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Le méchant bon Dieu

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Littérature française

Le méchant bon Dieu

A l'heure où Malraux nous presse de " réintégrer les dieux ", un homme de bonne volonté propose ici la contribution de sa recherche. Anciennement enraciné dans le rigorisme chrétien, il observe la décomposition rapide de cette institution et voit, dans la fracture culturelle grandissante, une immense promesse de renouveau. Qu'est-ce que le bien, le mal, le bonheur, la souffrance, les religions, le message évangélique, ce Dieu-Amour qui nous écrase ? Ce texte ébranle les certitudes et entrouvre discrètement des horizons inattendus.

09/2024

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Littérature française

Judith Renaudin

Extrait : "PREMIER PAYSAN, au Curé - Ah ! c'est le bon Dieu qui vous amène, monsieur le curé, car nous ne sommes guère savants, nous autres, pour lire. Quoique nous soyons des protestants, vous ne refuserez pas de nous lire tout au long ce qu'il y a là, n'est-ce pas, car vous n'êtes pas un méchant homme, vous, pour sûr ! "

03/2015

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Judith Renaudin

Impression en "gros caractères" . Extrait : "PREMIER PAYSAN, au Curé - Ah ! c'est le bon Dieu qui vous amène, monsieur le curé, car nous ne sommes guère savants, nous autres, pour lire. Quoique nous soyons des protestants, vous ne refuserez pas de nous lire tout au long ce qu'il y a là, n'est-ce pas, car vous n'êtes pas un méchant homme, vous, pour sûr ! "

03/2015

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Romans historiques

Le comte de Monte-Cristo

"Derrière moi, invisible, inconnu, irrité, il y avait Dieu, dont je n'étais que le mandataire et qui n'a pas voulu retenir la foudre que j'avais lancée. Oh ! j'adjure ce Dieu, aux pieds duquel depuis dix ans je me prosterne chaque jour, j'atteste ce Dieu que j'avais fait le sacrifice de ma vie, et avec ma vie celui des projets qui y étaient enchaînés. Mais, je le dis avec orgueil, [... ], Dieu avait besoin de moi, et j'ai vécu. Examinez le passé, examinez le présent, tâchez de deviner l'avenir, et voyez si je ne suis pas l'instrument du Seigneur ; les plus affreux malheurs, les plus cruelles souffrances, l'abandon de tous ceux qui m'aimaient, la persécution de ceux qui ne me connaissaient pas, voilà la première partie de ma vie ; puis, tout à coup, après la captivité, la solitude, la misère, l'air, la liberté, une fortune si éclatante, si prestigieuse, si démesurée, que, à moins d'être aveugle, j'ai dû penser que Dieu me l'envoyait dans de grands desseins. Dès lors, cette fortune m'a semblé être un sacerdoce ; dès lors, plus une pensée en moi pour cette vie [... ] ; pas une heure de calme, pas une : je me sentais poussé comme le nuage de feu passant dans le ciel pour aller brûler les villes maudites. [... ] ; de bon, de confiant, d'oublieux que j'étais, je me suis fait vindicatif, dissimulé, méchant, ou plutôt impassible comme la sourde et aveugle fatalité. Alors, je me suis lancé dans la voie qui m'était ouverte, j'ai franchi l'espace, j'ai touché au but : malheur à ceux que j'ai rencontrés sur mon chemin ! " Monte-Cristo, chap. CXII.

10/1998

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Entre deux vendredis 13

Ce qui sauve Izis, un vendredi 13 à l'Hôtel-Dieu, c'est d'abord l'intervention et les bons soins de Ludovic, l'interne de service, mais aussi le fait que ce soir-là, Raphaël, le gentil frère du méchant Paul, ait eu envie de fumer... Bon, et alors me direz-vous ? Et bien, c'est là que tout commence. Izis, ressuscitée, mais pas sainte pour autant, va illuminer tout le quartier, depuis la rue du Chat Qui Pêche, le quai des Orfèvres et Notre-Dame — en passant par les égouts —, jusqu'à Montreuil, où un vieux hangar rouillé deviendra un temple dédié à l'art vivant.

11/2021

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Sycomore Sickamour

Nous sommes les héritiers de la plus sinistre des histoires : celle qui a fait de l'amour un piège. De Adam et Eve aux séries contemporaines, elle n'a pas cessé d'être rejouée, définissant l'horizon de vie des femmes et des hommes errant sur la terre sous l'oeil mauvais du Démiurge. Il s'agit d'une histoire dans laquelle l'amour n'est pas ce qui sauve, mais ce qui enferme ; il n'est pas ce qui rend bon et joyeux, mais triste et méchant, égoïste et cruel. L'amour est un sickamour – un amour malade. Comment faire pour en échapper ? Comment faire pour retrouver ce qui a été perdu lorsque, jaloux du bonheur d'Adam et Eve, Dieu décida de les flanquer à la porte du Paradis ? Telle est la question que s'est posée Pacôme Thiellement dans Sycomore Sickamour, une promenade hallucinée et somptueuse dans les méandres d'un savoir amoureux perdu, mêlant le théâtre de William Shakespeare et les textes gnostiques, les images de Jacques Rivette et celles de David Lynch, mais aussi Buffy et Clair de lune, Raymond Roussel et John Lennon, Gérard de Nerval et Martha The Vandellas. Une promenade à la recherche du twist de l'amour heureux.

10/2018

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