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Le prix de l'inégalité

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Dossier

Le Grand Prix de l'Académie française

Prix annuel, créé en 1914, le Grand Prix de l'Académie française vient récompenser l’auteur du roman que l’Académie a jugé le meilleur de l’année. Doté de 10.000 € depuis 2016, il est habituellement décerné à la fin du mois d'octobre, au cœur de la rentrée littéraire.

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Dossier

Le Prix Goncourt de la biographie

Dès 1980, l'Académie Goncourt se dote d'une bourse pour soutenir les auteurs de biographie : Jean Lacouture reçoit la première récompense pour son ouvrage François Mauriac, consacré à l'auteur d'Un Nœud de vipères et publié par les éditions du Seuil. Devenu un Prix Goncourt au même titre que le Goncourt de la nouvelle, par exemple, le prix est désormais remis chaque année par les académiciens, au cours d'une cérémonie organisée à Nancy pendant l'événement Le Livre sur la Place.

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Dossier

Le Prix de la littérature arabe

Créé en 2013, le Prix de la littérature arabe est la seule récompense française distinguant la création littéraire arabe : il salue le roman ou le recueil de nouvelles d'un écrivain ressortissant de la Ligue arabe et auteur d'un ouvrage écrit en arabe et traduit en français ou directement écrit en français.

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Dossier

Rentrée 2022 : les prix littéraires de l'automne

Légérement chahutés par la crise sanitaire, les prix littéraires de la rentrée ont repris du poil de la bête et restent des rendez-vous incontournables de l'année éditoriale. Prix Goncourt en majesté, bien sûr, mais aussi le Prix Décembre, le Prix Renaudot, le Prix Interallié et tant d'autres...

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Dossier

Le Prix des Libraires

Créé en 1955, le Prix des Libraires est porté par une association réunissant des libraires indépendants. Chaque année, la récompense, décernée au mois de mai ou juin, vient saluer un roman écrit en français. La particularité du prix est de permettre à tous les libraires indépendants de faire entendre leur voix...

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Dossier

Les prix littéraires de la rentrée

Goncourt, Renaudot, Fémina, Medicis, Interallié... sans compter les prix qui sont créés par des enseignes, Leclerc, Cultura ou Fnac... Les occasions de faire sauter le champagne ne manquent pas.

Extraits

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Economie

Le prix de l'inégalité

Son livre à paraître est consacré à l'un des grands sujets de l'économie actuelle et curieusement assez peu traité : Les inégalités. Dans ce livre majeur Joseph Stiglitz explique comment les inégalités ont ainsi prospéré dans le monde depuis près de 20 ans. Et pourquoi ces tels écarts de richesses entre les plus riches et les plus pauvres sont à la fois inacceptables socialement et extrêmement dangereux économiquement. En effet Stiglitz démontre magistralement qu'il n'y aurait sans doute jamais eu la crise de 2007 si les classes pauvres et moyennes américaines notamment avaient vu leur pouvoir d'achat augmenté régulièrement (il stagne voire décroît aux Etats Unis depuis 2 décennies). Contrairement à la doxa libérale qui pense que moins l'Etat intervient pour réglementer mieux se porte l'économie, l'auteur démontre que c'est précisément cette absence de régulations qui a provoqué la crise. De même contrairement à la doxa libérale qui prétend que l'argent ruisselle spontanément des plus riches vers les plus pauvres, la richesse s'est concentré en un glacis détenu pour l'essentiel par 1% des habitants du globe. Un livre qui bien entendu non content de dénoncer et d'expliquer , toujours avec un remarquable sens pédagogique, propose de solutions et surtout d'autres alternatives à un système économique mondial qui, s'il n'est pas profondément réformé, risque l'effondrement.

09/2012

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Autres philosophes

De l'inégalité

Je veux opposer la liberté de l'esprit humain au chaos des ténèbres élémentaires qui font retourner la société à la barbarie, mais l'opposer aussi aux systèmes simplificateurs, utopistes, rationalistes, matérialistes. La passion égalitaire provoque toujours un abaissement du niveau de la personne humaine. La démocratie, idéologie des quantités, ne peut manquer de conduire au règne des pires et non des meilleurs. La qualité, elle, est fonction d'un ordre de l'inégalité. C'est par la culture, et non par la politique ni par l'économie, que la société atteint ses fins. Or il y a dans le monde un conflit et une incompréhension tragiques entre l'homme qui aspire à la liberté créatrice et la masse qui veut la satisfaction mécanique des besoins. Et tous deux sont moteurs de nos destinées. La solution nous est-elle apportée par la raison, qui triomphe dans les systèmes étatiques ? La guerre est une réfutation expérimentale de la conception rationaliste de l'histoire. Alors, l'anarchie ? Elle est un homicide, tout comme l'est le socialisme ; car, détruire la structure hiérarchique du cosmos historique, c'est détruire l'histoire, et non pas la faire. Ni " gauche " ni " de droite ", je veux que commence un mouvement vers ce qui est élevé et profond. Telle est la visée de cette œuvre maîtresse de Berdiaev, réquisitoire, véhément contre tous les réductionnismes politiques et sociaux, plaidoyer inspiré et réfléchi pour le sens réel de vie de l'homme dans le cosmos. C'est le grand Berdiaev, l'un des penseurs les plus incisifs du XXe siècle, le plus prophétique des écrivains russes, qui analyse ici avec feu l'histoire de notre temps et qui met en procès la démocratie et le libéralisme, la guerre et la révolution, l'anarchie et l'Etat, l'aristocratie et la culture, en rendant à César et à Dieu ce qui leur appartient, à l'homme ses droits, mais aussi son devoir.

