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La présence d'un passé de violences. Mémoires et identités autochtones dans le Guatemala de l'après-génocide

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Dossier

Les sociétés matriarcales : les cultures autochtones dans le monde

Les sociétés matriarcales : les cultures autochtones dans le monde

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Uchronie biographique : les figures littéraires du passé plongées dans un monde moderne

Et si Samuel Beckett n’avait jamais connu Godot, né dans une Irlande changée « en tigre celtique » ? Qu’est-ce que Diderot aurait pu imaginer à l’époque d’internet et des réseaux sociaux ? Et Alphonse de Lamartine, aurait-il opté pour une carrière d’influenceur politico-poético-dépensier ? Excellentes questions…

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Dossier

Portraits de traductrices et traducteurs du passé

« Traduire, c’est trahir », selon l’adage italien, mais sans eux, pas de livres venus d’ailleurs dans les mains des lecteurs. Traductrices et traducteurs, penchés sur des textes antiques ou des publications plus récentes, ont enrichi les bibliothèques de leurs apports. Coauteurs de ces œuvres, souvent oubliés, voici un dossier qui rend hommage à un métier essentiel.

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Dossier

Des livres aux auteurs : à la découverte de l'identité tchèque

Le livre jeunesse tchèque est mondialement reconnu, maintes fois primé et honoré à cinq reprises par le plus prestigieux des prix décerné à un auteur jeunesse : le prix Hans-Christian Andersen, qu’ont notamment reçu Jiří Trnka (1968), Květa Pacovská (1990) et Petr Sís (2012).  Mais malgré cette reconnaissance des pans entiers de son patrimoine nous restent néanmoins à découvrir. 

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Festival international de la bande dessinée d'Angoulême

Qu'on l'apprécie ou non, le Festival international de la bande dessinée d'Angoulême reste l'une des plus grandes manifestations du monde consacrées à la bande dessinée. Chaque année, au mois de janvier, toute la ville d'Angoulême, mais aussi la France, découvre et redécouvre des œuvres du neuvième art. Avec son lot de dédicaces, d'événements, d'expositions, de débats, de récompenses et de mises en avant, le FIBD est ce moment spécial dans l'année où la bande dessinée est au cœur de l'espace médiatique.

Créé en 1974, reconnu dans le monde entier, le FIBD est aussi l'occasion de placer la création hexagonale en avant, même si toute la francophonie, et plus largement toutes les nations, sont accueillies sur place. 

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Dossier

Pénurie de papier : crise et tensions dans le monde du livre

En 2020, toutes les industries s'arrêtaient, à mesure que la Covid s'installait dans le paysage mondial. La reprise progressive des activités économiques en 2020, élargie en 2021, a relancé la machine — non sans hoquets et autres dysfonctionnements. Pour l'édition a débuté une crise du papier, parfois désignée comme une pénurie...

Extraits

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Sociologie

La présence d'un passé de violences. Mémoires et identités autochtones dans le Guatemala de l'après-génocide

Le 10 mai 2013, devant la salle comble d'un tribunal de Guatemala Ciudad, la juge Jazmín Barrios reconnaissait l'ancien général José Efraín Ríos Montt coupable de crime de génocide et de crimes contre l'humanité. Ce livre met en lumière les limites de tels projets dits de " justice transitionnelle " à partir d'une " double ethnographie ", soit une longue enquête de terrain qui fut menée à la fois au sein des associations qui ont initié la poursuite contre Montt, et auprès de survivants du conflit armé guatémaltèque (1960-1996) qui ont participé à celle-ci. Grâce à une analyse fine des tensions qui se jouent entre l'imaginaire politique de défenseurs des droits humains, et celui de paysans mayas n'ayant jamais connu, et ne connaissant toujours pas, d'Etat de droit, il identifie les obstacles à la démocratisation de sociétés qui non seulement émergent de guerres, mais aussi d'histoires longues de marginalisation économique et de domination politique.

