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Le Joueur

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Robots, extraterrestres, IA, humains... qui aura le dernier mot ?

Ah, l'ère technologique ! Une époque où nos téléphones sont plus intelligents que nos animaux de compagnie, où nos montres peuvent nous dire combien de pas nous avons faits (comme si cela comptait vraiment après cette pizza quatre fromages) et où nos réfrigérateurs peuvent nous rappeler d'acheter du lait. Mais attendez, ce n'est pas tout ! 

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Douze auteurs, douze romans de la rentrée littéraire 2020

C’est la rentrée ! Qui dit rentrée dit rentrée littéraire, avec sa myriade de nouveautés et de découvertes. Qui dit rentrée littéraire dit l’excitation de retrouver des auteurs et autrices attendus, comme le plaisir d’en découvrir des nouveaux. Mais comment s’y retrouver parmi les parutions de cette rentrée ?

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Albums et documentaires : un monde “Sens Dessus Dessous”

« Pour faire une histoire, il faut toujours un point de départ. » Pour inaugurer ce commencement, les éditions Delcourt ont confié à Christophe Tranchant leur nouveau label : Sens Dessus Dessous. Un nouveau défi qui proposera aux jeunes lecteurs une gamme d'ouvrages illustrés et d'albums, aussi bien en fiction qu'à travers des documentaires.

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“L'Écrivain” : joies et déboires d'un métier peu commun

Fin août 2024, Tom Connan sortira son nouveau livre, Capital Rose, publié aux éditions Albin Michel. L’auteur et comédien a souhaité raconter dans ActuaLitté la construction de ce prochain ouvrage tout en nous présentant sa série L’Ecrivain, diffusée sur Connan TV. Entre journal et compte à rebours, voici l’histoire d’un projet singulier.

Extraits

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CD K7 Littérature

Le joueur

Entendre Le Joueur, c'est entendre une confession, c'est entendre une désespérance, mais c'est aussi entendre un chant d'amour. C'est entendre ce qu'Anna Grigorievna Snitkine a entendu pour la première fois, des mots qui lentement devinrent pour elle... Mais c'est encore entendre le mensonge, la duperie du moins. C'est croire avec Dostoïevski que l'aveu peut être une voie de rédemption. Mais c'est aussi une voie de leurre. Trop tôt peut-être a-t-il clamé son désir de changement, son repentir, sa volonté de sortir du cœur de la chute, dans cet enfer du jeu, dans ce Roullettenbourg, qui pour lui n'avait rien d'un lieu romanesque mais avait des couleurs infernales. Trop tôt peut-être encore a-t-il désespéré de lui. Trop tôt ? Ou trop peu sincèrement. Car ces mots mêmes qui sont les mots qui humilient, ne sont-ils pas aussi les mots qui procurent l'ivresse vertigineuse "d'une délectation morose"?... Détachement, haine sous-jacente, volonté, insolence, rancœur, tout est là. Tout, avec une fureur barbare : celle de Dostoïevski. Ce sont ses mots, son regard, sa hargne presque à contempler ce qui fait sa ruine, le conduit un peu plus chaque pas à se défaire, à se perdre. Jacques Bonnaffé se meut avec aisance dans tout cela. Avec la joie d'un disciple, il endosse la personnalité d'Alexis, à la fois vaste assez et trop étroite pour contenir Dostoïevski. Il parle, s'enivre presque des mots, sans jamais donner prise à la griserie trompeuse. C'est une ébriété lucide, voulue, recherchée même au travers d'Alexis. C'est Mme ébriété qui serait un point de contact avec Dostoïevski.

03/1999

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Poésie

Le joueur

Le joueur est notre aversion au risque, notre goût pour cet autre réel que rien ne suffit à expliquer - ni la chance, ni le souvenir, ni le rêve, ni l'étrange - sauf, peut-être, le jeu lui-même. "C'est une vie où tout se répète, / où tout recommence. / Chaque nuit est identique à la précédente, / de petits changements, / mais à peine, trois fois rien, / un autre joueur autour de la table". "Un dernier coup d'oeil dans le miroir. / Il écrase la cigarette. / Il vérifie l'heure. / Il retourne vers le lit, / éteint la lampe, / il sort".

