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Les yeux noirs

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Dossier

Le prix des Deux Magots : 90 années à “défricher le talent”

Le prix des Deux Magots est une récompense littéraire française prestigieuse. Il est décerné chaque année depuis 1933 au Café des Deux Magots, situé dans le quartier de Saint-Germain-des-Prés à Paris. Ce prix a été créé dans le but de reconnaître et de célébrer le travail des auteurs contemporains.

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Dossier

Les livres de Roland Topor : humour noir jusqu'au bout du cigare

Roland Topor (1938-1997) restera cet artiste français aux multiples talents : dessinateur, peintre, écrivain, dramaturge, acteur et cinéaste. Une singularité créative qui l'a distingué comme l'une des figures emblématiques de l'art et de la littérature du XXe siècle en France.

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Dossier

Le corps et l'esprit : deux frères jumeaux

« Il y a plus de raison dans ton corps que dans ta meilleure sagesse », disait Nietzsche, ajoutant une autre fois que les Grecs étaient superficiels par profondeur. Le corps, ce véhicule de l’esprit, ou l’inverse, n’est-il pas notre bien le précieux ? Quelle place tient-il dans notre personnalité ? N’est-il pas la seule justification de nos pensées ? Nietzsche le pensait. L’organisme malade, détendu, étiré, libéré ou contraint, voilà des sujets pour la littérature et l’essai.

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Dossier

Livres et jeux éducatifs : My Bulle Toys, un libraire en Floride

La librairie My Bulle Toys, située près de Miami, propose une sélection de livres et de jeux éducatifs pour enfants en français. Nicolas Pacaud, le propriétaire de la librairie, a choisi d'ouvrir cette boutique en raison de sa passion pour la littérature jeunesse et les jouets pour enfants. 

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Dossier

Stan Lee, la géniale incarnation de la maison Marvel

Né en 1922, Stanley Martin Lieber, alias Stan Lee, avait en tête, dès son plus jeune âge, l'écriture d'un « grand roman américain » : sa carrière en tant qu'auteur et éditeur lui aura permis de participer à la construction d'un véritable empire du divertissement, Marvel Comics.

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Dossier

Demain, le livre : regards d'étudiants sur l'industrie et l'édition

Dans le cadre du master Métiers du livre et de l’édition, que propose l’université Sorbonne Paris Nord, les étudiants de première année en apprentissage ont été sollicités. Charge à eux de parler, sous la forme d’un billet d’humeur,  ce qu’évoquait l’industrie du livre à leurs yeux. Visions d’avenir, visions passées, rencontre entre la formation et le réel… des témoignages étonnants. 

Extraits

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Littérature française

Les yeux noirs

" J'ai compris qu'il n'y avait pas de différence entre le cante et le toreo. Ils ne font qu'un. Un chant spirituel, qui exprime la tragédie de la vie. Un chant d'amour désespéré que la mort rend sublime. " Le monde de la tauromachie risque bien d'avoir disparu avant que la littérature n'arrive à le faire plier. Pourtant, dans ces Yeux noirs, Olivier Deck réussit à approcher au plus près certaines vérités fondamentales de ce monde hors du commun où la vie est un peu plus que la vie. Lorsqu'à travers ces dix courtes nouvelles, brillantes et ciselées comme une faena parfaite, il décrit le petit monde des gargotes et des bistrots taurins de Madrid, Olivier Deck nous souffle avant tout cette vérité : quand la corrida, la musique, la poésie et la peinture n'existeront plus, il faudra bien trouver autre chose...

04/2006

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Faits de société

Les grands yeux noirs

Vieillir et aimer, c'est comme un film muet. Vous aimez juste avec le coeur sans y mêler la raison. L'important c'est de pouvoir aimer librement. Un roman d'amour classé dans l'indifférence du temps et glacé sur l'échelle de la différence des âges et des coutumes. " Oui, je suis fatigué de pleurer seul dans la solitude et l'incompréhension de mes semblables, je suis fatigué de vivre sans joie et sans amour. Je suis fatigué d'écrire pour décrire des peines que j'endure depuis ma naissance. Je suis juste fatigué de vivre dans ce monde qui n'est plus mon monde à moi. Toutes ces choses que j'ai aimées, tout ce qui comptait dans ma vie, tous mes rêves, tous mes espoirs se sont évanouis. Il ne me reste que les larmes pour pleurer mon triste sort. Perdu dans ma vieillesse et dans le destin d'une fatalité implacable. La femme que j'aime se meurt, agonise devant moi, dans la souffrance et l'indifférence des dieux. Oui, je suis fatigué de tout cela. Je ferme les yeux et je rêve. Je rêve d'un monde beau, bon, juste et humain. "

