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Les vieux qui se faisaient la malle

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Les vieux qui se faisaient la malle

Lucien est mort."C'est bien triste" se lamentent au bar du coin ses quatre copains. Pire encore : il a été retrouvé froid sur ses toilettes, lui qui ne s'était jamais montré négligé en public ! Martial, Gilbert, Jacques et Armand sont unanimes : pas question de clamser aussi bêtement ! La bande de septuagénaires a alors une idée folle : chacun va planifier sa propre mort. Quand ils veulent, comme ils veulent ! Enfin, ils vont tout oser. Des plages de Miami et d'Algarve aux montagnes suisses en passant par l'Afrique, les quatre retraités vont vivre à fond. Parce que si près de la fin, tout est permis, non ? De surprises en extravagances, cette décision sera sans doute la meilleure de leur vie... CHOISIR SA MORT POUR MIEUX VIVRE : UN ROMAN DECALE, TENDRE ET DRÔLE.

04/2022

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Les vieux qui se faisaient la malle

Lucien est mort. "C'est bien triste" se lamentent au bar du coin ses quatre copains. Pire encore : il a été retrouvé froid sur ses toilettes, lui qui ne s'était jamais montré négligé en public ! Martial, Gilbert, Jacques et Armand sont unanimes : pas question de clamser aussi bêtement ! La bande de septuagénaires a alors une idée folle : chacun va planifier sa propre mort. Quand ils veulent, comme ils veulent ! Enfin, ils vont tout oser. Des plages de Miami et d'Algarve aux montagnes suisses en passant par l'Afrique, les quatre retraités vont vivre à fond. Parce que si près de la fin, tout est permis, non ? De surprises en extravagances, cette décision sera sans doute la meilleure de leur vie...

11/2020

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Histoire des idées politiques

Quand les politiques nous faisaient rire

L'humour est un art en politique. L'auteur, qui le pratique lui-même avec talent, nous livre un inventaire désopilant de répliques et bons mots qu'il a glanés tout au long de son parcours. L'humour est un art en politique. Jean-Louis Debré, qui le pratique lui-même avec grand talent, nous livre un florilège désopilant de répliques et bons mots glanés tout au long de son parcours. L'ironie et l'humour étaient des armes fréquemment utilisées par les politiques pour déstabiliser un adversaire, éviter de répondre à un journaliste, convaincre et séduire l'opinion. De Gaulle, Mitterrand, Chirac étaient des orfèvres en la matière. Au Parlement, la petite phrase bien ciselée, percutante, qui déclenche des rires, marque l'auditoire mieux qu'un long discours. Ainsi, Georges Clemenceau lançant : " Vous n'êtes pas le bon Dieu ! " à Jean Jaurès qui lui répond : " Et vous, vous n'êtes même pas le diable ! " Et Clemenceau de riposter : " Qu'en savez-vous ? " Le député André Santini a fait mouche un jour avec cette formule irrésistible à propos du primat des Gaules : " Mgr Decourtray n'a rien compris au préservatif. La preuve : il le met à l'index ! " Ces traits d'esprit se révèlent souvent d'une redoutable efficacité, mais il peut aussi arriver que les arguments auxquels ont recours les orateurs fassent rire à leurs dépens. Tel ce député qui se plaignait que dans son département il n'y ait que trois abattoirs... un nombre très " insuffisant " pour deux cent mille habitants. A travers ce livre, qui fourmille d'anecdotes et de choses vues, l'auteur montre à quel point l'humour est un signe de bonne santé de notre vie démocratique. " Il n'y a pas si longtemps, on pouvait rire de tout ", rappelle-t-il en déplorant que ce ne soit plus le cas de nos jours. Heureusement, Jean-Louis Debré persiste et signe, quant à lui, dans le registre du bon mot, de l'autodérision et de la saillie verbale. Un régal.

10/2021

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Née par hasard dans un monde qui s'en fout

Je suis à peu près sûre que toutes les générations taclent celles d'après, parce qu'elles flippent d'être foutues au placard. De la nôtre, de génération, on disait qu'elle était inspirée par le néant, le rien, le trou noir. C'était pas très sympa de dire ça. Y avait plein d'adolescents qui crevaient la dalle ou qui faisaient la guerre. Donc déjà, eux, on les prenait pas en compte quand on parlait de notre génération. Ils faisaient pas la guerre exprès pour pas être mis dans le même panier, quand même. Mais moi, par exemple, j'ai eu une adolescence tout ce qu'il y a de plus banal et j'ai quand même envie d'en écrire un livre. Ca revient à la culture du rien. Faire un pataquès sur pas grand-chose. Les vieux, il fallait pas qu'ils soient à court de sujets, alors on leur servait à ça aussi. Grâce à une voix narrative brute et sans filtre, Jade Segalen nous projette dans la réalité de son anti-héroïne. A travers les remarques acerbes, sarcastiques mais non sans poésie de Ludivine, notre monde se dévoile et l'adolescence se réalise.

