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Le Consulat de Bonaparte. La fabrique de l'Etat et la société propriétaire 1799-1804

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La Société des Gens De Lettres (SGDL)

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Albums, romans : une sélection de 20 livres jeunesse pour Noël 2020

La crise sanitaire a contraint les librairies à fermer leurs portes depuis fin octobre dernier. Mais l’envie de lire est toujours là, car les livres sont le meilleur moyen de s’évader, d’apprendre, de se cultiver, de réfléchir, de rire aussi, à tous les âges et en famille.

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La librairie et le Label Lir : les raisons de la colère

Une étude réalisée conjointement par le ministère de la Culture et de la Communication, le Syndicat de la librairie française et le Syndicat national de l’édition, le rapport de la mission « Livre 2010 » et celui d’Antoine Gallimard, remis au cours de l’année 2007, ont souligné la fragilité de la situation économique des librairies indépendantes et préconisé de faire du maintien et du développement de ces entreprises une des priorités de la politique du livre. 

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Festival international de la bande dessinée d'Angoulême

Qu'on l'apprécie ou non, le Festival international de la bande dessinée d'Angoulême reste l'une des plus grandes manifestations du monde consacrées à la bande dessinée.

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Le Prix Goncourt de la biographie

Dès 1980, l'Académie Goncourt se dote d'une bourse pour soutenir les auteurs de biographie : Jean Lacouture reçoit la première récompense pour son ouvrage François Mauriac, consacré à l'auteur d'Un Nœud de vipères et publié par les éditions du Seuil. Devenu un Prix Goncourt au même titre que le Goncourt de la nouvelle, par exemple, le prix est désormais remis chaque année par les académiciens, au cours d'une cérémonie organisée à Nancy pendant l'événement Le Livre sur la Place.

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Le Prix de la littérature arabe

Créé en 2013, le Prix de la littérature arabe est la seule récompense française distinguant la création littéraire arabe : il salue le roman ou le recueil de nouvelles d'un écrivain ressortissant de la Ligue arabe et auteur d'un ouvrage écrit en arabe et traduit en français ou directement écrit en français.

Extraits

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Consulat

Le Consulat de Bonaparte. La fabrique de l'Etat et la société propriétaire 1799-1804

CNLPeuples – Le Code civil, le Conseil d'Etat, la Légion d'Honneur, les préfets, les lycées... ces institutions familières ont en commun d'avoir été créées, refondées ou redéfinies sous le Consulat, le régime qui est issu du coup d'Etat de Bonaparte (1799) et auquel succède l'Empire (1804). Alors que le pouvoir législatif était le coeur de la Révolution française, il est laminé en 1799 et remplacé par un pouvoir exécutif omnipotent, concentré dans les mains d'un homme qui en fait sa chose. La centralisation administrative, telle que nous nous la représentons aujourd'hui, prend sa source dans la dictature de Bonaparte . Elle rompt avec la logique "décentralisatrice" mise en oeuvre depuis 1789 et renforcée par le Gouvernement révolutionnaire en l'an II. Aussi, ce que l'on nomme abusivement "le centralisme jacobin" devrait être désigné comme le "centralisme bonapartiste" . Le processus de centralisation s'accompagne d'une confiscation de la démocratie. Les décisions prises sont hors du contrôle du peuple, alors qu'il est prétendu souverain. L'administration se substitue alors à la politique, le fonctionnaire remplace l'élu et le citoyen est réduit au statut d'administré. Les experts choisis par Bonaparte sont les seuls habilités à définir l'intérêt général et les politiques censées l'incarner. La Déclaration des droits de l'homme et du citoyen disparaît et la référence à la république, de plus en plus formelle, n'a pour seule fonction que de légitimer le régime. L'ordre social repose sur le propriétaire qui a le "droit de jouir et disposer des choses de la manière la plus absolue" , le patron dominant ses ouvriers, le mari sa femme et le père ses enfants. La dictature de Bonaparte entend "dépolitiser" la nation et s'appuie sur la surveillance policière et la mise en place d'un régime où la liberté de la presse n'est plus qu'un mot. Le Concordat avec le Pape "recléricalise" la France et fait des prêtres les auxiliaires du pouvoir. Le culte du Chef de l'Etat et les valeurs militaires de l'ordre, de l'obéissance et de l'honneur sont érigés en culture politique dominante. A l'extérieur, le Consulat de Bonaparte est marqué par la construction d'une hégémonie autoritaire sur les peuples "libérés" par les armées françaises (Hollande, Suisse, Italie du Nord, Allemagne rhénane) et par une réaction coloniale sanglante en Guadeloupe et à Saint-Domingue, accompagnée du rétablissement de l'esclavage en 1802. Aujourd'hui, la société propriétaire et les stigmates "bonapartistes" de la Constitution de la Ve République - la monarchie républicaine, la "verticalité du pouvoir" , le législatif marginalisé - suscitent la critique et interrogent la nature de notre "démocratie" et ses dysfonctionnements.

11/2021

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Histoire de France

Le Grand Consulat. 1799-1804

Le Consulat commence au soir du coup d'État de Brumaire, le 10 novembre 1799, et s'achève le jour de la proclamation du Premier Empire, le 18 mai 1804. Pendant ces quatre années, Bonaparte et son équipe ont accompli une oeuvre immense, de la réconciliation nationale à la paix intérieure, des réformes politique, administrative, judiciaire et juridique au rétablissement de la position prépondérante de la France en Europe. De larges pans de cette oeuvre de consensus ont résisté au temps. Loin d'être seulement une préface au "moment napoléonien", la période consulaire en constitue probablement l'aspect le plus flamboyant et le moins discuté. Bénéfiques au pays, ces réussites favorisèrent aussi, par étapes ponctuées de crises successives et de petits coups de force, la grande manoeuvre finale qui conduisit Napoléon sur le trône impérial.

