par là lui-même tout à la fois en réformateur, en historien et en patriote, c'est-à-dire en penseur engagé.

12/2007

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Non classé

Contes de la Montagne Sereine

A partir des Song et pendant trois dynasties, les conteurs populaires ont produit des huaben (ou contes en langue vulgaire) ; après quoi, des lettrés s'efforcèrent de restituer à l'oralité primordiale ses lettres de noblesse écrite. Les huaben racontent des histoires, drôles ou tragiques, qui nous proposent de la Chine des Song et des Yuan des tableaux fort vivants, ceux-là mêmes qui divertissaient les très nombreux auditeurs des conteurs publics. L'invention, la verve, l'ironie font en effet merveille. D'ailleurs, ces proses mêlées de vers fourniront bientôt, par savante agglutination, la trame des grands et longs romans qu'élaborera la Chine à partir des Ming. Avec ces Contes de la Montagne Sereine, la plus ancienne collection de huaben connue, nous sommes aux sources mêmes d'un genre littéraire entre tous fascinant.

05/2023

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