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La femme qui pensait être belle

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Dossier

Femmes et destins : 10 ouvrages qui brisent les carcans

La femme, dans la société, est une entité multidimensionnelle qui joue plusieurs rôles, la plupart du temps de manière simultanée. Cette pluralité, que ce soit dans la réalité quotidienne ou dans la littérature, est à la fois une source d'inspiration et un miroir reflétant la complexité des enjeux sociaux.

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Dossier

Redécouvrir Colette, à travers les femmes qui l'ont lue

Ce 28 janvier, Colette aurait eu 150 ans. Et depuis quarante années, les éditions des femmes - Antoinette Fouque mettent à l'honneur les écrits de Colette à travers leur collection de livres audio, La Bibliothèque des Voix. L'occasion de retrouver les femmes qui, au fil du temps, ont prêté leur voix pour que vivent les textes de l'autrice.

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Dossier

“Offrir aux femmes une terre d’accueil pour exister en tant que femmes”

En cinquante années de publications, les éditions Des femmes - Antoinette Fouque ont cherché à rendre les femmes plus visibles. A l'occasion de leur anniversaire, ce dossier propose de retrouver les oeuvres majeures de leur catalogue.

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Dossier

Du féminisme en littérature

« Quelle erreur pour une femme d’attendre que l’homme construise le monde qu’elle veut, au lieu de le créer elle-même. » Cette phrase d’Anaïs Nin prend toute son ampleur en littérature, où après des siècles où les grands écrivains n’ont parlé qu’à leur semblable du sexe masculin, l’ancien « sexe faible » a aujourd’hui pleinement sa place. Des femmes fortes, sensibles, engagées et/ou artistes, qui font vibrer leurs voix singulières et caractéristiques.

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Dossier

La SCELF face à la lecture publique : la redevance qui indigne

Denis Bocquet, CC BY 2.0

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Dossier

Robots, extraterrestres, IA, humains... qui aura le dernier mot ?

Ah, l'ère technologique ! Une époque où nos téléphones sont plus intelligents que nos animaux de compagnie, où nos montres peuvent nous dire combien de pas nous avons faits (comme si cela comptait vraiment après cette pizza quatre fromages) et où nos réfrigérateurs peuvent nous rappeler d'acheter du lait. Mais attendez, ce n'est pas tout ! 

Extraits

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Littérature étrangère

La femme qui pensait être belle

Kenneth Bernard ? L'héritier de Kafka et de Woody Allen. La Femme qui pensait être belle est un recueil de treize nouvelles qui dit le monde avec une telle précision que cela en devient absurde. Prendre le métro, marcher avec sa femme, survivre à la disparition d'un livre prêté, comprendre la métaphysique de la déglutition, s'expliquer pourquoi la civilisation a loupé le coche en misant sur Tarzan plutôt que King Kong, ou encore révéler la supériorité de la note de bas de page : voilà autant de problèmes majeurs auxquels vous trouverez des réponses dans ce livre.

09/2015

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Littérature française

La mère qui voulait être femme

C'est une journée particulière. Marta, ancienne violoniste célèbre, fête ce soir ses quatre-vingt-dix ans. Sa fille, Cécile, prépare la réception et sa petite fille de trente ans, Esther, s'apprête à donner un solo de violon pour l'occasion. Au fil des heures, alors que la soirée approche, les trois femmes replongent dans leurs souvenirs. Vie flamboyante ou égarée, abandon, trahison, plaisir et chagrin... À travers ces regards croisés se révèlent progressivement trois cheminements dont la singularité vient se briser sur un même secret. Et sur la même Histoire. Dans ce roman de la transmission familiale, Maryse Wolinski brosse le portrait de trois générations de femmes éprises de liberté qui, chacune à sa façon, consacrent l'amour absolu

03/2008

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Littérature étrangère

Ce que pensait roger

Dans le décor anonyme d'une petite ville universitaire de la Nouvelle-Angleterre, Roger Lambert, ex-ministre du culte et professeur de théologie, vit tiraillé entre le scepticisme et le démon de midi. Autour de ce pêcheur d'âmes devenu, comme le révérend Marshfield d'Un mois de dimanches, simple pêcheur, gravitent Edna, sa seconde épouse, Verna, son équivoque demi-nièce, et Dale Kohler, un jeune chercheur féru d'informatique et de religion. Quatre personnages en quête d'une identité qu'en marge des sentiers battus ils cherchent dans l'assouvissement de leurs fantasmes et les plaisirs de la chair. En filigrane le tableau très impressionniste de l'Amérique nonchalante et blasée au crépuscule de l'ère Reagan, dont l'auteur observe et souligne avec réalisme et sans concession, mais aussi avec détachement, les conflits et les paradoxes, l'envers du rêve américain. Ce douzième roman illustre avec éclat la mission que John Updike assigne à l'écrivain contemporain : "penser grand", dépoussiérer le roman en renouvelant ses sources d'inspiration. Sur la trame de la tragi-comédie bourgeoise se greffe une interrogation d'ordre essentiel et existentiel sur la naissance de l'univers, les origines de la vie et le devenir de l'homme. Aux antipodes du roman académique ou expérimental des années 60 et 70, en marge des niches et chapelles littéraires, ni livre-miroir ni livre-masque, Ce que pensait Roger est un roman à tiroirs et à facettes multiples dont la double optique à la fois macro- et microcosmique offre, selon l'ambition de son auteur, "une fenêtre ouverte sur l'univers et la vie". John Updike réussit brillamment la synthèse entre le profane et le sacré, le sexe et la religion, "les deux formes suprêmes de résistance à la peur de la mort".

