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Le retour du prince

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Sociologie politique

Le retour du prince

Alors que les citoyens n'ont jamais été autant en demande de participation démocratique, notre époque voit ressusciter, sous de nouveaux atours, une figure politique que l'on croyait évanouie : celle du Prince. Homme fort, allégorie de l'action et du changement, il est plus que jamais sur le devant de la scène, éclipsant corps intermédiaires et contre-pouvoirs. Obama, Macron, Trudeau, Trump, Salvini, Bolsonaro... Qu'on les adule ou qu'on les déteste, les dirigeants contemporains se retrouvent "starisés" et gouvernent seuls. En acceptant d'abdiquer notre responsabilité au profit de ces icônes transformées en personnages de fiction, nous oublions que la démocratie, aventure collective, est avant tout ce que nous en faisons. De Machiavel à House of Cards en passant par Shakespeare et Claude Lefort, Vincent Martigny explore les modalités et les conséquences de notre obsession pour les chefs. Car il y a urgence : sommes-nous encore capables d'exercer notre pouvoir de citoyens ?

03/2019

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Non classé

Le retour du monstre poilu

Le prince charmant et la petite Lucile ont tout pour être heureux, poils aux yeux, mais la petite Lucile, poils aux cils, s'ennuie et veut revoir le château de son papa. Le prince, très en colère, poils aux nerfs, explose alors en mille morceaux. Et à sa place, apparaît le monstre poilu... Dès 4 ans.

09/2021

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Machiavel

Le Prince

A l'origine de la légende du "machiavélisme", Le Prince est en réalité un manuel destiné à fournir au "Prince" qui viendra gouverner l'Italie les recettes qui lui permettront de sauver le pays. Les guerres d'Italie l'ont en effet ravagé en tous sens, et les principautés italiennes n'ont pu opposer aux armées étrangères (françaises, espagnoles…) que d'inefficaces troupes de mercenaires, les condottieri. Machiavel, qui n'est plus aux affaires depuis le retour des Médicis à Florence, appelle donc à une refondation politique nécessaire, autour d'un Prince nouveau. A ce Prince, il faut fournir des modèles, et des "contre-modèles". Ce souci de l'efficacité vaudra à ce qui est sans doute le premier véritable manuel moderne de sciences politiques la réputation sulfureuse qui l'a poursuivi jusqu'à nos jours.

05/2013

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Machiavel

Le Prince

Conquérir le pouvoir ? Rien de plus simple, pour ceux que favorise la Fortune et qui acceptent d'être des créateurs d'Etat. Mais le conserver, voilà qui exige de la virtus. Car il faut conduire les hommes selon la nécessité d'un temps politique toujours incertain. Dans Le Prince, Nicolas Machiavel (1469-1527) expose cet art de gouverner en brisant les miroirs au prince des temps médiévaux. Il l'écrit en 1513, alors que le retour des Médicis l'éloigne de l'engagement républicain qui fut la passion d'une vie entièrement tournée vers l'action politique. Il l'écrit pour parer les coups et comprendre sa défaite. Non pour rêver de cités idéales, mais pour nommer avec exactitude la réalité du pouvoir, cet exercice habile de la domination. Provocateur, drôle parfois, mais toujours surprenant, Le Prince fut écrit en état d'urgence - la traduction de Jacqueline Risset restitue à sa langue son irrésistible vélocité. Car Le Prince file droit jusqu'à nous. Quelque soit l'idée préconçue que l'on se fasse du "machiavélisme", on le lit toujours au présent. Aussi les commentaires que propose ici Patrick Boucheron visent en même temps à restituer le texte dans son temps historique d'incertitude politique et à le donner à lire dans sa capacité d'actualisation. Ce qui s'y joue ? Rien moins que l'idée de Renaissance.

11/2021

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Méthodes adultes

Le prince

Conquérir le pouvoir ? Rien de plus simple, pour ceux que favorise la Fortune et qui acceptent d'être des créateurs d'Etats. Mais le conserver, voilà qui exige de la virtus. Car il faut conduire les hommes selon la nécessité d'un temps politique toujours incertain. Dans Le Prince, Nicolas Machiavel (1469-1527) expose cet art de gouverner en brisant les miroirs au prince des temps médiévaux. Il l'écrit en 1513, alors que le retour des Médicis l'éloigne de l'engagement républicain qui fut la passion d'une vie entièrement tournée vers l'action politique. Il l'écrit pour parer les coups et comprendre sa défaite. Non pour rêver de cités idéales, mais pour nommer avec exactitude la réalité du pouvoir, cet exercice habile de la domination. Provocateur, drôle parfois, mais toujours surprenant, Le Prince fut écrit en état d'urgence, la traduction de Jacqueline Risset restitue à sa langue son irrésistible vélocité. Car Le Prince file droit jusqu'à nous. Quelle que soit l'idée préconçue que l'on se fasse du "machiavélisme", on le lit toujours au présent. Aussi les commentaires que propose ici Patrick Boucheron visent en même temps à resituer le texte dans son temps historique d'incertitude politique et à le donner à lire dans sa capacité d'actualisation. Ce qui s'y joue ? Rien moins que l'idée de Renaissance. Cette édition illustrée tente de reconstituer la culture visuelle du temps de Machiavel. Peinture, sculpture, architecture, mais aussi objets plus ordinaires du cadre de vie princier, choisis et légendés par Antonella Fenech Kroke. Tout ici concourt à donner à voir l'éclat d'un moment où le prince se vivait comme le créateur d'un Etat considéré comme une oeuvre d'art.

07/2008

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Machiavel

Le Prince

Conquérir le pouvoir ? Rien de plus simple, pour ceux que favorise la Fortune et qui acceptent d'être des créateurs d'Etats. Mais le conserver, voilà qui exige de la virtus. Car il faut conduire les hommes selon la nécessité d'un temps politique toujours incertain. Dans Le Prince, Nicolas Machiavel (1469-1527) expose cet art de gouverner en brisant les miroirs au prince des temps médiévaux. Il l'écrit en 1513, alors que le retour des Médicis l'éloigne de l'engagement républicain qui fut la passion d'une vie entièrement tournée vers l'action politique. Il l'écrit pour parer les coups et comprendre sa défaite. Non pour rêver de cités idéales, mais pour nommer avec exactitude la réalité du pouvoir, cet exercice habile de la domination. Provocateur, drôle parfois, mais toujours surprenant, Le Prince fut écrit en état d'urgence, la traduction de Jacqueline Risset restitue à sa langue son irrésistible vélocité. Car Le Prince file droit jusqu'à nous. Quelle que soit l'idée préconçue que l'on se fasse du "machiavélisme", on le lit toujours au présent. Aussi les commentaires que propose ici Patrick Boucheron visent en même temps à resituer le texte dans son temps historique d'incertitude politique et à le donner à lire dans sa capacité d'actualisation. Ce qui s'y joue ? Rien moins que l'idée de Renaissance. Cette édition illustrée tente de reconstituer la culture visuelle du temps de Machiavel. Peinture, sculpture, architecture, mais aussi objets plus ordinaires du cadre de vie princier, choisis et légendés par Antonella Fenech Kroke. Tout ici concourt à donner à voir l'éclat d'un moment où le prince se vivait comme le créateur d'un Etat considéré comme une oeuvre d'art.

08/2016

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