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Le coq d'or. Et autres textes pour le cinéma

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Dossier

Dix textes, pour voyager, avec soi, vers les autres

Le poète Horace nous l’a dit voilà bien longtemps : « Nul ne peut se fuir soi, en quittant sa patrie. » On lui opposerait tout de même que les voyages forment la jeunesse et qu’il ne cause aucun tort de partir à la découverte du vaste monde. Quitte à n’y trouver que soi. Alors, justement, voici quelques titres sélectionnés pour les périples qu’ils proposent.

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Dossier

Nouvelles têtes : les éditeurs suisses jeunesse et BD la jouent collectif

Nouvelles têtes est un projet porté par trois maisons d’édition suisse, axé sur la bande dessinée et la jeunesse. Considérant que l’union fait la force, Antipodes, Helvetiq et La Salamandre ont sorti de leur catalogue le meilleur de leurs ouvrages. Une mise en lumière inédite, où les textes se répondent, exposant des lignes éditoriales variées où se retrouvent les problématiques contemporaines.

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Dossier

Du stylo à la caméra : 10 ouvrages autour du cinéma

Dans notre civilisation de l’image, le cinéma est roi, et « son encre est la lumière ». À première vue, on mettrait une barrière plus ou moins étanche entre cet art et la littérature. Où sont les grandes descriptions de Stendhal dans ses adaptations cinématographiques ? Où trouver les tableaux inoubliables d’Apocalypse Now chez Flaubert ? Ce serait omettre toutes les fois où les deux arts ont dialogué avec grâce, comme tous ces Hommes de l’écrit qui ont parlé avec force du 7e art.

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Dossier

Nuit de la lecture 2023 : 12 livres jeunesse pour se faire peur

Du 19 au 22 janvier, les Nuits de la lecture joueront avec des récits parfois très inquiétants. Organisé par le Centre national du livre, cet événement s’accompagne d’une bibliographie illustrant la thématique de l’édition 2023, La Peur. Et pour débuter, voici douze ouvrages de littérature jeunesse.

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Dossier

Le trône de fer : les livres de la saga A Song of Ice and Fire de George RR Martin

Le trône de fer est une immense saga d’héroïque fantasy qui s’inspire de la série des Rois maudits de Maurice Druon. C’est au début des années 1990 que Georges R.R. Martin commence à écrire Le trône de fer, le premier volume est publié en 1996. En 2007, la chaine de télévision HBO acquiert les droits d’adaptations. L’auteur lui-même participe à sa production et écrit le scénario d’un épisode par saison. 

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Dossier

En route pour l'aventure : des livres pour voyager et s'évader

Sur terre et sur les mers, à la découverte d’horizons inconnus, voici une liste de livres qui vous embarquent vers des destinations folles. Ce sont des récits de voyage, des essais, des textes empreints de poésie, ou des biographies d’aventuriers, comme autant de panoramas de la splendeur de notre planète.

Extraits

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Poches Littérature internation

Le coq d'or. Et autres textes pour le cinéma

Le coq d'or raconte l'ascension et la chute de Dionisio Pinzón, dont la destinée se joue sur un coq doré, puis sur une cantadora, La Caponera, qui sont pour lui, comme dans la fable de La poule aux oeufs d'or, des talismans porteurs de richesses. De foire en foire, Dionisio passe de l'arène où ont lieu les combats de coqs au tapis vert des jeux de cartes. Sa vie est suspendue aux faveurs du hasard comme celle de la figure allégorique qui en tournant sur la roue de la fortune, se métamorphose : le pauvre hère s'enrichit, devient don Dionisio, tandis qu'éprise de liberté, La Caponera chante, jusqu'à ce que la main désormais impérieuse de Dionisio se referme sur elle.

02/2009

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Littérature étrangère

Le coq d'or. Et autres textes pour le cinéma

Le coq d'or raconte l'ascension et la chute de Dionisio Pinzón, dont la destinée se joue sur un coq doré, puis sur une cantadora, La Caponera, qui sont pour lui, comme dans la fable de La poule aux oeufs d'or, des talismans porteurs de richesses. De foire en foire, Dionisio passe de l'arène où ont lieu les combats de coqs au tapis vert des jeux de cartes. Sa vie est suspendue aux faveurs du hasard comme celle de la figure allégorique qui en tournant sur la roue de la fortune, se métamorphose : le pauvre hère s'enrichit, devient don Dionisio, tandis qu'éprise de liberté, La Caponera chante, jusqu'à ce que la main désormais impérieuse de Dionisio se referme sur elle...

11/1993

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Littérature étrangère

Un chercheur d'or. Et autres textes

"Je possède une mine à Oropos. Du matériau de première qualité! Qui vaut son pesant d'or! Un terrain immense, d'une profondeur incalculable, baigné d'un côté par la mer, je ne t'en dis pas plus!.. Des conditions rêvées! Une mine comme il n'y en a pas deux! C'est simple: il n'y a qu'à se baisser, ramasser et c'est la richesse assurée !" C'est par ces mots enthousiastes que Megglidis tente d'enrôler ses amis dans sa quête de fortune, dans l'exploitation de cette mine bien improbable qui l'obsède. Mais pour avoir trop voulu y croire, le pauvre Megglidis est passé du rêve à la folie.