10/2022

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Le Joueur

Qui mieux qu'un joueur pouvait décrire la descente dans l'enfer du jeu ? Courant les grands casinos européens, Dostoïevski est criblé de dettes quand il écrit ce court roman. Dans une ville d'eau imaginaire, Alexis est employé dans la maison d'un général russe endetté auprès de son entourage. Paulina, pupille du général, demande à Alexis de jouer à la roulette pour elle, son rang lui interdisant les jeux d'Hasard. Elle a besoin d'argent mais ne dit pas pourquoi à Alexis, amoureux d'elle. Le général a également besoin d'argent, il attend la mort d'une tante et l'héritage, condition pour pouvoir épouser Blanche de Comminges, une femme beaucoup plus jeune que lui. Mais, voilà, la tante découvre le jeu de la roulette... Le Joueur est un roman court de l'écrivain russe Fiodor Dostoïevski paru en 1866. Rédigé1 dans l'urgence, le roman a été dicté en vingt-sept jours2 à Anna Grigorievna Snitkina3. Pressé par son éditeur Stellovski, à qui il avait promis ce roman, contemporain de Crime et Châtiment, Dostoïevski en a néanmoins fait une oeuvre marquante. Contexte d'écriture Ce court roman composé de 17 chapitres est écrit entre les parties V et VI de Crime et Châtiment, en automne 1866. C'est par ailleurs le premier roman qu'il dicta. C'est dans un état de grande anxiété qu'il rédige Le Joueur du fait de sa collaboration avec l'éditeur crapuleux Stellovski. En effet celui-ci lui ayant acheté les droits du futur roman pour peu, a fait signer à Dostoïevski un contrat léonin, comportant une clause qui engage le romancier à rendre le roman pour le 1er novembre 18664. Il ne lui reste donc plus que 27 jours pour écrire le roman, sinon "libre à lui, Stellovski, d'éditer pendant 9 ans comme il le voudrait tout ce que j'écrirai sans avoir à me verser de gratification" . Le 31 octobre de la même année, Dostoïevski se présenta chez l'éditeur, respectant donc les engagements. L'éditeur, avide du gain que lui procurerait le non-respect du contrat, indiqua à un de ses employés de l'annoncer absent pour quelques jours. Dostoïevski ne pouvant se résoudre à accepter les conditions qui l'engageaient, alla déposer son manuscrit dans un commissariat afin de dater le roman au 31 octobre 1866 aux yeux de l'Etat.

01/2023

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Le Joueur

"Je comprenais tout ce que je risquais à perdre : tout, ma vie..." Autour de ses tapis de jeu, le général déchu se fait l'esclave d'un marquis et attend le décès de la richissime Baboulinka, sa tante. Alexis, le jeune précepteur, veut séduire l'intraitable Pauline, belle-fille de son employeur. Mais il est pauvre et doit impérativement gagner de l'argent. A son tour, il succombe à l'enfer du jeu... Hypothèques, héritages, intrigues, corruption morale sur fond de bonnes manières : qui donc résistera à ce tourbillon de folie ? Dans ce roman du jeu, Dostoïevski explore les plus obscurs recoins de l'âme humaine.

06/2022

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Le Joueur

Paulina éclata de rire : - Vous m'avez dit l'autre jour, sur le Schlangenberg, que vous étiez prêt, sur un mot de moi, à vous jeter en bas, la tête la première et nous étions bien à mille pieds de haut. Je dirai ce mot un jour, uniquement pour voir si vous vous exécutez et soyez certain que je montrerai du caractère. Je vous hais justement parce que je vous ai permis tellement de choses, et je vous hais encore plus parce que vous m'êtes si nécessaire.

06/2007

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Le joueur

"Je l'avoue, cela m'était désagréable; j'avais, certes, décidé que je jouerais, mais je ne me proposais nullement de commencer en le faisant pour d'autres. Cela me déroutait même quelque peu, et c'est avec un grand sentiment de contrariété que je pénétrai dans les salles de jeu. Tout m'y déplut dès le premier coup d'œil. Je ne peux souffir le ton obséquieux des feuilletons du monde entier, et plus spécialement de nos journaux russes, où presque chaque printemps nos chroniqueurs se plaisent à décrire deux choses : premièrement, la magnificence inouïe et le faste des salles de jeu dans les villes d'eaux sur le Rhin, deuxièmement, les tas de pièces d'or qui, à les entendre, s'amoncellent sur les tables.[...] II n'y a rien de magnifique dans ces salles médiocres, et quant à l'or, non seulement il ne s'entasse pas sur les tables, mais c'est à peine s'il s'en trouve un petit peu, de temps en temps. Bien sûr, de loin en loin au cours d'une saison, il arrive qu'apparaisse tout à coup quelque original, un Anglais, ou encore un Asiatique, un Turc, comme cet été, qui soudain perdra ou gagnera énormément ; les autres misent tous, eux, de maigres goulden, et il n'y a jamais, en moyenne, que fort peu d'argent sur la table..."

05/2006

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