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La rivière en hiver

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Littérature anglo-saxonne

La rivière en hiver

Des rapaces parcourent le ciel, des chiens gambadent et des couguars se tapissent parmi les arbres. Les plaines sont balayées par les vents, les forêts sont lugubres ou enchanteresses et quand il ne neige pas, c'est qu'il va neiger. Dans La Rivière en hiver, Rick Bass se consacre aux fluctuations météorologiques, à la terre et à ceux qui l'habitent, solitaires et touchants. Que les hommes affrontent la nature ou la négligent, cette dernière les fascine au point de leur couper le souffle. Et si ses personnages s'adonnent à des activités quotidiennes - pister un élan, veiller sur un énorme poisson-chat ou trouver le parfait sapin de Noël - celles-ci se transforment, sous la plume de Rick Bass, en une expédition aux allures mythologiques parfois périlleuse, toujours mémorable. Rick Bass, considéré comme l'un des écrivains majeurs de l'Ouest américain, démontre avec La Rivière en hiver qu'il excelle dans la forme courte. Les huit nouvelles de ce recueil ont la densité et la force des meilleurs romans.

10/2020

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Littérature anglo-saxonne

Sur la Concord River

En 1839, quelques années avant de s'installer près de l'étang de Walden, Henry David Thoreau construit une barque en bois avec son frère et engage à ses côtés la descente de deux cours d'eau vive. Ce voyage, mené au gré du courant, sera l'occasion d'une contemplation attentive de la nature, des poissons et de la flore qui vivent dans les remous de ces rivières ou sur leurs rives. Un voyage dans la wilderness qui commence sur la Concord River, ou "Rivière Herbeuse"... "Observer le cycle de la vie et la plénitude des poissons, que rien ne vient déranger, leur bonheur qui est un fruit régulier de l'été, renforce notre sentiment de sécurité et de sérénité régnant dans la nature".

04/2024

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Napoléon

Hiver 1812

Le grand récit d'une retraite homérique. Le 15 septembre 1812, Napoléon entre dans Moscou. Dans la nuit, la ville s'embrase dans un océan de flammes. Après avoir longtemps espéré l'ouverture de négociations avec le tsar, la Grande Armée quitte la capitale ruinée le 19 octobre ; l'Empereur veut écraser l'armée russe et s'installer à Smolensk avant l'arrivée de l'hiver. Mais le froid et la neige sont en avance sur le calendrier. L'hiver russe surprend des troupes épuisées, sous-équipées, mal ravitaillées, embarrassées par leur butin, leurs blessés et leurs malades. La tragique retraite de Russie commence. Michel Bernard raconte avec une rare maestria l'hallucinant voyage dans l'enfer blanc de la Grande Armée, en suivant l'itinéraire de onze hommes et une femme à travers la plaine enneigée, les collines verglacées, les forêts pétrifiées, au milieu des combats et du harcèlement des cosaques. Il raconte l'histoire de leur lutte quotidienne contre le froid extrême, le blizzard, la faim, la peur, le désespoir. Elle est comédienne ; ils sont officiers, sous-officiers ou soldats, diplomate (Caulaincourt), fonctionnaire et bientôt grand écrivain (Stendhal) ; ils se battent et avancent, passent monts et rivières, d'abord soutenus par le sens du devoir, puis par l'instinct de survie qui fait sauter cadres hiérarchiques, conventions sociales, et jusqu'aux repères moraux. Il n'y a plus d'armée, plus d'ami, mais le désir de s'en sortir, d'en finir avec une épreuve qui dépasse toutes les souffrances connues. Napoléon est l'un de ces hommes. D'abord désorienté par l'évolution d'une campagne où rien ne s'est passé comme il l'escomptait, il s'efforce de sauver ce qui peut l'être quand s'annonce le désastre. Pour lui et son Empire, c'est le début de la fin ; pour les 20 000 survivants, vieillis, désabusés, l'âme marquée d'inguérissables blessures, " c'est encore la guerre et déjà, irrépressible, le temps du souvenir " (Michel Bernard).

10/2022

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Un hiver de coyote

Marie, jeune biologiste française, débarque au Québec pour effectuer son postdoctorat. Elle est affectée à un poste périlleux : assister Laurier, grand trappeur devant l'Eternel, dans l'étude de la prédation des coyotes sur les cerfs en Gaspésie. La voici projetée par -20 °C, dans la mal nommée baie des Chaleurs, elle qui n'a jamais conduit de motoneige. Heureusement, la chercheuse est tenace et Laurier connaît son métier. Durant des mois, dans une nature sauvage, le trappeur et la biologiste sillonnent la rivière gelée et son vallon, tendent des collets, collectent des crottes, analysent des empreintes à la recherche de carcasses. Peu à peu, Marie et Laurier apprennent à se connaître. Isolés du monde, ils goûtent au bonheur d'être pleinement eux-mêmes, le temps d'un hiver.

04/2021

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Lectures graduées

The River Killers

A travers un catalogue riche de plus de 30 titres, la collection de courts romans originaux Paper Planes offre aux collégiens et aux lycéens le plaisir de lire en anglais des textes accessibles et de grande qualité, par des auteurs anglophones reconnus. Chaque titre est accompagné d'une version audio pour vivre l'histoire en vrai, et de ressources pédagogiques pour accompagner la lecture. Les élèves de lycée trouveront dans The River Killers un thriller écologique haletant, nouvellement enrichi de ressources pédagogique en ligne ! Perã, Kãrã et Ugü, trois jeunes Indiens Bakairi, vivent en harmonie avec la forêt amazonienne et la rivière sacrée dont dépend leur clan. Jusqu'au jour où la catastrophe survient... Le récit haletant d'une traque périlleuse et d'une vengeance implacable.

04/2025

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Non classé

L'homme de l'hiver

Gunflint, années 1990. Dans cette petite ville du Minnesota sauvage où les rivières deviennent lacs et les lacs rivières (et l'Amérique le Canada), le vieux Harry Eide fugue, désertant son lit de mort pour la forêt profonde. On ne le retrouvera pas. Les deux êtres qui l'ont le plus aimé - Gus, son fils, et Berit, son grand amour longtemps resté en lisière de sa vie - se racontent cet homme qui gouverna leur monde tout en leur échappant. Ainsi s'ouvre entre ces deux coeurs en hiver le récit partagé des mois fondateurs, de l'été à l'hiver 1963, où Harry embarqua son fils, alors âgé de dix-sept ans, dans une excursion à la manière des pionniers voyageurs, en canoë, pour aller tutoyer la frontière, "passer l'hiver" dans les confins, expérience d'isolement extrême et de transmission silencieuse. C'est en se construisant dans un jeu de relais entre Gus et Berit que le roman des Eide, famille récidiviste du déchirement et de la rupture, révèle son enjeu : la cohésion de toute une communauté, avec ses faibles et son vrai méchant, ses sales secrets et ses luttes de pouvoir, ses ennemis héréditaires. Et parmi tous ces hommes, droite comme un phare, il y a Berit, à la détermination aussi discrète qu'indéfectible, qui semble d'abord incarner le renoncement et qui s'impose comme un inoubliable personnage de femme d'une force aussi humble que poignante. Véritable miracle modeste, placé sous le règne implacable de la nature, souple, fluide, silencieux comme une balade en kayak, L'Homme de l'hiver est un roman d'aventure intérieure qui démontre que l'expression "amour impossible" est un oxymore.

10/2017

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