05/2012

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Cinéma

Textes sur le cinéma

Viktor Chklovski (1893-1984), théoricien majeur de la littérature du XXe siècle, fondateur du mouvement des formalistes russes en 1914, est aujourd'hui connu du public français pour des oeuvres en prose (Voyage sentimental, Zoo, la Troisième fabrique), quelques essais et ouvrages théoriques incisifs (l'Art comme procédé, la Marche du cheval, Résurrection du mot, Théorie de la prose, Technique du métier d'écrivain), un ensemble de textes autobiographiques plus tardif (Il était une fois) et quelques autres ouvrages (le Voyage de Marco Polo, Léon Tolstoï). Mais sa contribution à la littérature cinématographique demeure largement méconnue, la part publiée (Littérature et cinématographe), trop succincte, ne permettant pas de prendre la mesure de son apport à la théorie du film à la discussion critique et à la réflexion sur la pratique du cinéma. Ce volume vient donc combler cette lacune en proposant au lecteur français un choix conséquent de ses textes consacrés au cinéma. Chklovski a cherché à jeter les bases d'une poétique du film, parallèle à l'entre-prise qu'il menait dans le champ littéraire. Cette réflexion s'accompagne d'une importante activité critique qui le conduit à s'exprimer sur les oeuvres de ses contemporains : Kouléchov, Eisenstein, Poudovkine, Vertov, mais aussi Griffith, Chaplin, Keaton ou Fairbanks. Enfin, Chklovski, travaillant comme scénariste et collaborant avec de nombreux cinéastes, a pris part aux grands débats du cinéma soviétique des années vingt. Il s'est particulièrement exprimé sur la question du scénario et de l'acteur, sur les enjeux de la production et de la diffusion des films. En 1995 plusieurs de ces textes ont été publiés en français (Poétique du film: les Formalistes russes et le cinéma - réédité à L'Age d'Homme en 2009), mais l'ampleur de la contribution chklovskienne nécessitait un recueil qui lui soit propre. On verra à les lire enfin que les textes théoriques de Kouléchov, d'Eisenstein, de Poudovkine ou de Vertov ne peuvent s'envisager en dehors des apports de la poétique de Chklovski et de ses constantes interventions engagées dans les débats contemporains. Le choix, établi à partir de la totalité du corpus dans les éditions originales des périodiques de l'époque, couvre la période la plus stimulante qui va de 1918 à 1931. Le lecteur pourra en outre accéder à une dimension littéraire qui est loin d'être subalterne dans la démarche du scénariste de Dura Lex, de Trois dans un sous-sol, de la Maison de la Place Troubnaia, celle de son style si particulier, sa joyeuse érudition empreinte d'une constante ironie et du goût du paradoxe.

04/2012

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Cinéma

Survivant de l'âge d'or. Textes et entretiens sur le cinéma 1970-2020

A présent que le cinéphage boulimique ingurgite des giclées d'images jaillissant des écrans domestiques, qui se souvient du cinéphile, au sens historique et authentique du mot ? Cet individu bizarre qui courait d'un cinoche de Belleville à un festival italien, achetait un billet d'avion pour être le seul à découvrir à Londres un film d'Edward Ludwig ou d'Edgar Ulmer. Qui pourrait imaginer nos empoignades, Cahiers contre Positif, Mac-Mahoniens contre tout le monde ? Le signal objectif le plus net du déclin puis de la disparition de la cinéphilie est son transfert du champ des activités à celui de l' "archéologie du savoir". Cela ne signifie pas qu'il n'existe plus aucun obsédé compulsif qui s'emballe pour certains cinéastes, en voue d'autres aux gémonies, se lance éperdument à la recherche d'oeuvres méconnues. Ce qui a disparu, c'est la cinéphilie en tant que phénomène de société, léger sans doute à l'échelle d'une population, mais lourd de sens pour peu que l'on passe du quantitatif à la valeur culturelle. A quelques exceptions près, Survivant de l'äge d'or se compose de textes inédits sur papier et d'entretiens, notamment radiophoniques, réalisés à partir de 2011. L'ensemble se tient à l'écart des valeurs convenues, de toute pensée obligatoire et du cinématographiquement correct.

01/2021

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Droit

Mourir pour la patrie. Et autres textes

Pourquoi le pouvoir peut-il exiger la mort ? Qu'est devenue cette interrogation fameuse, plaie ouverte dans l'humanité par le politique ? Dans le marais des vulgarités gestionnaires où nous pataugeons, nous l'étouffons. Car il n'y a pas de réponse, si ce n'est les raisons artificielles et les montages classiques du juridisme. Voilà pourquoi, dans la France d'aujourd'hui, ces textes d'Ernst Kantorowicz prennent leur force. Pour manœuvrer l'effrayante question du pouvoir, il faut des écrivains qui ne soient pas tout d'une pièce, mais capables d'entrevoir pourquoi, à travers les équivoques juridiques, le pouvoir se donne pour divin. En ces études d'histoire des droits savants au Moyen Age pullulent les analyses sur la structure européenne : généalogie du superman, théologie du fisc, etc. Mais le fil des gloses est tenu par l'interrogation finale sur le pouvoir du pouvoir, qui consiste à signifier la mort. Là-dessus, Kantorowicz restera un interprète poignant. Lui, le Juif chassé d'Allemagne, dut supporter d'apprendre qu'Hitler admirait son livre sur Frédéric II. Lui, l'exilé, démissionna de Berkeley en plein mac-carthysme. Un intellectuel qui ne déclamait pas, tel fut Kantorowicz. Retenons aussi cette leçon.

06/1984

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