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Les Romains après Rome

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Rome

Les Romains après Rome

La disparition de l'Empire romain d'Occident en 476 ne signe pas la disparition des Romains. Plusieurs siècles auparavant, une dissociation s'était déjà affirmée entre les Romains occidentaux et orientaux. Après 476, celle-ci s'approfondit avec la disparition progressive des premiers, tandis que les seconds parviennent à se maintenir en dépit des difficultés liées aux invasions de la fin de l'Antiquité et du Haut Moyen Age. Se dessinent alors deux grandes catégories de Romains orientaux : les Rumani et Arumani latinophones des Balkans - nommés le plus souvent Valaques - et les Romaioi hellénophones de l'Empire byzantin. Malgré des différences importantes entre les deux communautés, la langue (romane ou grecque), la religion et le droit constituent des éléments clés de leurs identités respectives. A l'opposé, l'effacement de l'identité romaine en Occident dès le Haut Moyen Age laissera place à la Renaissance aux Romains essentialisés ou, métaphorisés de la philosophie politique occidentale.

09/2022

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Que-sais-je ?

Histoire de la Rome antique

L’empire romain a duré dix siècles. Une longévité rare dans l’histoire de l’humanité. L’histoire de Rome est celle, extraordinaire, d’une petite cité qui a failli disparaître cent fois en deux siècles (509-338) avant de s’imposer à ses proches voisins, à toute une région – le Latium –, puis à l’Italie (272), et enfin au monde tout entier de l’époque, c’est-à-dire le monde méditerranéen. Pourtant, les Romains rejetaient la guerre et aimaient la paix. Faut-il chercher dans leurs organisations politiques, dans leur vie économique, dans leurs structures sociales ou dans leurs productions culturelles les raisons de la résistance de la suprématie romaine jusqu’à la chute de l’empire au Ve siècle après J.-C. ? Dans un ouvrage qui mêle une approche chronologique et des questionnements thématiques, Yann Le Bohec dresse un panorama de ce que nous savons de l’histoire romaine. Il offre ainsi une introduction éclairante au monde des Romains.

09/2012

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Italie

Rome

Pour vivre la destination au plus près Un guide rédigé par des auteurs qui habitent Rome depuis des années et en connaissent tous les secrets. Des pages thématiques et des suggestions de balades pour élaborer sa propre feuille de route en fonction de ses goûts et de ses envies. Chaque chapitre de quartier est organisé autour d'expériences pour sortir des sentiers battus, découvrir les sites incontournables de manière originale, changer sa manière de voyager : assister à un opéra dans les thermes de Caracalla, découvrir les illusions optiques du Palazzo Spada, rechercher les secrets de l'île Tibérine, goûter aux spécialités de l'ancien ghetto, explorer les trésors baroques de la ville (oeuvres du Caravage, palais Barberini...), faire ses emplettes sur le marché de l'Esquilin, vivre comme un Romain dans le quartier de San Lorenzo, la via Appia à vélo... Des pages magazine écrites par des experts sur les aqueducs romains, les édifices de la période fasciste, les places de la ville, les chats... Des suggestions d'excursions : les plages de Nettuno, le lac de Castel Gondolfo, les vins de Castelli Romani ... De nombreuses cartes simplifiées pour se localiser en un coup d'oeil et un plan détachable de la ville.

09/2022

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Les plus grandes batailles de Rome

Pourquoi aborder l'histoire de Rome à travers une évocation des batailles livrées par ses légions ? Parce que les Romains eux-mêmes concevaient leur propre histoire comme un récit où la guerre se taillait la part du lion. Certaines défaites retentissantes y tenaient d'ailleurs une place aussi importante que les victoires les plus éclatantes. Les premières illustraient la résilience d'une cité qui avait toujours su se relever, même après avoir essuyé les pires revers, alors que les secondes montraient le génie militaire romain... ou une certaine chance insolente sur le champ de bataille. Les dix plus grandes batailles de l'Empire romain, dont les deux sacs de Rome, décrites dans cet ouvrage illustrent chacune un moment marquant de l'histoire de Rome et ses rapports avec le monde.

04/2021

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Rome, cité universelle

L'histoire de Rome que dépeint ce volume est celle de l'apogée d'un empire "mondial". Comment une petite cité est-elle parvenue à dominer un ensemble de terres s'étendant de l'Ecosse et du Danube au désert africain, de l'Atlantique au Proche-Orient, et à établir cette domination de manière assez durable pour marquer profondément l'histoire de tous ces territoires ? Le succès de la domination romaine tient pour bonne part à une conception ouverte de la citoyenneté. Le recensement de 70 av. J.-C. régla un conflit qui avait opposé Rome aux Italiens, une vingtaine d'années auparavant. Tous les hommes libres de la péninsule formèrent désormais le populus Romanus. Près de trois siècles plus tard, en 212 apr. J.-C., Caracalla attribua le bénéfice de la civitas Romana à tous les habitants libres de l'empire. Or, durant la période délimitée par ces deux mesures, les possessions romaines s'étaient étendues bien au-delà des rivages de la Méditerranée. Cette expansion fut l'oeuvre collective des soldats romains et de leurs chefs. Garants d'une domination qui se prétendait universelle, et qui avait pour siège la plus grande ville de l'Antiquité, les princes adaptèrent la Cité au gouvernement du monde. L'ouvrage examine cette histoire en recherchant la cohérence d'une construction impériale singulière, qui servit – plus tard – de modèle à bien d'autres.

03/2023

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Fantômes romains

12 ans après sa disparition, le dernier roman d'un grand écrivain du XXe siècle. Fantômes romains est l'histoire de Giano et Clarissa, un couple bourgeois qui vit dans le centre cultivé et mondain de Rome. Un mariage apparemment libre fondé sur l'hypocrisie. Malerba le dépeint en utilisant son ironie subtile, enquêtant de façon impitoyable sur une réalité où hypocrisies, soupçons et pièges font partie du jeu, même en amour. Les escarmouches des deux personnages sont construites selon ce que l'auteur appelait "un monologue extérieur" : chaque voix monologue, alternativement, sur sa propre histoire et sur celle de l'autre, fouillant parmi les souvenirs et les rencontres qui se sont succédés pendant 20 ans, donnant chacun sa propre interprétation des situations, sans jamais se croiser ni se confronter. Ce n'est pas un hasard si le surnom du protagoniste est Giano (Janus)... Un autre roman incontournable du grand écrivain néo avant-gardiste, cofondateur du "Gruppo 63", avec des intellectuels de l'envergure de N. Balestrini, E. Sanguineti, A. Porta et G. Manganelli, un mouvement littéraire qui se rattachait aux expériences françaises de ses fondateurs avec les revues "Tel Quel" et "Nouveau Roman".

02/2021

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