01/2014

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Histoire de France

Mémoires sur le consulat. 1799-1804

Ces mémoires de l'homme politique et historien Antoine Claire Thibaudeau ont été publiés en 1828 pendant l'exil auquel il avait été condamné comme régicide et dont il est revenu à la faveur des "Trois Glorieuses". Il évite ici toute mention de son action personnelle, la plus grande partie du livre étant consacrée aux institutions dont plusieurs restent à la base de celles qui nous régissent actuellement. François Pascal éclaire par un appareil critique ce texte essentiel pour la compréhension de la période.

05/2013

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Histoire de France

Le Grand Consulat. 1789-1804

Le Consulat commence le 11 novembre 1799, au matin du troisième coup d'Etat de Brumaire. Il s'achève le 18 mai 1804, avec la proclamation de l'Empire. Entre ces deux dates, quelle œuvre accomplie sous la conduite de Bonaparte ! De la réconciliation nationale à la paix intérieure, du Code civil au franc Germinal, de la réforme administrative et judiciaire au rétablissement de l'influence diplomatique de la France en Europe, du Concordat aux dizaines de lois votées au pas de charge, la Révolution fut canalisée. Ecrasé par la perspective déformante de l'épisode napoléonien pris à rebours, le Consulat a pu sembler parfois n'être qu'un hors-d'œuvre, une mise en jambe avant les chevauchées de l'Empire. Comme si tout s'était enchaîné avec logique. Comme si Napoléon avait naturellement percé sous Bonaparte. En réalité, la montée de Napoléon vers le pouvoir personnel se fit par étapes et crises successives, parfois ponctuées de petits " coups d'Etat " intermédiaires avant la grande manœuvre qui engendra la transformation finale du régime. Les efforts de l'équipe consulaire pour repousser les tentatives royalistes ou jacobines et juguler une forte opposition parlementaire, les risques de renversement courus par le gouvernement à quelques moments chauds de même que les rivalités de " courants " en son sein sont autant de chapitres que l'on ne peut ignorer lorsqu'on entreprend l'analyse des événements des années 1800-1804. Au demeurant, en même temps qu'ils attestent de la virtu du Prince, ils valorisent l'œuvre du Grand Consulat : tandis qu'il réformait d'arrache-pied, il dut encore lutter contre des ennemis décidés, savoir s'appuyer sur ces offensives pour adapter sa course et, bien souvent, avouer sa soumission totale aux événements.

11/1999

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BD tout public

L'histoire de France pour les nuls en BD Tome 8 : Révolution & Empire

"Nous régnons trop jeunes" s'écrient Marie-Antoinette et Louis XVI à la mort de Louis XV (1774). Ils ne vont pas régner longtemps : 15 ans plus tard, la Révolution est là ! De 1789 à 1792, la royauté disparaît. La Première République pointe son nez le 22 septembre 1792. La Terreur s'installe, Robespierre la pilote jusqu'à sa dernière heure, le 28 juillet 1794, sur l'échafaud ! Attention ! Voici qu'arrive, pendant le Directoire (1795 - 1799), Bonaparte ! Victorieux en Italie (1797), en Egypte (1798), consul après le 18 brumaire (1799), il devient l'empereur Napoléon 1er le 2 décembre 1804. L'Europe se ligue contre ses appétits de conquête. De la victoire d'Austerlitz (2 décembre 1805) à la défaite de Waterloo (18 juin 1815), Napoléon attaque, vainc, résiste et enfin, perd tout ce qu'il a conquis. Que reste-t-il de tout cela ? Ce que vous allez découvrir...

08/2017

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Récits de voyage

Voyage aux Régions Equinoxiales du Nouveau Continent, fait en 1799, 1800, 1801, 1802, 1803, et 1804. Tome 11, La Havane

Tome 11 des treize volumes du Voyage au Régions Equinoxiales du Nouveau Continent de A. de Humboldt et A. Bonpland Un palmier des plus majestueux de cette tribu, la Palma Real, donne au paysage, dans les environs de La Havane, un caractère particulier. C'est l'Oreodoxa regia de notre description des palmiers américains : son tronc élancé mais un peu renflé vers le milieu s'élève à 60 ou 80 pieds de hauteur ; sa partie supérieure luisante, d'un vert tendre et nouvellement formée par le rapprochement et la dilatation des pétioles, contraste avec le reste qui est blanchâtre et fendillé. C'est comme deux colonnes qui se surmontent. La Palma Real de l'île de Cuba a des feuilles panachées qui montent droit vers le ciel, et ne sont recourbées que vers la pointe. Le port de ce végétal nous rappelait le palmier Vadgiai qui couvre les rochers dans les cataractes de l'Orénoque et balance ces longues flèches au-dessus d'un brouillard d'écume. Ici, comme partout où la population se concentre, la végétation diminue. Autour de La Havane, dans l'amphithéâtre de Regla, ces palmiers qui faisaient mes délices, disparaissent d'année en année. Les endroits marécageux, que je voyais couverts de Bambousacées, se cultivent et se dessèchent. La civilisation avance et l'on assure qu'aujourd'hui la terre, plus dénuée de végétaux, offre à peine quelques traces de sa sauvage abondance.

03/2022

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