01/2015

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Sociologie

Le nazisme dans l'histoire des violences collectives. Violences et meurtres de masse

A l'origine de ce livre, il y a la volonté de ne plus considérer le nazisme et la Shoah comme un phénomène absolument singulier, unique en son genre et d'une insurmontable opacité. C'est pourquoi François Jacquet-Francillon, d'une part situe le nazisme dans la longue histoire des violences collectives (et meurtrières), et d'autre part entend saisir des points communs entre l'action des militants nazis et, par exemple, les meurtres commis par les catholiques parisiens lors du "massacre de la Saint-Barthélemy" (en 1572), les diverses tueries auxquelles participèrent les foules révolutionnaires de 1789 ou 1792, l'assassinat par les "gardes rouges" de la "révolution culturelle" chinoise, à la fin des années 1960, des éléments soi-disant "révisionnistes" de la société et du Parti communiste, ou encore les attentats suicides commis ces dernières années dans de nombreux pays par les groupes jihadistes se réclamant d'un islam traditionnel des plus rigoureux. Si ce livre s'efforce de montrer que la violence nazie a de nombreux antécédents, ceci, affirme l'auteur, ne conduit pas à en nier le caractère exceptionnel et paroxystique. Quelle est alors la différence entre le nazisme et les situations dispersées dans l'histoire et la géographie qui surviennent en écho ou comme des précurseurs non génocidaires du génocide nazi ? La différence tient à ce que le nazisme a fait de la violence, toujours pratiquée sur un mode de vengeance, un système d'Etat durable, là où il n'y avait que des explosions sporadiques et limitées (sans parler des conflits guerriers engagés par un Etat à l'égard d'un autre Etat). François Jacquet-Francillon affirme aussi que l'abord du cas nazi exige une investigation renouvelée de la violence. Et pour donner corps à ce principe, il s'intéresse non pas aux individus violents et à leur psychologie ou leur inspiration personnelle (idéologique, etc. , et... pathologique sans aucun doute) mais avant tout aux collectifs humains enclins à la violence et dans lesquels de tels individus se rassemblent. Ceci mène à un premier constat : ces groupes, ou groupements, au cours de leur vie normale, élaborent et diffusent des pratiques et des croyances spéciales que l'auteur qualifie d'agonistiques. Seules de telles pratiques et de telles croyances expliquent que des individus furieux, grâce à des circonstances favorables, transforment un désir de mort (répandu quand on admet que tout irait mieux si les Juifs n'existaient pas), en volonté de tuer (suivie par la création et la mise en oeuvre de moyens humains et matériels, notamment de dispositifs d'exécution - chambres à gaz au bout du compte). Cette volonté passe, souvent inchangée, des donneurs d'ordre aux exécutants. Il est à noter que l'auteur a utilisé un vocabulaire approprié. D'une part il a défini des "groupements agonistiques" d'autre part, il a caractérisé la mentalité originale de ces groupements en parlant d' "effervescence mentale" et de "désignation de l'ennemi" - ennemi auquel ces groupements (et eux seuls) confèrent un statut de personnes, instances, populations, etc. , à abattre. Si la notion des ennemis est ici centrale, elle ne réfère cependant pas à la théorie de Carl Schmitt, qui n'a pas accordé d'attention aux croyances circulant à l'intérieur de ces groupements, des "croyances agonistiques" - dont les récentes "théories du complot" , comme on dit aujourd'hui, pourraient n'être que le dernier avatar.

01/2023

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Histoire internationale

Les violences génocidaires au Guatemala, une histoire en perspective

Au Guatemala, les fantômes du passé n'ont toujours pas été exorcisés. Le spectre d'un retour de l'armée au coeur de l'appareil d'État se profile, en effet, avec la victoire du général en retraite Otto Pérez Molina aux élections présidentielles de novembre 2011. Le candidat de la droite conservatrice, responsable des Renseignements militaires au début des années 1980, s'est rendu populaire grâce à son slogan, "la mano dura", "une poigne de fer" pour rétablir l'ordre dans un pays où plus de 6 000 personnes sont assassinées chaque année. Ce livre permet de questionner l'origine de cette violence structurelle contemporaine, la guerre contre-insurrectionnelle qui ensanglanta le pays de 1960 à 1996 et culmina entre 1980 et 1983 en massacres de masse frappant la population maya. Les victimes - probablement 200 000 morts, sans compter les déplacés, les blessés, les personnes traumatisées à vie - n'ont jamais bénéficié d'une quelconque reconnaissance officielle de la part de l'Etat guatémaltèque, et la plupart de leurs bourreaux n'ont jamais été jugés. Sans justice et sans mémoire, les Guatémaltèques n'ont toujours pas la possibilité de tourner la page de cette sinistre période malgré le retour officiel de la paix et de la démocratie. Des forces toujours à l'oeuvre, qui entretiennent une insécurité et une terreur quotidiennes, permettent de faire oublier la pauvreté et l'exploitation de la masse paysanne indienne ou métisse. Les contributions rassemblées ici croisent les regards de chercheurs, de militants et d'acteurs de terrain sur ce petit pays méconnu d'Amérique centrale. Elles décrivent et analysent avec justesse et profondeur les stigmates de son histoire douloureuse, tout en mettant en lumière les ressources dont le Guatemala dispose pour sortir de l'impasse. Un ouvrage important pour saisir ce qui se joue actuellement au Guatemala.

