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Lettre ouverte aux gourous de l'économie qui nous prennent pour des imbéciles

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Economie (essai)

Lettre ouverte aux gourous de l'économie qui nous prennent pour des imbéciles

Lettre ouverte aux gourous de l'économie qui nous prennent pour des imbéciles. Voici la nouvelle édition d'un pamphlet bestseller contre l'absurdité du discours économique néolibéral dominant dans certains médias, au sein des institutions financières internationales et chez les "experts" autoproclamés d'instituts privés de prévision. Cet ouvrage unique en son genre associe les vertus d'un livre pédagogique et la vivacité d'une "lettre ouverte" traversée par un humour au vitriol. On y trouve notamment explicités de façon lumineuse les impasses du modèle néoclassique, l'impossibilité des prévisions économiques, les crises financières récurrentes, les méfaits des interventions du FMI dans les pays en développement, etc. La présente édition est augmentée d'une présentation inédite par Gilles Raveaud, maître de conférences à l'université de Paris-VIII où il fut longtemps le collègue de Bernard Maris.

10/2024

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Economie (essai)

Lettre ouverte aux gourous de l'économie qui nous prennent pour des imbéciles

A quoi servent les économistes ? s'interroge Bernard Maris, le co-auteur de Ah ! Dieu ! Que la guerre économique est jolie ! Si l'économie est une science qui prédit l'avenir, le plus grand économiste s'appelle Madame Soleil. Rappel de leurs propos à l'appui, nos Minc, Attali, Barre et Sorman font pâle figure. L'oracle George Soros, vénéré pour avoir spéculé sur la livre et fait fortune, a perdu le double en jouant sur le rouble. Car tous ces experts qui viennent nous conter l'avenir et les bontés du marché ne cessent de se leurrer et de nous tromper en toute impunité, profitant de ce que la théorie économique est à l'agonie. Les nouveaux gourous Merton et Sholes, prix Nobel d'économie 1997, ont été ridiculisés par le naufrage de leur fonds spéculatif et ces adeptes du libéralisme sans entraves ont dû en appeler à l'argent des contribuables pour éviter un krach boursier. Quant au patron du Fonds monétaire international, le Français Michel Camdessus, il n'a vu venir ni les crises asiatiques, ni celles du Mexique et du Brésil. Les Balladur, Tietmayer, Trichet, Dominique Strauss-Kahn et autres marchands de salades économiques ont surtout une fonction d'exorcistes. Dans un monde sans religion, ils sont devenus les conteurs intarissables des sociétés irrationnelles, chargés de parler sans cesse afin d'éviter que le ciel ne nous tombe sur la tête.

01/2016

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Lettre ouverte aux gourous de l'économie qui nous prennent pour des imbéciles

A quoi servent les économistes ? s'interroge Bernard Maris, le co-auteur de Ah! Dieu ! Que la guerre économique est jolie ! Si l'économie est une science qui prédit l'avenir, le plus grand économiste s'appelle Madame Soleil. Rappel de leurs propos à l'appui, nos Minc, Attali, Barre et Sorman font pâle figure. L'oracle George Soros, vénéré pour avoir spéculé sur la livre et fait fortune, a perdu le double en jouant sur le rouble. Car tous ces experts qui viennent nous conter l'avenir et les bontés du marché ne cessent de se leurrer et de nous tromper en toute impunité, profitant de ce que la théorie économique est à l'agonie. Les nouveaux gourous Merton et Sholes, prix Nobel d'économie 1997, ont été ridiculisés par le naufrage de leur fonds spéculatif et ces adeptes du libéralisme sans entraves ont dû en appeler à l'argent des contribuables pour éviter un krach boursier. Quant au patron du Fonds monétaire international, le Français Michel Camdessus, il n'a vu venir ni les crises asiatiques, ni celles du Mexique et du Brésil. Les Balladur, Tietmayer, Trichet, Dominique Strauss-Kahn et autres marchands de salades économiques ont surtout une fonction d'exorcistes. Dans un monde sans religion, ils sont devenus les conteurs intarissables des sociétés irrationnelles, chargés de parler sans cesse afin d'éviter que le ciel ne nous tombe sur la tête.

04/1999

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Economie (essai)

Lettre ouverte aux gourous de l'économie qui nous prennent pour des imbéciles

Le livre d'économie le plus drôle de la décennie. Dernière édition mise à jour d'un pamphlet best-seller contre l'absurdité et l'arrogance du discours économique néolibéral dominant dans certains médias, les institutions internationales et chez tous les gourous autoproclamés économistes qui déversent chaque jour leurs "analyses" et prévisions. C'est un ouvrage unique en son genre, car il associe les vertus d'un livre didactique et la vivacité d'une "lettre ouverte" traversée par un humour au vitriol. C'est du Keynes revisité par Desproges ! Côté didactique, on y trouve explicités de façon lumineuse les impasses du modèle néoclassique, l'impossibilité des prévisions économiques, les crises financières récurrentes, les méfaits des interventions du FMI dans les pays en développement, etc. Côté humour, il n'y a qu'à ouvrir le livre au hasard pour se faire une idée. Mais cet humour grinçant fera rire jaune aussi. Car au fond ce livre pose aux économistes qui riront volontiers une question dérangeante : pourquoi ont-ils laissé des imposteurs, des pseudo-experts faire main basse sur leur science, pour en faire le discours le plus illisible, le moins crédible, et peut-être déjà le plus détesté ? Professeur à l'université de Paris-VIII, Bernard Maris est l'auteur d'une dizaine d'ouvrages et notamment de Keynes, un citoyen dans le siècle (Presses de Sciences Po.), Ah ! Dieu ! que la guerre économique est jolie ! (Albin Michel, avec P. Labarde). Edition augmentée d'une préface

11/2003