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Leon Battista Alberti

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Albert Camus

Né en 1913 en Algérie, Albert Camus fait ses études à Alger, où il profite de ma bienveillance d'un de ses instituteurs, Louis Germain, pour lequel il conservera une reconnaissance intacte. Fréquentant un temps le Parti communiste algérien, il s'en éloigne rapidement et, en 1940, il quitte l'Algérie pour s'installer à Paris avec Francine Faure. Deux ans plus tard parait L'Étranger, premier roman et immense succès d'Albert Camus.

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Dossier

Banquet pour tout le monde : Astérix et Obélix ont 60 ans

Les deux Gaulois les plus célèbres du 9e art fêtent, en 2019, leur 60e anniversaire : le 29 octobre 1959, le scénariste René Goscinny et le dessinateur Albert Uderzo présentent au monde un petit Gaulois, accompagné par son ami, plus... enveloppé. Rapidement, les deux héros deviennent les figures majeures du journal Pilote.

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Dossier

Bandes dessinées, nouveautés : les livres de Chloé Cruchaudet

Chloé Cruchaudet, née à Lyon en 1976, a établi sa résidence dans cette même ville. Élevée par des parents antiquaires, elle a été immergée dès son plus jeune âge dans des environnements liés à l'histoire et à la littérature.

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Antoine de Saint-Exupéry

Né le 29 juin 1900 à Lyon, Antoine de Saint-Exupéry reste l'homme du Petit Prince pour des millions de lecteurs dans le monde entier. Publié en 1943 à New York avant de ne l'être que 2 ans plus tard par Gallimard en France, après la mort de son auteur, ce conte féérique et philosophique fait depuis partie des ouvrages français les plus célèbres à l'international.

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Dossier

Foire du Livre de Francfort 2022 : diversité et pluralité

Du 19 au 23 octobre 2022, la 74e Foire du Livre de Francfort promet de s'engager pour la diversité, la pluralité et la lutte contre les discriminations. Avec l'Espagne en pays invité d'honneur, l'événement devrait renouer avec un déroulement plus conforme aux éditions « pré-Covid ».

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Mélissa da Costa

Mélissa Da Costa est la première femme la plus lue de France. Se classant dans les meilleures ventes de livres en 2022, sa plume se caractérise par sa grande sensibilité aux thèmes de l'amour, de la famille et de la transmission.

Extraits

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Beaux arts

Introduction à la méthode de Léon Battista Alberti. L'art de colorer dans le "De pictura"

A la différence de la perspective centrale, la méthode pour colorer, qu'Alberti nomme la ratio colorandi, n'avait pas fait l'objet d'une étude à part entière jusqu'à présent. La raison tient sans doute au fait qu'on a longtemps négligé la lecture physique du De pictura. D'égale importance en termes de quantité et de qualité que la méthode pour mettre en oeuvre la construction mathématique de l'image, la méthode pour colorer, qui vise à suggérer le relief probant des figures, est pourtant restée dans l'ombre de la couleur avec la théorie de laquelle on l'a souvent confondue. La présente étude propose de cerner l'élaboration de la ratio colorandi, ses sources et son modus operandi, méthode qui donne sa visibilité et son intelligibilité colorée à l'ensemble de l'image. A cette fin, il convient de prendre en compte les enjeux qui sont liés aux divers savoirs convoqués, au premier chef la philosophie aristotélicienne de la nature, mais aussi la réduction en art bien connue à la Renaissance et qui remonte à l'Antiquité (Quintilien, Institution oratoire), l'optique, l'art de la mémoire, le genre littéraire de la fable (Ovide, Métamorphoses), l'histoire de la peinture (Pline l'Ancien, Histoire naturelle) et sa pratique (Cennino Cennini, Il libro dell'arte). En son sein, l'ouvrage comprend un lexique qui présente une analyse par notions et par termes.

