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Le serpent majuscule

Extraits

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Romans noirs

Le serpent majuscule

"Avec Mathilde, jamais une balle plus haute que l'autre, du travail propre et sans bavures. Ce soir est une exception. Une fantaisie. Elle aurait pu agir de plus loin, faire moins de dégâts, et ne tirer qu'une seule balle, bien sûr". Dans ce réjouissant jeu de massacre où l'on tue tous les affreux, l'auteur use avec brio de sa plume caustique. Avec cette oeuvre de jeunesse, il fait cadeau à ses lecteurs d'un roman noir et subversif qui marque ses adieux au genre. Dialogues cinglants, portraits saisissants, scénario impitoyable : du pur Pierre Lemaitre.

04/2022

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CD K7 Littérature

Le Serpent majuscule

Mathilde Perrin a 63 ans. Elle est veuve et habite un pavillon à Melun avec son dalmatien et son léger problème de surpoids. Mais surtout Mathilde est tueuse à gages. Ancienne résistante au caractère bien trempé, elle exécute depuis trente ans les contrats que le Commandant lui confie. L'inspecteur Vassiliev enquête sur les meurtres qu'elle a commis. Parce que, depuis quelque temps, Mathilde cultive une petite disposition à se laisser aller à quelques cruautés gratuites pour enjoliver ses missions. Et elle commence à sérieusement perdre la boule. Elle oublie de se débarrasser de son arme, elle se trompe de cible, elle croit que son voisin a décapité son chien... C'est savoureux, très drôle et fort méchant. Ca défouraille dans tous les sens avec de grands moments tarantinesques. Car comme l'écrit Pierre Lemaitre : "Le tueur est comme le commerçant, l'état d'urgence fait sa fortune".

06/2021

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Romans policiers

Le serpent majuscule

"Avec Mathilde, jamais une balle plus haute que l'autre, du travail propre et sans bavures. Ce soir est une exception. Une fantaisie. Elle aurait pu agir de plus loin, faire moins de dégâts, et ne tirer qu'une seule balle, bien sûr." Dialogues cinglants, portraits saisissants, et scénario impitoyable pour ce polar réjouissant, véritable jeu de massacre où les affreux se font allègrement dégommer.

07/2021

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Romans noirs

Le serpent majuscule

"Avec Mathilde, jamais une balle plus haute que l'autre, du travail propre et sans bavures. Ce soir est une exception. Une fantaisie. Elle aurait pu agir de plus loin, faire moins de dégâts, et ne tirer qu'une seule balle, bien sûr". Dans ce réjouissant jeu de massacre où l'on tue tous les affreux, Pierre Lemaitre joue en virtuose de sa plume caustique. Avec cette oeuvre de jeunesse inédite, il fait cadeau à ses lecteurs d'un roman noir et subversif qui marque ses adieux au genre. Dialogues cinglants, portraits saisissants, scénario impitoyable : du pur Pierre Lemaitre. " [... ] [Une] réussite totale, une langue savoureuse, une intrigue parfaite, un ton délicatement sarcastique" Le Canard Enchainé "Un roman savoureux, drôle et fort méchant" Biblioteca "C'est noir, très drôle et complètement inattendu" Madame Figaro

05/2021

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Policier-Espionnage

Le Serpent majuscule

Mathilde est une tueuse à gages septuagénaire. Henri, son ancien camarade dans la Résistance pour qui elle exécute les missions, tente de la protéger. Mais, imprévisible, les accès de violences de Mathilde et son manque de discrétion inquiètent ses véritables commanditaires qui décident de l'éliminer avant qu'elle ne devienne incontrôlable.

03/2025

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Correspondance

Funambule majuscule

Avant d'écrire, Guy Boley a lu, énormément, en vrac et à l'emporte-pièce, comme tout autodidacte. Puis, un jour, un livre de Pierre Michon, Vies minuscules. Ebloui par ce texte, il est allé le rencontrer, il y a plus de trente ans, dans une librairie, lors d'une séance de signatures. Ils sont devenus amis. Quelques années plus tard, il lui écrit cette lettre, hommage non idolâtre dans lequel il compare le métier d'écrivain à celui qui fut le sien des années durant : funambule. Qu'ont en commun l'auteur et l'acrobate ? Presque tout de ce qui rend la vie séduisante, dont ceci : chacun doit affronter le vertige, le vide, et le risque la chute. Parce qu'il a su braver la peur et se relever après s'être brisé maintes fois, Pierre Michon mérite, aux yeux de Guy Boley, le titre de Funambule Majuscule. Il nous dit pourquoi. Mais pour illustrer son propos, il se livre également et partage avec nous ses souvenirs d'un temps où il risquait sa peau en traversant le ciel. Il raconte comment il grimpait des mètres au-dessus du sol pour s'élever et tendre ses cordes d'acier avant de se lancer, et nous invite sur les toits, les clochers, les hauteurs, à le suivre. Déclaration d'amour, ce court texte est le plus intime de Guy Boley. Il y assume le je pour se confier, se raconter funambule, lecteur et prétendant auteur, mais aussi revenir sur ses rêves utopiques de jeune soixante-huitard ou la mort de son père. Avec une force et une poésie brutes, il nous livre ainsi une confession inédite et une réflexion profonde et terriblement juste sur l'écriture, la littérature, et la beauté que traquent ceux qui la servent encore. La lettre est suivie de la réponse de Pierre Michon à Guy Boley.

01/2021

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