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Le monde après mon grand-père

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Le monde après mon grand-père

"Mon grand-père a fait rêver la planète. Il n'était pas né écologiste. Son cri d'alarme est venu des tripes, de ce qu'il a vu et ressenti en explorant le monde. C'est lui qui m'a appris à plonger dans la mer, quand j'avais neuf ans. Mon enfance à moi m'a fait respirer le poumon de la Terre. Depuis, je n'ai cessé de retourner en Amazonie. Auprès de ces tribus, au milieu de ces arbres majestueux, j'ai appris une leçon essentielle : il faut se souvenir de ce que c'est, survivre. J'aurais aimé poursuivre le dialogue avec mon grand-père, lui raconter ce que je fais. Cette continuité lui aurait donné de la joie. Car les temps ont changé et il y a urgence. Nous devons laisser la nature reprendre son souffle. Ma famille sonne l'alarme depuis trois générations. Il nous faut repartir des choses simples, de nos origines. Puis passer à l'action. Ce qui va déterminer ce changement, c'est de savoir si nous avons vraiment envie de vivre".

09/2020

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Littérature anglo-saxonne

Aristote, mon père

Pythias, la fille d'Aristote, a été élevée à l'égal des hommes. C'est elle, et non son frère cadet, qui assiste Aristote dans ses travaux, provoquant les collègues de son père et se rêvant en philosophe, scientifique ou sage-femme. La mort d'Aristote disperse ses biens et sa famille à travers la Macédoine, laissant Pythias seule, en décalage avec cette société qui nie l'existence d'une conscience féminine et l'oblige à se confronter à la réalité d'un monde dont elle s'était toujours tenue écartée. Après Le Juste Milieu, qui évoquait la relation entre le jeune Alexandre le Grand et son précepteur Aristote, Annabel Lyon renouvelle le défi d'écrire l'Antiquité d'une plume actuelle et spontanée. Aristote, mon père exhale le soufre des temples, le sang des femmes et les larmes de la tragédie.

06/2025

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Littérature anglo-saxonne

Aristote, mon père

Pythias, la fille d'Aristote, a été élevée à l'égal des hommes. Elle fait figure d'exception à Athènes, puis en Macédoine où elle est contrainte de s'exiler : c'est elle, et non son frère cadet, qui assiste Aristote dans ses travaux, provoque les collègues de son père par ses remarques pointues, et se rêve en philosophe, scientifique ou sage-femme. La mort d'Aristote disperse ses biens et sa famille à travers la Macédoine, laissant Phytias seule, en décalage avec cette société qui nie l'existence d'une conscience féminine, et l'oblige à se confronter à la réalité d'un monde dont elle s'était toujours tenue écartée. Après Le Juste Milieu, qui évoquait la relation entre le jeune Alexandre le Grand et son précepteur Aristote, Annabel Lyon renouvelle le défi ambitieux d'écrire l'Antiquité d'une plume actuelle et spontanée. Aristote, mon père exhale le soufre des temples, le sang des femmes et les larmes de la tragédie.

08/2014

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Marques et modèles automobiles

La Peugeot 605 de mon père

Ligne féline, châssis félin, la nouvelle 605 concentre tous les acquis de la série "05", elle repousse les limites de la physique sur la route. Personne n'avait conduit avant elle une grande auto aussi diaboliquement agile, aussi diaboliquement efficace dès que la ligne droite se fait courbe et ce dans le plus grand confort. Pure magie, pur plaisir. Une vraie révolution. Trente années après savenue au monde, la modernité de la 605 est intacte tant sur le plan technique que sur celui du style extérieur ou intérieur. Retour sur une grande lionne fascinante qui fait pour l'éternité honneur à son constructeur.

01/2019

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Littérature française

Le monde d'avant

" Je paie ma dette. Le petit garçon qui regardait est devenu l'homme qui se souvient. J'ai désormais atteint l'âge de mon grand-père lorsque je le côtoyais dans mon enfance. On croit parfois conquérir avant de comprendre que l'on retrouve. J'écris ici comme un être de la mémoire secondaire qui a vécu quelques étés d'avant dans un monde finissant. Sans ces fantômes, la main qui paraphe ne grifferait qu'une page blanche. Ces pauvres m'ont fait riche. J'ai le souci de ne pas décevoir leur digne passé. " A partir de la figure de son grand-père, Marc Lambron revisite une France perdue dans un texte bref qui a la densité d'un tombeau et la beauté d'une élégie. Pierre Denis nait en 1902 à Imphy, sur les bords de la Loire, dans la grande campagne nivernaise. La région, à la pointe du manufacturage des aciers spéciaux, est un des fleurons de la métallurgie française (un pied de la Tour Eiffel y sera forgé...). Orphelin de mère à 6 ans, placé dans la fermette de sa tante, alphabétisé à la communale, Pierre devient à 16 ans Compagnon du devoir, apprenti maçon et tailleur de pierre. A son retour de l'Algérie coloniale, il est embauché aux aciéries d'Imphy. C'est en 1929 qu'il épousera Léonie Lagarde, née quatre ans après lui à Imphy dans une famille nombreuse (6 frères et soeurs), vendeuse de vêtements, garde d'enfants et ménagère. De leur union naitra en 1931 la mère de l'auteur, Jacqueline, à laquelle ses mérites scolaires vaudront une bourse d'Etat pour aller étudier dans un collège à Nevers. Militant " rouge " en 1936 (" on a bien le temps de pâlir " disait-il...), Pierre sera Résistant dans la Nièvre pendant la deuxième guerre mondiale. Les maisons, les moeurs, la subsistance en autarcie, la vêture, la pêche, le patois, la parentèle éloignée : " tout cela peut paraître aussi lointain que la description d'un shtetl dans la Pologne d'antan. Et pourtant j'ai encore connu ce monde " . Un monde dont Jacqueline, " enfant du savoir " , s'éloigne en devenant institutrice à Nevers et en faisant la connaissance de Paul, fringuant élève de l'Ecole militaire qu'elle rejoindra à Lyon. De leur union naîtra en février 1957 le petit Marc, quatre ans avant la mort de sa grand-mère Léonie et vingt ans avant celle de son grand-père Pierre.

02/2023

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Littérature française

La gloire de mon père

Un petit Marseillais d'il y a un siècle: l'école primaire ; le cocon familial ; les premières vacances dans les collines, à La Treille ; la première chasse avec son père... Lorsqu il commence à rédiger ses Souvenirs d'enfance, au milieu des années cinquante, Marcel Pagnol est en train de s'éloigner du cinéma., et le théâtre ne lui sourit plus.La Gloire de mon père, dès sa parution, en 1957, est salué comme marquant l'avènement d'un grand prosateur. Joseph, le père instituteur., Augustine, la timide maman., l'oncle Jules, la tante Rosé, le petit frère Paul, deviennent immédiatement aussi populaires que Marius, César ou Panisse. Et la scène de la chasse à la bartavelle se transforme immédiatement en dictée d école primaire... Les souvenirs de Pagnol sont un peu ceux de tous les enfants du monde. Plus tard, paraît-il, Pagnol aurait voulu qu'ils deviennent un film. C 'est Yves Robert qui, longtemps après la mort de l'écrivain, le réalisera. "Je suis né dans la ville d'Aubagne. sons le Garlaban couronné de chèvres au temps des derniers chevriers".

01/2000

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