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Le Blanc incandescent

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Le blanc incandescent

Chaque légende porte sa lumière. La série du Porteur de Lumière, classée parmi les meilleures ventes du New York Times, touche à son extraordinaire conclusion. Les royaumes s'affrontent tandis que Kip s'efforce d'échapper à l'ombre de sa famille pour protéger les terres et les êtres qui lui sont chers... Gavin Guile fut autrefois l'homme le plus puissant du monde connu. Il n'est plus aujourd'hui qu'un être brisé. Privé de ses incroyables pouvoirs, il se voit contraint d'accepter une mission suicide. S'il échoue, la femme qu'il aime mourra. S'il réussit, l'empire tout entier s'effondrera. Pendant ce temps, le Roi blanc prépare ses terribles pièges et la Chromerie, trahie de toutes parts, risque d'être détruite. Kip Guile rassemble ses alliés pour regagner les Jaspes et livrer une ultime bataille... qui semble perdue d'avance. Le Porteur de Lumière arrivera-t-il à temps pour sauver le monde des ténèbres ? " Auteur best-seller, Brent Weeks continue à enrichir son intrigue grâce à la révélation de nombreux secrets... et déplace ses pièces avec habileté en vue d'un affrontement épique. " Publishers Weekly " Le style et le sens du détail de Brent Weeks entraînent implacablement les lecteurs dans son histoire. Il ne vous laisse aucune échappatoire. " Robin Hobb

09/2021

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Le Blanc incandescent

Chaque légende porte sa lumière. La série du Porteur de Lumière, classée parmi les meilleures ventes du New York Times, touche à son extraordinaire conclusion. En voici la deuxième partie. Pour sauver la femme qu'il aime - et l'empire -, Gavin Guile doit monter au sommet de la tour de Brume blanche afin de détruire Orholam. Mais qui est donc réellement celui-ci ? Un dieu ? Le coeur de la magie ? Un vieil esclave ? Un spectre né d'une terrible tragédie ? De son côté, Kip a rassemblé ses meilleures troupes pour empêcher l'armada du Roi blanc de s'emparer de la Chromerie. Arrivera-t-il à temps ? Et comment affronter les banes qui neutralisent les pouvoirs des créateurs ? Pour réussir, il doit devenir le Porteur de Lumière, mais la tâche s'annonce difficile. Ses ennemis sont partout. Y compris au sein de sa propre famille... " Auteur best-seller, Brent Weeks continue à enrichir son intrigue grâce à la révélation de nombreux secrets... et déplace ses pièces avec habileté en vue d'un affrontement épique. " Publishers Weekly " Le style et le sens du détail de Brent Weeks entraînent implacablement les lecteurs dans son histoire. Il ne vous laisse aucune échappatoire. " Robin Hobb

12/2021

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Les mots comme ils viennent

Le poète accroche ses mots blancs et noirs sur la partition du monde avec son ressenti du moment. Il peut être drôle, brutal ou colérique. Il se met parfois à nu jusqu'à l'indécence. Il a tous les droits mais un seul devoir : toucher au coeur le destinataire de sa flèche poétique. Je vous souhaite la bienvenue dans mon univers parsemé de notes ibériques, de senteurs orientales, de soupirs incandescents, de silences feutrés, d'instants suspendus et de pas sur le sable. A vous ces mots comme ils viennent... au fil du temps qui passe.

02/2023

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La Folie du regard

Dans la première partie de cet essai, Laurent Jenny, à travers les images de l'art, s'intéresse aux turbulences du regard. La diversité de ces images révèle en effet que le regard est loin d'être une donnée naturelle, simple et commune. Chaque époque, chaque artiste et chaque medium redessinent une extension différente du visible, et remodèlent des usages dans le champ très vaste qui est celui du visible. Il y a loin des figures paléolithiques superposées émergeant pour quelques rares initiés d'une matrice minérale enveloppante et secrète - aux tableaux luxueux, surchargés de symboles savants et d'allusions aux pratiques sociales que constituent les peintures du Quattrocento. Tout comme les peintures éloquentes de l'âge classique s'opposent, par leur discours implicite, au type de contemplation muette appelé par les tableaux "silencieux" de l'âge moderne, de Manet à Morandi. Ce n'est d'ailleurs pas seulement la connivence du regard avec l'intelligible qui se transforme, mais aussi son appel aux autres sens, notamment le tactile, ainsi qu'en témoigne encore aujourd'hui une oeuvre comme celle de Giuseppe Penone, qui cherche passionnément à étendre la sensibilité optique à la surface entière de la peau. Les technologies de l'image ont aussi leur part dans cette constante redéfinition du voir. La photographie a ainsi délibérément réduit le point de vue au monoculaire et astreint le regard à un battement, non sans effets temporels. A l'inverse, les spectacles immersifs de l' "atelier des lumières" , veulent produire l'illusion que le champ du regard est à la fois mouvant, sans bords et infini jusque sous nos pieds. Cependant le pari que fait Laurent Jenny, qui est aussi celui de l'art, c'est que toutes ces images si diverses nous parlent et nous atteignent au-delà des significations qui ont été celles de leur temps et des intentions de leurs auteurs, au-delà même des circonscriptions de regard qui les régissaient. C'est précisément leur dimension énigmatique qui aiguise notre attention à elles et découvre dans notre propre regard des régions ignorées. Cela ne va pas sans déchirure de nos habitudes perceptives, ni retentissement émotionnel et éthique. Et ce sont ces chocs dont Laurent Jenny s'efforce de rendre compte dans la patience de l'écriture. La seconde partie de cet essai propose donc une déambulation libre et subjective à partir d'images énigmatiques et un approfondissement de leur étrangeté. Laurent Jenny s'y interroge ainsi sur le trouble que produit la facture porcelainée et cruelle des Judith de Cranach ou sur la dimension secrètement apocalyptique d'un tableau supposément aussi galant que "La fête à Rambouillet" de Fragonard. Il questionne l'anachronisme optique des oeuvres "qui ne sont pas de leurs temps" , comme les huiles italiennes de Valenciennes ou de Thomas Jones. Il se penche sur les horizons obstinément bouchés de Courbet, qui font refluer le regard vers la matérialité épaisse des surfaces. Il cherche à comprendre la puissance du monde graphique de Seurat dont les figures "absorbantes rayonnantes" semblent dotées d'une pesanteur nocturne et solitaire intimement liée au monde chromatique restreint du noir et blanc. Il relève les stratégies de Matisse pour domestiquer au-dedans l'espace effrayant du dehors. Dans Louons maintenant les grands hommes, il confronte la sécheresse des photographies de Walker Evans, illustrant la vie nue des petits blancs pauvres d'Alabama et la prose incandescente d'Agee comme deux traductions de la même expérience visible. Et enfin il retrace les tourments de Giacometti vivant une forme de "folie du regard" en essayant vainement de saisir le visage de son modèle japonais Yanaihara. En définitive, à travers ces réflexions et ce parcours dans les images de l'art, il s'agit pour Laurent Jenny de rouvrir le champ du regard à son extension variable, à ses connivences passagères et à son essentielle indétermination.

03/2023

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