Le passant désoeuvré de Rome, en ce matin de mai 1924, pouvait observer, sortant du palais Farnese, le Diario Romano à la main, un homme distingué d’un âge certain, avec un air d’autorité et un grand allant dans sa marche, mis à la mode des années d’avant la guerre avec son complet de drap bleu et son chapeau melon, traversant le cortile dessiné par Antonio da Sangallo après avoir salué fort civilement le concierge.