02/1988

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Littérature française

La femme qui croyait être Marie-Madeleine

Tilda Koen prétend être la réincarnation de Marie-Madeleine. Selon ses dires, elle serait envoyée par Dieu pour poursuivre l'oeuvre du Christ. Le Tout-Puissant, s'étant rendu compte que les hommes étaient incapables de libérer l'Humanité du péché et que le sacrifice de Jésus n'avait pas donné le résultat souhaité, se tourne vers les femmes pour accomplir cette mission. La supposée Marie-Madeleine du XXIe siècle prône le pouvoir des lesbiennes qui, avec l'aide du génie génétique, peuvent se reproduire sans avoir besoin des hommes. Ce projet conduit à une société totalitaire dont les victimes restent les figures principales de ce roman.

09/2023

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Littérature anglo-saxonne

Elle. Qui-doit-être obéie

Cambridge, années 1880. Ayant hérité, presque par hasard, d'un tesson de poterie couvert d'inscriptions remontant à l'Antiquité, Horace Holly, un distingué linguiste britannique, se lance sur les traces d'un prêtre du culte d'Isis, Kallicratès, assassiné deux mille ans auparavant. Sa quête le conduit dans l'actuelle Tanzanie, dans le royaume de " Celle-qui-doit-être-obéie ", une mystérieuse reine à la beauté légendaire qui vit au coeur des ruines d'une civilisation perdue, par-delà d'infranchissables marais... Triomphe littéraire de la période victorienne, Elle (She) attira quelques décennies plus tard l'attention de Freud, qui en recommandait la lecture à ses patients, mais aussi de Jung qui comparait sa puissance d'imagination à celle de L'Enfer de Dante et de L'Anneau du Nibelung de Wagner. Ecrit dans la foulée de l'immense succès des Mines du Roi Salomon (1886), Elle-qui-doit-être-obéie - dont la première édition parait en 1887 - inaugure une longue série de romans d'aventures fantastiques de l'écrivain britannique Sir Henry Rider Haggard (1856-1925), qui verra même, en 1921, la reine Aycha (She) el Allan Quatermain (Les Mines du roi Salomon) partager une même aventure. Un roman complexe mêlant réincarnation, vengeance, amour et destin, qui continue, aujourd'hui encore, d'enchanter de nombreux lecteurs.

05/2022

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Actualité et médias

La politique, telle qu'elle meurt de ne pas être

Un dialogue entre Alain Juppé et Michel Rocard, mené par le journaliste et écrivain Bernard Guetta. Un vent d'air frais sur la politique. « C’est la politique comme on n’en rêvait plus. Pas de petites phrases, pas d’effet com, ni basses polémiques ni arguments faciles, mais un vrai dialogue, une véritable écoute, entre deux hommes d’Etat, et anciens Premiers ministres tous les deux. L’un de gauche, l’autre de droite. Ils se revendiquent de leurs camps respectifs et le disent. "Oui je suis de gauche", dit Michel Rocard à Alain Juppé qui renchérit : "Oui je suis de droite". Ils n’en changeront pas, mais cette fidélité ne les aveugle pas sur les faiblesses et carences de leurs familles politiques. Ce n’est pas Michel Rocard mais Alain Juppé qui fustige la tentation ultralibérale de la droite, ses égoïsmes de classe et ses ambiguïtés sur l’Europe. Ce n’est pas Alain Juppé mais Michel Rocard qui tire à boulets rouges sur la gauche, sur son incapacité à assumer l’économie de marché, le réformisme et le compromis politique auxquels elle adhère, pourtant, dans les faits. L’un est gaulliste, l’autre social-démocrate. Le premier est aussi éloigné de Nicolas Sarkozy que le second l’était de François Mitterrand. On découvre, là, une deuxième droite, pendant de la deuxième gauche. Il en souffle un vent d’air frais sur la politique, fait de profondes convergences et d’un commun amour de la France, de respect de l’autre et d’étonnants chaussés-croisés entre un nationaliste tombé amoureux de l’Europe et un internationaliste qui n’y croit plus guère. C’est dense et clair, exigeant et chaleureux, le contraire de la chasse aux voix – la politique telle qu’elle meurt de ne pas être. »

01/2011

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