Août ouvre, devant « la bande aux yeux marron », des heures innombrables pour ne plus se quitter, pour profiter du soleil, de la forêt où se balader à vélo, de la rivière où pêcher, pour discuter, refaire le monde, « continuer à nouer ces liens qui [les] unissaient depuis si longtemps ». Depuis la maternelle. Et en profiter pour oublier le grand saut qu’allait représenter la future rentrée au lycée du village voisin.