« Considérée de seconde main par les Russes, la langue des Moldaves a été mutilée. Si, dans un amphithéâtre, il y avait 50 étudiants moldaves et un seul étudiant russe, le cours devait avoir lieu en langue russe. » Entretien avec Tatiana Țîbuleac, écrivaine roumaine (originaire de la République de Moldavie), Prix de littérature de l'Union européenne pour Le Jardin de verre, éd. des Syrtes, traduction de Philippe Loubière.