03/2019

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Beaux arts

L'art d'édifier

Quelques années après la mort d'Alberti, l'humaniste Cristoforo Landino le place parmi les grands écrivains de son temps, loue ses créations artistiques et s'exclame : " Mais où situer Battista Alberti entre les savants ? Tu me diras parmi les physiciens. Certes, il était né pour pénétrer les secrets de la nature. Mais quel genre de mathématiques a-t-il ignoré ? Il était géomètre, arithméticien, astronome et, en matière de perspective, plus merveilleusement compétent qu'aucun autre depuis des siècles. Et tous ces savoirs resplendissent dans ses Neuf Livres d'architecture. " Plus de cinq siècles après ce témoignage, l'œuvre de ce génie universel continue de stupéfier. Et tout particulièrement son traité d'architecture. Car Alberti fut le premier, dans la culture occidentale, à ériger l'aménagement de l'espace en discipline autonome. En cela, il s'adresse encore aujourd'hui à tous ceux, praticiens ou non, que concerne l'édification de notre cadre de vie. Le De re aedificatoria n'avait jamais été retraduit en français depuis la version donnée en 1553 par Jean Martin.

09/2004

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Critique littéraire

Momus. Edition bilingue français-latin

Momus, personnage de la mythologie, mis en scène par Lucien comme le dieu de la critique, est devenu entre les mains de Leon Battista Alberti le premier immoraliste de la littérature moderne. A travers les mésaventures qui le ballottent du ciel à la terre, de la société des hommes au parlement de l'univers, il est, à chaque instant et partout, comme plus tard le Neveu de Rameau, le génie de la provocation, le grain de levain qui démasque les faiblesses et les hypocrisies, bouscule les idées reçues, désacralise les puissances établies. Mêlant systématiquement le rire au sérieux, portés par une phrase d'une incroyable agilité, véritable chef-d'oeuvre de la prose latine humaniste, les épisodes se succèdent dans un rythme effréné, alternant paradoxes éblouissants, pages d'un comique bouffon et osé autant que profond et inventions poétiques. Succédant au mince volume intitulé Momus ou le prince, fable politique, publié pour la première fois en traduction française par Claude Laurens et préfacé par Pierre Laurens (1993, 2017), le présent volume est la version savante de l'ouvrage d'Alberti : équipé de l'introduction de Francesco Furlan, éclairé par un abondant commentaire philologique, littéraire et historique dû à Paolo d'Alessandro et Francesco Furlan, il associe enfin à la traduction de Claude Laurens revue et parfaite à cette occasion, le texte latin, procuré par les deux éditeurs dans la première édition critique digne de ce nom.

03/2019

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Mathématiques

Divertissements mathématiques

Les Ludi matematici présentent, sous forme de 20 problèmes récréatifs, la résolution de questions pratiques concernant l'architecture, le génie civil ou militaire, la topographie, la navigation, qu'un homme d'un certain statut social, à l'aube de la Renaissance, peut rencontrer dans ses activités ou dont il peut être simplement curieux. Les Ludi illustrent, bien avant Galilée, le recours systématique à une mathématisation de la connaissance de la nature, et la conviction, très caractéristique de la Renaissance, que les sciences les plus abstraites sont capables d'accroître la puissance de l'homme dans sa volonté d'exploiter la nature à son profit. Les Ludi offrent au lecteur moderne un reflet de cette tradition de pratiques, de savoirs et de savoir-faire des ingénieurs, architectes, artilleurs, etc., rarement attestée par écrit et négligée, pour le moins, dans les ouvrages actuels d'histoire des sciences.

11/2002

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Beaux arts

La peinture. Texte latin, traduction française, version italienne

Les textes fondateurs sont rares. La Peinture est de ceux-là : ni recueil de motifs iconographiques, ni somme de recettes d'atelier, l'ouvrage procède à un " examen tout à fait nouveau de l'art de peindre ". Nouvelles, en effet, l'articulation de la théorie et de la pratique, la valorisation de la peinture comme " art libéral ", la distinction entre peintre-artisan et peintre-artiste. Nouvelle aussi, et surtout, la conception de l'historia, qui donne au discours de l'humaniste (d'un humaniste " parlant comme peintre ") toute sa portée philosophique et historique. Car, avec l'historia, Alberti définit un ordre pictural qui est aussi un ordre de la pensée et du savoir : la Représentation, dont le primat allait durer plusieurs siècles. Cette nouveauté conceptuelle est indissociable de l'invention d'un nouveau langage. Aussi la présente traduction suit-elle au plus près le texte latin, présenté en regard ; elle s'accompagne de la version italienne donnée par Alberti lui-même en 1436, de nombreuses notes, d'une introduction et d'un riche dossier, où le lecteur trouvera notamment un glossaire théorique ainsi que le texte (inédit en France) des Eléments de peinture.

