Pendant mon séjour à Belle-île, j’ai pu lire « le seuil du Jardin » d’André Hardellet, livre qui m’a beaucoup ému, poétique: une espèce d'ovni littéraire, mêlant le récit onirique de Aurélia de Nerval, la science fiction (Maurice Renard) et la réflexion sur le totalitarisme. Une rareté publiée chez Imaginaire Gallimard. Hardellet est presque complètement oublié. Lorsqu’on cite son nom, c’est pour rappeler qu’il est l’auteur d’un poème mis en musique par Guy Béart, intitulé « Bal chez temporel », beau texte où la mélancolie, la nostalgie de Hardellet, qui hante tous ses textes se retrouve. Cliquez ici pour l'entendre.