08/2021

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Littérature française

Yeux noirs

Un petit garçon a dû faire une rencontre si troublante qu'il doit, devenu adulte, en raconter l'oubli. C'est ainsi l'histoire d'un souvenir perdu qu'il fait l'effort de raconter. Il n'y a de revenants qu'eux, les souvenirs. Le narrateur fait l'expérience de cette possession imaginaire des souvenirs. Nous pensons qu'ils nous appartiennent, qu'ils sont nôtres, tandis que ce sont eux qui nous possèdent. Le récit devient une opération de délivrance, d'aveu au sens que donnait à ce mot saint Augustin (confessio). Et d'autant plus que ce livre ne parle que d'une chose : l'amour. Sa révélation, son apprentissage, ses errements et ses erreurs, ses folies et sa misère. Le narrateur revisite ainsi son enfance jusqu'à sa petite enfance, sa jeunesse jusqu'à sa maturité. Ce qu'il a reçu de l'amour, le magnétisme des corps, et les corps, les visages, les histoires uniques et répétées. Une jeunesse d'autrefois entre secret et libération, une éducation qui ne répond plus à rien ni de rien. Salut par l'amour et damnation tout autant, l'entrée dans l'âge adulte, si tôt.

08/2016

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Littérature étrangère

" Ah, ces yeux noirs !..."

" Chère Faïna... J'ai lu votre merveilleux livre " Ah, ces yeux noirs !.... " et j'ai conseillé à mes amis de le lire. Quand j'ai pris conscience des difficultés de votre vie, ma conception du monde a changé. J'ai commencé à apprécier ce que les gens font pour moi, en particulier mes parents. Votre livre est devenu en quelque sorte pour moi une leçon d'amour. Je me suis toujours imaginé l'amour autrement, mais maintenant je sais que je n'ai encore jamais aimé pour de vrai. A présent je me représente clairement ce qu'éprouve quelqu'un qui aime. Je voudrais vous dire un très grand MERCI pour ce livre magnifique ! Vous êtes une grande femme ! Grande. par ce que vous avez vécu, grande parce que vous avez résisté et survécu, vous êtes grande parce que vous avez trouvé en vous la force d'écrire ce livre. qu'on ne peut pas lâcher. Merci à vous d'exister. Votre Marika. " " Lettre d'une écolière russe. âgée de quinze ans. "

10/2004

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Littérature française (poches)

Les yeux bleus cheveux noirs

C'est l'histoire d'un amour, le plus grand et le plus terrifiant qu'il m'a été donné d'écrire. Je le sais. On le sait pour soi. Il s'agit d'un amour qui n'est pas nommé dans les romans et qui n'est pas nommé non plus par ceux qui le vivent. D'un sentiment qui en quelque sorte n'aurait pas encore son vocabulaire, ses moeurs, ses rites. Il s'agit d'un amour perdu. Perdu comme perdition. Lisez le livre. Dans tous les cas même dans celui d'une détestation de principe, lisez-le. Nous n'avons plus rien à perdre ni moi de vous, ni vous de moi. Lisez tout. Lisez toutes les distances que je vous indique, celles des couloirs scéniques qui entourent l'histoire et la calment et vous en libèrent le temps de les parcourir. Continuez à lire et tout à coup l'histoire elle-même vous l'aurez traversée, ses rires, son agonie, ses déserts.

04/2014

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BD tout public

Gipsy Tome 4 : Les yeux noirs

Quand il était môme, Tsagoï s'arrangeait toujours pour rater l'heure du violon, dans son taudis. Il préférait se castagner avec le boiteux. Et il rêvait d'un camion, tandis que son cousin Mirno rêvait d'épouser Miléna et de devenir riche. Vingt-cinq ans après, alors qu'ils se retrouvent à la frontière tchèque, le "petit" (environ deux mètres) Tsagoï est au volant d'un camion plein de caviar slovaque réputé immangeable, et Mirno, sapé comme un milord, paie des manteaux de fourrure à Miléna. Lui, il transporte simplement un petit congélateur plein de trucs mystérieux. Et ce jour-là, c'est la finale du championnat du monde de foot, tous les flics sont scotchés devant la télé, et tout le monde en profite : les mafieux russes, les paumés de tout poil, et Mirno. Ce qui nous donne une journée qui débute mal, continue mal aussi, et ne finit pas très bien. Dans une atmosphère de fin du monde, avec cadrages extrêmes et lumières glauques - ce qui n'empêche pas l'humour -, Smolderen et Marini nous servent une histoire pleine de bruit et de fureur à lire en écoutant une bonne musique tzigane - les Yeux noirs, par exemple.

09/1997

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