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La dernière ville sur Terre

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Romans policiers

La dernière ville sur Terre

Durant l'épidémie de grippe espagnole, une petite ville industrielle située au coeur des forêts brumeuses du Nord-Ouest Pacifique décide de se mettre en quarantaine, mais l'arrivée d'un soldat affamé et malade aura des répercussions terribles sur la communauté. "Thomas Mullen, à qui l'on doit de remarquables récits policiers sur la ségrégation raciale dresse ici le tableau d'une communauté qui se rétrécit sous la peur et la menace de la mort. Comme un écho à la pandémie qui a saisi la planète en 2020". Sylvia Zappi, Le Monde des livres

01/2023

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Derrière la muraille de briques

Il s'agit du récit de ma vie à Kunming, dans le Yunna, à 3500 Km au Sud-Ouest de Beijing, invitée par le gouvernement chinois pour enseigner le français, en 1981 alors que la République Populaire de Chine commençait à s'ouvrir aux étrangers. Le Yunnan, terre d'exil pour les indésirables de la Révolution culturelle, recevait sa première experte française et même européenne, il n'y avait pas eu de présence française depuis 1951 date de fermeture du dernier consulat français de Kumming. J'avais 25 ans fraîchement diplômée des Langues'O. Pendant mon séjour en Chine j'ai noté mes impressions tous les jours, soit dans mon journal, soit dans un courrier à un membre de ma nombreuses famille. La découverte 40 ans après de ces archives a ravivé mes souvenirs et a suscité l'envie de raconter cette Chine méconnue des années 1980 et décrire ma vie de jeune fille exilée dans ce Far West chinois, sur les contreforts du Tibet. Mon physique ressemblant aux femmes d'Asie centrale, m'a permis de voyager dans des zones fermées aux étrangers à l'époque, peuplées de minorités pour le moins malmenées aujourd'hui, comme les Ouïghours, en me déguisant parfois ou en faisant du stop quand l'achat de billet de transport dans le "Petit Tibet" m'était interdit, en logeant dans des yourtes chez les Kazakhs des Monts Célestes et en me fondant dans la foule au Xinjiang. Ce récit est une expérience autobiographique, un témoignage unique et inédit d'un pays et d'un temps à la fois révolus et paradoxalement contemporains.

07/2023

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Croisades

Le dernier Templier de Terre sainte

Qui est donc Guillaume de Beaujeu, lorsque, en 1273, âgé d'une quarantaine d'années, il est élevé à la dignité de grand-maître de l'ordre du Temple, ce qui l'amènera à rejoindre Acre en Terre sainte ? Apparenté à tout ce que l'Europe comptait de souverains, élevé dans l'esprit de croisade, c'est d'abord un guerrier, un homme d'action ; mais aussi un homme de réseaux : il entretiendra d'excellentes relations avec le pape, des échanges avisés avec les cités italiennes, et surtout une étonnante proximité avec le sultan mamelûk et les émirs de son entourage, où il compta un grand nombre d'amis fidèles, et autant d'espions. Vingt ans plus tard, cependant, un ultime assaut allait avoir raison de la forteresse d'Acre, dernière capitale du royaume latin. Beaujeu participa activement aux combats de défense, menant des sorties de jour et de nuit, avant de trouver la mort sur les remparts. La ville tomba le jour même où il fut tué : l'annonce de sa fin avait jeté l'épouvante et le découragement dans la population et jusque dans les rangs de l'armée. Eclipsé depuis par le sort tragique de son successeur Jacques de Molay, qui mourut sur le bûcher par ordre de Philippe le Bel, il mérite pleinement qu'une biographie lui soit aujourd'hui consacrée, son destin étant intimement mêlé aux grands bouleversements géopolitiques de la fin du XIIIe siècle.

04/2021

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Nice-Ville

" Nice des amours, des amitiés, des souvenirs, des lectures. A peine française. Tout juste balnéaire. Exil pas toujours doré pour des milliers d'artistes. Nice enchantée, neurasthénique, dansante, angoissée, érotique. Le besoin de Nice est naturel, comme un produit bio. Il aura occupé, avec d'autres petites manies, les trente dernières années de mon existence insolite. La ville résume les doutes que j'ai sur tout, elle est un repaire métaphysique. Je ne pourrais pas vivre bien sans elle, j'ai trop besoin de ses automnes. J'ai tenté de l'enfermer dans ce livre pour l'avoir toujours sur moi, comme un médaillon ou un gilet pare-balles. C'est une protection un peu matérialiste, un plafond de verre à ne pas briser. " P. B.

01/2021

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Terry Hammer

Après qu'une catastrophe naturelle sans précédent ait ravagé la ville de Butingham, Mickael Googman et son épouse Laïla, trentenaires, ont trouvé refuge chez la soeur de cette dernière, loin de s'imaginer de l'accueil glacial que les anciens de la petite bourgade réservaient aux nouveaux arrivants. Selon la légende locale, une terrible malédiction frappait sur la ville depuis plus de deux cents ans. Faisant fi des avertissements, le couple Googman prit sa résidence dans une maison cossue sur les hauteurs de la ville. Dès lors, Mickael et Laïla furent en proie à un tourbillon de terreur, qui allait leur faire perdre bien plus que ce qu'ils auraient pu imaginer.

01/2021

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Ecrits sur l'art

Dernière danse

L'image de la Mort a hanté toutes les époques. Du Moyen Age à nos jours, elle s'est glissée dans l'imaginaire des artistes, souvent sous l'apparence d'une silhouette squelettique, avec pour devise : Memento mori. Toujours présente pour rappeler que la vie a une fin, elle tend aux hommes un miroir au reflet funeste, celui de leur condition passagère sur terre. Selon les périodes historiques, elle a incarné, si l'on peut dire, les barbaries de la guerre en même temps que les idéaux d'égalité et de paix, ainsi que des figures plus ordinaires. Séductrice et amante, elle a aussi été représentée maligne et grimaçante, inventant des stratagèmes diaboliques pour serrer les hommes dans son étreinte. Mais la plupart du temps elle apparaît dansante, prise dans une ronde sans fin. Et c'est cette danse, celle de la vie mêlée à la mort, qui a trouvé dans les arts graphiques un écho particulier. Si Holbein est à l'origine d'une telle tradition iconographique, des artistes comme Beham, Aldegrever, Brentel, Van der Heyden, Bresdin, Doré, Rethel, Klinger, Sattler, Masereel, Grosz, Dix, Heartfield jusqu'aux illustrateurs contemporains Ungerer, Winshluss et Tanxxx, ont nourri le genre des danses macabres de leur vision renouvelée. Ce catalogue présente un ensemble remarquable de leurs productions, conservées dans les collections des Musées de la Ville de Strasbourg et d'autres d'institutions françaises et allemandes. Il éclaire en outre la longue histoire de l'imaginaire macabre par des contributions de spécialistes et d'historiens de l'art.

05/2016

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