09/2008

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Romans graphiques

Alfred Nobel. Le prix de la Paix

Cet ouvrage s'adresse à tous ceux qui s'interrogent sur ce paradoxe : comment un homme, un industriel qui a fait commerce de son invention, la dynamite, a-t-il pu parallèlement créer un prix pour la Paix et lui donner son nom ? Tout le monde connaît les prix Nobel. A la fin de sa vie, après avoir fait fortune, Alfred Nobel a créé un prix décerné chaque année et pour la première fois en 1901 aux personnes les plus méritantes dans cinq disciplines : physique, chimie, littérature, médecine et action pour la paix. Ce roman graphique nous raconte le parcours étrange de cet industriel globe-trotter, inventeur de la dynamite, écartelé entre sa curiosité du monde, sa soif de sciences et ses lectures poétiques ; entre ses inventions dévastatrices et ses désirs de paix ; sa misanthropie et son aisance en public ; son immense fortune et sa vie de nomade ; ses amours déchues et ses rêves d'amour, et l'omniprésence de la mort. N'ayant pas d'héritiers directs, il a souhaité laisser une trace (et peut-être se racheter des souffrances involontaires, des morts civiles et militaires qui jonchent sa route). Une femme, Bertha von Suttner, va orienter ses réflexions et ses actions pour l'humanité, vers l'espoir d'un avenir pacifié. Les convictions d'Alfred Nobel seront confortées, et parfois bousculées, par cette influence féminine. Il en résultera un testament universel et la création des prix Nobel. Des images fortes et des textes parfois décalés engagent le lecteur à la réflexion.

10/2021

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Economie

Eloge de l'inégalité

Il y a de la provocation bien sûr dans le titre de ce livre, comme Jean-Philippe Delsol Erasme en avait usé dans son Eloge de la Folie. Il s'agit de s'insurger contre cette doxa contemporaine qui voudrait que l'égalité soit la mesure de toute chose. Pire, seul prévaudrait désormais l'égalitarisme au point de ne plus vouloir considérer les personnes dans leur identité et leurs différences, mais dans leur conformité à un modèle commun, toutes semblables sans distinction de valeur. L'égalité est devenue l'obsession maladive de notre monde tandis que la jalousie ordinaire le taraude pour faire de l'inégalité son bouc émissaire préféré. L'égalité est la même promesse confiée à chacun de pouvoir trouver sa voie librement. Et cette liberté permet ainsi à chacun de bâtir son identité singulière et inégale. Mieux vaut une certaine inégalité qui ré-enchante l'humanité plutôt que la grisaille morne et volontiers violente de l'égalité imposée. Le combat éternel des hommes est de trouver un juste milieu, comme le remarquait déjà Montesquieu en soulignant que "le principe de la démocratie se corrompt, non seulement lorsqu'on perd l'esprit d'égalité, mais encore quand on prend l'esprit d'égalité extrême" .

11/2019

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Sciences politiques

Les vertus de l'inégalité

10 idées fortes de ce livre : - La dramatisation des inégalités visibles dans les pays développées cache la forte réduction des inégalités au niveau mondial, avec la sortie de milliards d'humains de la pauvreté en quelques décennies. - L'égalité n'est pas de ce monde : chacun naît et grandit avec un patrimoine génétique unique, dans une famille, une société, une culture, une région différente. - L'inégalité reflète la diversité des différences propres à chaque être humain. - L'économie de marché permet l'expression et la rencontre des différences individuelles, à travers les spécificités de l'offre et de la demande, qui se traduisent en inégalités économiques récompensant la valeur ajoutée apportée à la société. - L'inégalité économique est naturelle et vecteur de motivation, l'égalitarisme est contreproductif et démotivant. - L'inégalité est mauvaise quand elle ne reflète pas le la valeur ajoutée apportée par un individu à la société, mais qu'elle résulte d'un obstacle ou d'une entorse à l'égalité des chances. - L'interventionnisme pour corriger les inégalités naturelles est un obstacle au progrès. - Mieux vaut chasser les mauvaises inégalités et promouvoir l'égalité des chances à titre préventif, que l'égalité des résultats à titre correctif. - Les politiques fiscales et sociales doivent être réformées pour mieux favoriser et promouvoir l'égalité des chances, au lieu de se focaliser sur l'égalité des résultats. - Replacer les parents et la famille au coeur du dispositif par des actions concrètes, même si elles requièrent du temps et des moyens plutôt que des allocations ou redistributions de richesses.

11/2017

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Economie

La mondialisation de l'inégalité

L’inégalité mondiale des niveaux de vie relève d’une évolution paradoxale. Après avoir crû inexorablement du début du XIXe au milieu du XXe siècle, elle s’est mise à décliner au cours des vingt dernières années, du fait de la croissance d’un certain nombre d’économies (dites « émergentes »). En même temps, l’inégalité tend à augmenter à l’intérieur d’un grand nombre de pays, alimentant injustices et tensions sociales. Dans quelle mesure la mondialisation, pour partie responsable de l’égalisation entre les nations, substitue-t-elle à l’inégalité internationale un surcroît d’inégalité au sein même des espaces nationaux ? Ce livre examine les tenants et les aboutissants de ce paradoxe, ainsi que les instruments dont disposent les décideurs nationaux et internationaux pour maîtriser cette évolution. Il importe de veiller à ce que le développement de l’économie mondiale continue de réduire l’inégalité internationale entre les niveaux de vie, mais ce progrès ne sera durable que s’il respecte le principe d’équité au sein des nations.

08/2012

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