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Le soleil dans les yeux

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Littérature française

Le soleil dans les yeux

Dans cette autobiographie, l'auteure retrace ses souvenirs de l'Algérie des années 50, accablée par des événements tragiques. Au fin fond de la Kabylie, Marie connaît une enfance douloureuse. Elle évoque son passage par Notre-Dame d'Afrique - un orphelinat aux règles strictes où la bonté n'a guère de place -, mais également son retour dans son village, le coeur rempli d'espoir. Elle attend un peu de douceur maternelle, mais subit les foudres d'un beau-père cruel et brutal, qui n'épargne ni son frère ni sa soeur aînée. Les trois orphelins vivent dans une extrême pauvreté. Au fil des pages, la narratrice se livre et se libère ; elle dépeint les paysages grandioses d'Aïn Cléta et s'attarde sur les marchés colorés aux épices âcres ou pimentées. Retraitée de 80 ans, Marie Kérol est l'auteure de plusieurs recueils et nouvelles : Poèmes et contes, Contes pour enfants sages et Le passé présent. A deux reprises, elle est primée dans le domaine de la poésie. Elle revient à présent avec une autobiographie, Le soleil dans les yeux, qui retrace son histoire de 1950 à 1956.

12/2022

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Du soleil dans mes yeux

C'est tendre au toucher comme le sillon qui ourle la lèvre sous le nez. Leurs mains câlines glissent sur son ventre, sur ses bras. Ladis lui murmure à l'oreille des tendresses en polonais, sa mère le mordille de partout. Il s'abandonne aux délices des caresses. Il lutte cette fois contre le sommeil. Il garde les yeux grands ouverts et se met à parler, le son de sa voix le tient éveillé. Avec beaucoup de calme, une tenue sans raideur, Philippe Mezescaze explore une sensualité gracieuse et grave, s'insinue dans des plis de mystère enfantin et, bien que l'anecdote n'ait rien à voir, ni même la lumière, ici plus diurne, la seule référence qui me soit venue à l'esprit en lisant ce livre, c'est, pour son innocence et sa ruse, La Nuit du chasseur, le film de Charles Laughton. Emmanuel Carrère

03/2018

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Plein les yeux

Philippe, peintre reconnu, s'ennuie à Paris et sa peinture y perd son âme. La découverte des Cévennes est pour lui une révélation et une renaissance. C'est avec enthousiasme qu'il entame une seconde carrière de peintre, plus personnelle, plus exubérante, plus gorgée de soleil et de joie de vivre, mais surtout infiniment plus libre. L'auteur, artiste peintre qui refuse de se fondre dans des moules préétablis, a voulu exprimer cet absolu désir de liberté qui anime la plupart des artistes tout en exaltant l'éternelle beauté de ses si chères Cévennes. Plein les yeux est un roman d'artiste à la démarche originale dont le but ultime n'est autre que la recherche du bonheur, même si, en passant, il doit un peu bousculer les codes et les habitudes. "- Il me faut lâcher prise ! C'est bien la première fois qu'il emploie cette expression, mais confusément il sait qu'il n'a pas le choix. S'il veut réussir, il doit peindre ce qu'il ressent. Ce qu'il voit ne doit être qu'un point de départ, un prétexte. L'important, c'est son émotion... "

05/2020

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Sous le soleil, les armes

C'était la guerre d'Algérie. Il avait vingt ans et dans ses yeux des étoiles s'allumaient aux noms d'Orson Welles, de John Ford, de Chaplin et des autres. Quand on l'appela sous les drapeaux, le service cinéma des armées lui semblait promis. Mais le destin vous joue parfois des tours. Quand on lui demanda de décliner sa profession avant de l'incorporer, il répondit fièrement : cinéphile. L'adjudant de service comprit "cynophile" et l'expédia dam le bled comme maitre-chien ! Il se voulait cinéaste, il devint bidasse, fusil sur l'épaule, grenades à la ceinture, dans un voyage au bout de l'enfer où ses copains mouraient, où l'on torturait, où l'on tuait avant de partager la bière et de finir au paradis factice des amours tarifés. Sa vie n'était pas du cinéma, et pourtant... Gérard Mordillat

03/2022

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Sous le soleil, les armes

"C'était la guerre d'Algérie. Il avait vingt ans et dans ses yeux des étoiles s'allumaient aux noms d'Orson Welles, de John Ford, de Chaplin et des autres. Quand on l'appela sous les drapeaux, le service cinéma des armées lui semblait promis ; presque, lui revenait de droit. Il suffit parfois de peu pour que le destin vous joue l'un de ses tours... Quand on lui demanda de décliner sa profession avant de l'incorporer, il répondit fièrement : cinéphile. Le capitaine de la compagnie comprit "cynophile" et l'expédia dans le bled comme maître-chien ! Il se voulait cinéaste, il se retrouvait bidasse, fusil sur l'épaule, grenades à la ceinture, dans un voyage au bout de l'enfer où ses copains mouraient, où l'on torturait, où l'on tuait avant de partager la bière et les conneries et de finir au paradis factice des amours tarifées. Sa vie, ce n'était pas du cinéma et pourtant, ça l'était déjà." Gérard Mordillat

04/2019

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Gautier Languereau

Dans le jardin

Dans les allées fleuries du jardin, deux mésanges virevoltent. Elles ont perdu leur petit. Pour le retrouver, suis-les entre les rangs de tomates et les arbres fruitiers, sous les rayons du soleil et à l'ombre des feuillages. Au fil des pages, tu vas croiser plusieurs familles d'animaux. Ouvre bien les yeux, beaucoup sont dissimulés dans le décor. Et il y a aussi des intrus surprenants... Prêt à les trouver ? Attention, il y en a plus de 100 !

09/2024

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