05/2012

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Sociologie

Genocide des ameriques (le). RÉSISTANCE ET SURVIVANCE DES PEUPLES AUTOCHTONES

Combien de gens savent que le plus grand génocide de l'histoire de l'humanité a été perpétré contre les peuples autochtones des Amériques ? On estime en effet que, dans la foulée de la conquête du Nouveau Monde, 90 à 95 % de la population originaire du continent, soit quelque 70 millions de personnes, a été éliminée en raison des guerres, du pillage, de l'asservissement et des maladies introduites par les colons européens. Avec Le génocide des Amériques, Moema Viezzer et Marcel Grondin cherchent à montrer comment une telle hécatombe a pu se produire. Cinq grands espaces — Caraïbes, Mexique, Andes, Brésil et Etats-Unis — sont passés en revue, auxquels s'ajoute un chapitre inédit sur le cas canadien, signé Pierrot Ross-Tremblay et Nawel Hamidi. Si ce livre offre un panorama du génocide des peuples premiers des Amériques, il fait aussi le récit de leur résistance et de leur lutte pour survivre jusqu'à aujourd'hui. Car les blessures liées à la colonisation européenne ne sont pas seulement chose du passé : de nombreux peuples indigènes, dépossédés de leurs territoires et de leurs biens, se battent encore pour faire respecter leurs droits humains les plus élémentaires. Pour que la vérité et la réconciliation ne soient pas que des mots creux, il est temps de décoloniser l'histoire des Amériques.

10/2022

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Romans, témoignages & Co

Les gardiens de la memoire. Retour dans le passé

Yara et Mady, deux collégiens à la vie insouciante, partagent leurs journées entre l'école et diverses activités en dehors des cours. Mady apprécie les moments passés avec ses amis, joue au football, s'exprime à travers le djembé et laisse libre cours à sa créativité en fabriquant divers objets. Quant à Yara, plus introvertie, trouve sa passion dans la lecture, l'écriture et le désir de voyager. Bien que leur mère considère qu'ils viennent d'un milieu confortable et privilégié, ces deux jeunes vont bientôt réaliser, grâce à un voyage dans le temps, que ce qu'ils considèrent comme acquis aujourd'hui a été conquis à travers des luttes acharnées et un dévouement sans faille. Lors de ce voyage, ils croiseront le chemin de figures ordinaires ayant accompli des actes extraordinaires, des actions qui ont contribué à : Favoriser l'inclusion de la diversité, Révolutionner notre quotidien, Humaniser notre société et promouvoir davantage de justice et d'équité.

09/2023

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Psychomotricité

L'esprit du soin psychomoteur. De l'usage de la présence et des identités

L'évolution et le développement des pratiques en psychomotricité conduisent les professionnels vers de nouveaux champs d'activité et des prises en soins particulières. En appui sur les fondamentaux de cette thérapeutique basée sur le lien corps psyché, cet ouvrage met en lumière ce qui rend possible le soin psychomoteur. Faire émerger cet arrière-plan, c'est rendre visibles les intentions, intuitions et résonances ; mais aussi les impasses et les empêchements qui se déploient tout autant dans la situation de soin. Les auteurs se basent sur leurs pratiques particulières pour explorer d'autres voies psychomotrices : comment les difficultés et les obstacles rencontrés peuvent-ils constituer une source permettant la préservation et la construction identitaire ? Cet ouvrage s'adresse à tous ceux désireux d'interroger l'articulation entre le corps et l'esprit, le sens des médiations corporelles, le rapport d'un thérapeute à ses savoirs et ses outils, et la notion de présence qui autorise le travail vivant avec ce qui advient.

04/2021

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