05/2021

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Nous ne faisions qu'un - Roman biographique

Qui ne connaît aujourd'hui le nom de Thomas Cromwell, depuis l'excellente série de la BBC deux fois diffusée par Arte, adaptée des romans à succès d'Hillary Mantel ? Jean Lemaire de Belges, par contre, qui vécut à la même époque demeure encore un inconnu. Tous deux, oubliés durant plus de trois siècles, sans doute pour avoir discrètement mais farouchement soutenu la Réforme, jouèrent pourtant dans la première moitié du XVIe siècle, un rôle capital dans la pensée et la destinée de l'Europe que l'on commence tout juste à leur reconnaître. De larges zones d'ombre recouvrent la jeunesse de l'un comme de l'autre. On s'étonne que le premier, modeste fils de forgeron, simple soldat en Italie, sans fortune ni éducation, surgissant de nulle part, pût devenir avocat, banquier et premier ministre tout puissant d'Henri VIII, exactement quand le second, poète et chroniqueur historiographe dans diverses cours d'Europe, rompu à la finance et à la politique disparaît sans laisser de trace. Or ces deux figures singulières, aux tempéraments et caractères si semblables, qui partagent les mêmes idées, les mêmes valeurs réformistes, le même idéalisme forcené, les mêmes craintes, le même goût du secret et qui excellent en tout, on les retrouve partout aux mêmes moments et dans les mêmes lieux, de l'Italie aux Pays-Bas. Leurs personnalités s'emboîtent et se complètent si parfaitement que l'on finit par se demander : et si ces deux hommes n'en faisaient qu'un ? Mieux qu'à travers une froide enquête, c'est en écoutant la parole et en fouillant l'âme de celui qui seul est sensé connaître la vérité que ce livre se propose d'apporter une réponse cohérente à cette question.

09/2017

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LA MAISON DE PAPIER

Une fois, déjà, Françoise Mallet-Joris a fait une pause dans son oeuvre romanesque : ce fut la Lettre à moi-même. Elle y démontrait qu'elle pouvait aussi exceller dans l'art difficile de la confidence sans complaisance. Voici à présent un ouvrage de la même veine, mais celui-ci est composé autour d'un lieu commun, d'un décor : c'est " la maison de papier ", ainsi baptisée parce que la demeure de Françoise Mallet-Joris et des siens ressemble à ces " maisons japonaises si mal fermées ", où chacun peut entrer à sa guise, foyer, refuge, abri pour tous ceux qui s'y plaisent. Ce livre est donc un tableau de l'existence quotidienne dans un ménage d'artistes. Le mari est peintre, la femme est écrivain et lectrice dans une maison d'édition. Ils ont deux garçons et deux filles. Des " employées de maison " se succèdent. Beaucoup d'amis - ceux des enfants aussi bien que des parents - vont et viennent, certains que l'on invite et d'autres que l'on accepte. Il y a aussi les visiteurs imprévus, quelques voisins. N'oublions pas les animaux : chien, chat, pigeon, merle, poisson rouge. Cela fait déjà beaucoup de monde, mais Françoise Mallet-Joris ajoute les personnages qu'elle voit régulièrement au-dehors, comme Mme Josette, la déconcertante coiffeuse rationaliste. Les enfants tiennent la première place. L'auteur utilise le dialogue comme moyen d'éducation, et elle avoue trouver là le moyen de clarifier ses propres idées sur les grands problèmes de base. La vie professionnelle n'est pas oubliée, ni les préoccupations religieuses et sociales, qui transforment peu à peu ce livre en une critique des moeurs actuelles et, mieux encore, en une enquête sur la justice et la vérité, l'amour de Dieu et l'amour du prochain, le bonheur et la joie. On ne verse jamais dans l'abstraction : tout repose sur des expériences directes. Beaucoup de lecteurs, sans doute, auront l'impression de se trouver chez eux dans " la maison de papier ", comme s'ils faisaient partie de cette famille. C'est que Françoise Mallet-Joris a le don de préserver, avec une sincérité jamais en défaut, le frémissement de ses émotions, de ses doutes, la fraîcheur de ses étonnements, l'ironie du regard qu'elle pose sur ses semblables, aussi bien que la gravité de sa foi. Rare talent qui sait traduire, sans avoir l'air d'y toucher, le naturel de la vie.

02/1970

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