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Le ghetto intérieur

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Le ghetto intérieur

Buenos-Aires, 1940. Des amis juifs, exilés, se retrouvent au café. Une question : que se passe-t-il dans cette Europe qu'ils ont fuie en bateau quelques années plus tôt ? Difficile d'interpréter les rares nouvelles. Vicente Rosenberg est l'un d'entre eux, il a épousé Rosita en Argentine. Ils auront trois enfants. Mais Vicente pense surtout à sa mère qui est restée en Pologne, à Varsovie. Que devient-elle ? Elle lui écrit une dizaine de lettres auxquelles il ne répond pas toujours. Dans l'une d'elles, il peut lire : "Tu as peut-être entendu parler du grand mur que les Allemands ont construit. Heureusement la rue Sienna est restée à l'intérieur, ce qui est une chance, car sinon on aurait été obligés de déménager." Ce sera le ghetto de Varsovie. Elle mourra déportée dans le camp de Treblinka II. C'était l'arrière-grand-mère de l'auteur. Santiago H. Amigorena raconte le " ghetto intérieur " de l'exil. La vie mélancolique d'un homme qui s'invente une vie à l'étranger, tout en devinant puis comprenant la destruction de sa famille en cours, et de millions de personnes. Vicente et Rosita étaient les grands-parents de l'auteur qui écrit aujourd'hui : "Il y a vingt-cinq ans, j'ai commencé un livre pour combattre le silence qui m'étouffe depuis que je suis né". Ce roman est l'histoire de l'origine de ce silence.

02/2020

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Le ghetto intérieur

"Vicente n'avait pas voulu savoir. Il n'avait pas voulu imaginer. Mais, en 1945, peu à peu, malgré lui, comme tout le monde, il a commencé à savoir - et il n'a pas pu s'empêcher d'imaginer". Vicente Rosenberg est arrivé en Argentine en 1928. Il a rencontré Rosita, ils se sont aimés et ont eu trois enfants. Mais depuis quelque temps, les nouvelles d'Europe s'assombrissent. A mesure que lui parviennent les lettres de sa mère, restée à Varsovie, Vicente comprend qu'elle va mourir. De honte et de culpabilité, il se mure alors dans le silence. Ce roman raconte l'histoire de ce silence - qui est devenu celui de son petit-fils, Santiago H. Amigorena.

02/2021

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Le ghetto intérieur

"Vicente Rosenberg est arrivé en Argentine en 1928. Il a rencontré Rosita Szapire cinq ans plus tard. Vicente et Rosita se sont aimés et ils ont eu trois enfants. Mais lorsque Vicente a su que sa mère allait mourir dans le ghetto de Varsovie, il a décidé de se taire. Ce roman raconte l'histoire de ce silence - qui est devenu le mien".

08/2019

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Le ghetto intérieur

Militaire polonais, Vincente a émigré en Argentine en 1928 où il s'est marié, est devenu père, et s'est enraciné. En revanche, sa mère et son frère sont restés en Pologne et alors que les nazis entament une percée inquiétante en Europe, Vincente se ronge d'angoisse pour eux. Lâcheté? Abandon ? Impuissance ? Vincente leur suggère de le rejoindre mais ne fait rien concrètement pour les y aider. Dès lors, et quelque soit l'impact sur sa famille et ses amis, Vincente s'enfonce dans le silence qui est tout à la fois une protection, une digue, un refuge, un ghetto.

02/2020

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résistances, sauvetages

Le ghetto de Minsk

Témoignage exceptionnel par sa précision historique et son sens de la narration, ce livre est un monument dédié au ghetto de Minsk, l'un des plus importants et des plus méconnus. De 1941 à 1943, Hersh Smolar fut, à l'intérieur de ce ghetto, l'un des principaux dirigeants du mouvement clandestin de résistance qui permit à plusieurs milliers de Juifs de s'enfuir dans les forêts environnantes, où se formèrent des unités de partisans. Son récit rend un magnifique hommage au combat trop souvent ignoré des Juifs à l'est de l'Europe, à tous ces hommes, toutes ces femmes, tous ces enfants, dont il ne reste parfois qu'un nom, ou même un pseudonyme, et qui s'étaient donnés pour mission, face à la machine d'extermination nazie, de "protéger et combattre", toujours, infatigablement, au nom de la vie et de la dignité.

01/2025

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Côté ghetto

Pourquoi aux Etats-Unis un jeune noir a-t-il 15 fois plus de risques qu'un Blanc de se faire tuer ? Jill Leovy nous offre une histoire vraie du meurtre en Amérique. Aux Etats-Unis, les Noirs représentent 6% de la population et 40% des victimes de meurtres. Un jeune Noir a 15 fois plus de risques de se faire assassiner qu'un Blanc. Dans certains ghettos de Los Angeles, le taux de mortalité des Afro-Américains avoisine celui des GI américains en Irak. Et si la communauté noire n'était pas victime d'une trop grande sévérité de la justice, mais au contraire, d'un laxisme qui entretient le cercle vicieux de la violence ? C'est la conclusion de la journaliste Jill Leovy. Après des années passées à recenser les meurtres à Los Angeles, et à naviguer aux côtés des unités d'homicide du LAPD, Jill Leovy nous offre un travail d'investigation monumental et nous emmène dans les rues, à l'intérieur des maisons et dans la vie d'une communauté ravagée par une épidémie d'homicide. A travers l'histoire captivante d'un meurtre en particulier - un jeune afro-américain, Bryant Tennelle, abattu un soir de printemps sans raison apparente - et de son enquête par un des rares policiers à continuer de s'engager alors que le système démissionne, John Skaggs - elle révèle les véritables origines d'une telle violence, démonte les mythes et les idées reçues et montre que la seule façon d'inverser le cycle de la violence est avec la justice.

10/2020

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