Giuseppe Panini, verbicruciste et fondateur de la maison qui porte son nom, doit s’en retourner dans sa tombe en cinq lettres (voir en fin d'article *). L'éditeur a été attaqué en justice pour exploitation abusive de l’image des footballeurs à travers les célèbres vignettes que collectionnent et s’échangent les plus jeunes, pour alimenter leurs albums. Et dans la foulée, c’est l’Union nationale des footballeurs professionnels qui est, en France, soudainement ébranlée.