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Les dégueulasses

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Les dégueulasses

Alors qu'il pense avoir tué un policier à Madrid, Manuel s'exile dans un village abandonné. De citadin peu débrouillard, il devient ermite autosuffisant, parfaitement heureux de délaisser au fil des mois confort matériel et contacts humains. Jusqu'à ce qu'une famille nombreuse et bien peu discrète débarque chaque week-end, envahissant son havre de paix. D'abord horrifié, prostré dans son grenier de peur d'être découvert et livré aux autorités, Manuel passe à l'offensive : il lui faut faire fuir ces parasites abrutis par leurs gadgets technologiques et leur inculquer au passage une bonne leçon. Quel qu'en soit le prix.

05/2021

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Sociologie

Toutes les époques sont dégueulasses

Depuis quelques années, un malaise s'est installé dans la culture contemporaine. Ici on récrit des textes classiques ou certains best-sellers pour les purger du racisme et du sexisme, ailleurs on en appelle à une surenchère de contextualisations. Et si la question qui sous-tend ce vaste débat était mal posée ? S'il s'agissait, dans bien des cas, d'argent et non d'éthique ? Et si la censure n'était pas du côté qu'on croit ? Et si les précautions prises à tout contextualiser produisaient à terme un effet pervers ? A l'aide de quelques exemples, Laure Murat tente de rebattre les cartes d'une polémique qui, à force d'amplifier, brouille les vrais enjeux de la création et de sa dimension politique.

05/2025

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Littérature anglo-saxonne

Journal d'un vieux dégueulasse

Livre-culte, mais livre très vite, et trop longtemps épuisé et qui annonce aussi bien Contes de la folie ordinaire que l'ultime Pulp. En vérité, tout Bukowski est déjà dans ce Journal d'un vieux dégueulasse. Gérard Guégan, qui contribua en France à sa découverte, s'est chargé d'en assurer une nouvelle traduction et d'en donner la version intégrale. De quoi s'agit-il ? Du bloc-notes que tint, dès 1967 dans un magazine underground, un esprit libre, sceptique, mais furieux. Jusqu'alors poète confiné dans des tirages confidentiels, Charles Bukowski, l'écorché vif, mit à profit cette audience soudaine et régla ses comptes avec l'univers tout entier. Avec son père, sa mère, ses copains d'école, comme avec les puissants, qu'ils siègent à la Maison Blanche ou à Wall Street. Avec les paris truqués comme avec les truqueurs de la révolution. Sans oublier ces arbitres du bon goût littéraire qui l'avaient si souvent méprisé. Ainsi, au rebours des habituels cireurs de pompes, Bukowski n'hésite pas à faire les poches à Henry Miller, même s'il en camoufle, par un reste de sympathie, l'identité. En revanche, quand il s'en prend à Genet, Ginsberg, Burroughs, alors porte-drapeaux du mouvement étudiant, il frappe fort et sans pitié. Un seul trouve grâce à ses yeux : Neal Cassady, l'ami et le modèle de Kerouac. Sans doute parce que Neal était un prolétaire et un déchireur de fausses certitudes. Tout comme lui, qui interpelle l'éternité avec les mots de tous les jours.

03/1996

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Littérature anglo-saxonne

Journal d'un vieux dégueulasse

Voici le meilleur des chroniques publiées par le grand écrivain de la déglingue made in Los Angeles dans un magazine underground à la fin des années soixante. Ses thèmes ? Les packs de bière, les courses de chevaux, la " tragi-comédie " du sexe, les psychodrames de caniveau, quelques dégagements bien sentis sur la littérature, la vie en général. Ses personnages ? Des femmes de la rue, des paumés, des allumés, et bien sûr Bukowski lui-même. Son style ? Nu et d'enfer. La petite histoire de la côte Ouest croise parfois l'actualité nationale (l'attentat contre Robert Kennedy). Bukowski napalme le rêve américain dans des morceaux de bravoure écrits " en toute liberté, un oeil sur la fenêtre, à siroter ma bière et à attendre que ça vienne ". On rit jaune et noir. Comme dirait l'auteur : " Régalez-vous. "

09/2010

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Littérature anglo-saxonne

Journal d'un vieux dégueulasse

C'est en 1967, dans le magazine anticonformiste Open City, qu'un poète presque inconnu commença de publier une chronique régulière. Avec une brutalité rarement égalée, doublée d'une superbe indifférence au scandale, il y exprimait sa révolte contre la société américaine, le pouvoir, l'argent, la famille, la morale. L'alcool, le sexe, les échos d'une vie marginale et souvent misérable y étaient brandis comme autant de signes de rupture... Depuis lors, l'auteur des Contes de la folie ordinaire, d'Au sud de nulle part, de Pulp, disparu en 1994, est devenu célèbre. Ce journal, ici édité dans une nouvelle traduction et dans sa version intégrale, n'est pas seulement un des sommets de son œuvre, c'est un classique de la littérature contestataire, qui conserve, trente ans après sa naissance, toute sa force, toute sa fraîcheur.

02/1998

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Littérature française

Les vulnérables

"Ici je vous entends : ne le raconte pas, ne le dis pas, laisse-nous en paix avec ces histoires dégueulasses, tais-toi ! Et j'entends aussi celui qui parmi vous salive, veut les détails, tous les détails, et des images si c'était possible. Celui-là je ne le comprends pas. Il n'est pas forcément pire que moi, ne lèverait peut-être pas la main sur un oiseau. Alors ? Je ne sais pas. Je m'oblige à vous initier aux charmes de l'enfance et je vous aguerris. Ce faisant je m'aguerris. Tu respires ou bien tu es déçu, Lecteur, mon frère loup ? " Qu'ils soient en fuite, marginalisés ou seulement de passage, les personnages des neuf nouvelles qui composent ce recueil sont confrontés aux fractures du réel. En révélant nos vulnérabilités contemporaines, avec une écriture charnelle et poétique, Belinda Cannon rend un hommage lumineux à ceux qui peinent à trouver leur place.

01/2024

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