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La vie ne me fait pas peur

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La vie ne me fait pas peur

Les fauves rugissants et les animaux gluants ? Ils ne me font pas peur. Les garçons de ma classe qui tirent sur ma tignasse ? Ils ne me font pas peur. Etre seule, le soir, dans ma chambre plongée dans le noir ? Cela ne me fait pas peur du tout. A travers les mots d'une petite fille qui n'a pas froid aux yeux, Maya Angelou délivre son secret pour combattre les terreurs infantiles : s'ouvrir au pouvoir des rêves et de l'imaginaire... Une leçon de vie d'une grande dame des lettres, poétesse, conteuse et romancière afro-américaine, figure de la lutte pour les droits civiques.

03/2018

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La vie ne me fait pas peur

A travers les mots d'une petite fille qui n'a pas froid aux yeux, Maya Angelou délivre son secret pour combattre les terreurs infantiles : s'ouvrir aux pouvoirs du rêve et aux forces de l'imagination... Une leçon de vie d'une grande dame des lettres, poète, conteuse et romancière africaine-américaine, figure de la lutte pour les droits civiques.

06/2024

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La vie me fait peur

A trente-trois mille pieds, prendre de la hauteur. Dans l'avion qui le conduit à Miami, Paul Siegelman s'emploie à rassembler ses souvenirs : la perte de sa mère, les acrobaties financières de son père, ses relations tumultueuses avec les femmes. Incapable de prendre des décisions, Paul est une proie que l'on manipule. Rester "petit", une angoisse familière comme toutes ces passions simples qui sont autant de remèdes à la dureté de la vie. Paul ne s'attend pas à ce que, bientôt, un événement bouleverse le cours des choses...

01/2021

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La vie me fait peur

Paul, la trentaine désinvolte, est face à sa femme Vivien. Elle vient de le licencier de sa propre entreprise et pourtant Paul ne se révolte pas. Comme si cet événement était l'aboutissement d'un long processus qui lui avait échappé. Paul se remémore alors son enfance, partagée entre l'insouciance d'un père inventeur, capricieux et séducteur, têtu et attendrissant et la rigueur morale de sa mère, ennemie du gaspillage, anticipant toujours le malheur de peur d'être surprise par lui. De cette époque, Paul a gardé l'impression que, dans la vie, tout n'est que dérision, fausse moustache et vanité. Jusqu'au jour où sa mère meurt dans un accident de voiture alors même que la dernière invention de son père connaît enfin le succès. Alors que son père sombre dans la dépression, Paul part, en laissant tout derrière lui... avec la sensation qu'il doit enfin exister par lui-même... Dans cette relecture d'une grande fluidité, Christian Durieux insuffle aux personnages une dose de folie douce propre à l'univers de Jean-Paul Dubois, avec un dessin élégant, joyeux et mélancolique. Un récit follement romanesque qui suit les détours de l'existence de Paul, trentenaire à la dérive qui va devoir prendre des risques suite à un séisme personnel.

08/2022

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Die for me

Pour ne pas mourir, Eve a dû tout abandonner. Son passé, sa vie et son mari. Pour survivre, la voilà enfermée dans le noir, dans un conteneur en partance pour la Russie avec, comme seule compagnie, Villanelle, la tueuse à gage qu'elle a si longtemps traquée. Incapables de nier leur attirance l'une pour l'autre, les anciennes adversaires doivent faire face à un challenge de taille : s'apprivoiser. Il n'y a pas de temps à perdre. A chaque instant, Eve et Villanelle s'approchent de leur nouvelle cible. Pendant qu'Eve découvre un monde terrifiant fait de traitrises, de conspirations et de meurtres, Villanelle devra combattre ses démons pour ne pas fuir devant sa plus grande peur, les relations humaines.

07/2021

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Grossesse et maternité

La peur au ventre

"En quinze ans d'exposition médiatique, je vous ai peu habitués à vous parler de ma vie perso. Pourtant, vous avez peut-être l'impression de me connaître... Après tout, je m'invite chez vous à l'heure du déjeuner ou du souper pour vous parler des nouvelles du monde. D'une certaine manière, je fais "partie la famille. C'est le paradoxe de n'importe quelle figure médiatique : à la fois familière et lointaine. Si j'ai décidé aujourd'hui de dévoiler un pan de mon jardin secret, c'est pour apporter un témoignage qui, je l'espère, pourra être utile à de nombreuses femmes dont les rêves de maternité ne se déroulent pas tout à fait comme prévu... Il y a quatre ans, je me suis retrouvée à hanter les couloirs d'un service de néonatalogie. La peur au ventre. Pendant plus de deux mois, ma vie est restée suspendue à un berceau, confinée dans les quelques dizaines de mètres carrés séparant la salle des infirmières pédiatriques du "local des parents" , cet entre-deux un peu triste où les thermos de café, berlingots de lait et spéculoos emballés à la pièce, tentaient vainement de nous donner l'illusion que "tout était normal" . J'ai découvert de façon brutale un monde dont on parle peu. J'ai eu envie de partager avec vous cette traversée en apnée, si particulière, à la fois profondément¬¬ intime, personnelle, mais aussi universelle par les flots d'émotions qu'elle provoque. Je veux en parler parce que je pense que cette expérience peut inciter celles qui ont un désir d'enfant, celles qui vivent une grossesse "difficile" , à s'écouter - vraiment ! -, à se faire confiance et à ralentir le rythme pour conduire leur bébé à bon port. J'en suis la preuve vivante : parfois, on peut faire mentir les pronostics ! Je souhaite aussi pointer le projecteur sur celles et ceux qui se battent dans l'ombre, qui accomplissent des miracles, chaque jour, pour sauver des enfants nés trop tôt. Et pour soutenir des parents traumatisés qui ont du mal à se réjouir. J'ai eu la chance d'être épaulée par des équipes médicales exceptionnelles qui se sont battues à nos côtés, de bout en bout. Dans ce combat commun, nous n'avons d'autre choix que de leur faire confiance : la vie de notre enfant est entre leurs mains. Dans ce contexte particulier, les émotions sont décuplées, chaque progrès est célébré comme une victoire et certaines minutes d'attente semblent durer des heures. Dans ces éternités, nous tentions de refroidir nos cerveaux en ébullition, de respirer calmement, de nous accrocher à chaque espoir pour ne pas sombrer. Il y a eu, malgré tout, des "craquages" , des torrents versés, des découragements fugaces. Mais nous avons gardé ce cap : rester solides, debout, envers et contre tout. Si j'ai la force de vous en parler aujourd'hui, c'est parce que cette bataille nous l'avons remportée. Lou, Jérôme et moi, mais aussi toutes celles et ceux qui nous ont accompagnés.

10/2023

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