09/2004

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Histoire de France

Intercenales/petites pièces à lire entre convives

Ces Petites pièces à lire entre convives illustrent, au sein de l'oeuvre latine si diverse d'Alberti (1404-1472) - d'abord plus connue pour ses dialogues de morale et ses traités techniques et théoriques -, la veine du serio ludere, cet art d'inspiration lucianesque qui a été si bien défini par Roberto Cardini dans Alberti o della nascita dell'umorismo moderno (1993). Ce dernier recueil ne fut jamais totalement achevé. Il resta, jusqu'à la mort de son auteur, in fieri, tel une sorte de laboratoire de l'invention, voire de l'expérimentation poétique, et par suite connut une fortune éditoriale des plus mouvementées. Eparpillées en divers manuscrits, les pièces qui le composent ne figureront pas dans la première édition des petites oeuvres latines publiées par Massimi autour de 1500 : il faudra attendre la fin du XIXe siècle pour que Girolamo Mancini publie en 1890 les deux premiers livres et le quatrième (le Defunctus et l'Anuli) et le XXe siècle pour que Cecil Grayson publie Uxoria. C'est seulement un hasard providentiel du dernier après-guerre (la découverte, dans les combles du couvent des dominicains de Pistoia, d'un manuscrit contenant les livres IV à X), qui permettra de se former pour la première fois une idée approchante de l'oeuvre intégrale. L'édition partielle des Intercenali inedite par Eugenio Garin (1964 et 1965) sera suivie à brève distance de l'édition des dix livres avec traduction anglaise de David Marsh (1987) et de deux éditions italiennes, de I. Gaghella (1998) et de F. Bacchelli-L. D'ascia (2003). Approfondissement de l'édition critique insérée dans le volume des Opere Latine publiées en 2010 (Roma, Istituto poligrafico) où elle est suivie de la traduction italienne de M. Letizia Bracciali Magnini, la présente édition, accompagnée en vis-à-vis par la traduction française de Claude Laurens qui conserve à ces textes toute leur vivacité et alacrité, est la première qui débrouille l'écheveau inextricable de la tradition, la seule qui soit fondée sur une hypothèse d'ensemble et sur la collation complète des témoins dont les rapports réciproques sont discutés dans l'Introduction générale consacrée tout entière à la prodigieuse génétique du texte (et qui, à cet égard fera date), ainsi que dans les introductions à chacune des pièces ; la seule aussi qui reproduise l'agencement (succession des livres et ordre des pièces à l'intérieur de chaque livre) du manuscrit P, lequel conserve, pour autant qu'on puisse le savoir, la rédaction "ultime" des Intercenales. Chaque texte a été pour la première fois subdivisé en paragraphes qui répondent à des scansions logiques, mais les portions de textes ainsi délimitées sont en général brèves, de façon à faciliter la triangulation parfois très complexe entre le texte et sa justification philologique et son commentaire qui occupent le deuxième tome. Dans le deuxième tome qu'il pourra ouvrir commodément à côté du premier, le lecteur trouvera, donné dans l'ordre des pièces, l'apparat critique, précédé pour la première fois, pour la vingtaine de textes transmis en rédactions multiples, par l'apparat rédactionnel. Suit, pour chacune d'elles, un vaste commentaire, mis en français, comme la grande Introduction, par Frank La Brasca, et fruit lui aussi de recherches de première main pour répondre aux objectifs suivants : la discussion sans complaisance des principales conjectures proposées par ses prédécesseurs et parfois aussi repoussées ; l'attention aiguë portée aux faits de langue, le latin d'Alberti mêlant, même si elles ont des poids différents, toutes les phases de la latinité ; le "démontage des textes" mettant à jour le travail de mosaïque théorisé ailleurs par l'auteur et permettant de mesurer le taux d'originalité de compositions nourries de culture antique ; mais aussi l'intertextualité interne, voire les autocitations - Alberti étant un de ces auteurs qui se sont constamment réécrits eux-mêmes ; enfin l'identification par un des meilleurs connaisseurs des genres et des styles qu'il expérimente dans une oeuvre placée, on le vérifiera avec délices, sous le signe de la varietas.

02/2018

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