À Lille, il est une petite maison d’édition qui lutte contre l’oubli ou la méconnaissance. Et qui n’a pas peur de s’approcher des flammes, d’un côté ou l’autre des bûchers, en publiant aussi bien un essai sur Pier Paolo Pasolini qu’un recueil de Robert Brasillach. Laborintus éclaire des textes délaissés, propose des essais ou traduit une littérature d’au-delà les frontières. «