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La dame pâle

Extraits

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Collège

La Dame pâle

Plongez dans ce conte et transportez-vous avec l'héroïne, Hedwige, dans un étrange château entre la Roumanie et la Pologne, au beau milieu des Carpates ! Là, tout est mystères et légendes, là, les morts viennent rendre visite aux vivants et parfois les hanter ou les rendre pâles... d'effroi ! Cette nouvelle, tirée du recueil Les Mille et Un Fantômes de Dumas, permettra aux élèves d'aborder les notions de fantastique et de surnaturel. Le point de vue interne pourra être étudié grâce à une incursion dans la conscience de l'héroïne. En outre, le thème du vampire sera l'occasion d'interrogations sur cette figure qui fascine encore aujourd'hui et de prolongements vers la découverte d'autres oeuvres littéraires ou cinématographiques. Niveau 2 : recommandé pour les classes de cinquième et de quatrième. Les récits d'Alexandre Dumas sont recommandés dans les nouveaux programmes officiels de l'Éducation nationale pour la classe de quatrième.

06/2011

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Collège

La Dame pâle

Au coeur des Carpathes, dans le château de Brancovan, où elle a trouvé refuge face à la menace russe, la belle Hedwige devient l'enjeu de la haine que se vouent deux frères ennemis, éperdument amoureux l'un et l'autre de la jeune femme. L'édition Classiques & Cie collège Soigneusement annoté, le texte du récit est associé à un dossier illustré, qui comprend : - un guide de lecture (avec des repères, un parcours de l'oeuvre et un groupement de documents sur le motif du démon dans la littérature et la peinture), - une enquête documentaire : "Qui sont les vampires ? ".

08/2011

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Littérature française

La dame pâle

Au coeur des Carpathes, dans le sombre château de Brankovan, les princes Grégoriska et Kostaki, s'affrontent pour conquérir la belle Hedwige. Or Kostaki est un vampire qui revient chaque nuit assouvir sa soif de sang auprès de la jeune femme devenue l'objet d'une lutte sans merci entre les deux frères. Une étrange histoire pleine de romantisme et de fantastique où l'angoisse le dispute au romanesque...

02/2023

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Chanson française

Barbara, un ange en noir

Cheveux d'ébène, visage pâle, toujours vêtue de noir : voilà l'image éternelle de Barbara. L'artiste à la voix fragile, presque féline et vénéneuse est passée à la postérité avec des titres comme Göttingen, L'Aigle Noir ou Dis, quand reviendras-tu. Dans cette biographie intime, l'auteur revient sur la vie de la " longue dame brune " qu'il a côtoyée pendant plus de dix ans. Il nous fait découvrir une femme qui était, en privé, aussi drôle et volubile qu'elle était tragédienne et grave sur scène. Il raconte une Barbara méconnue. L'histoire d'une femme qui a traversé les années avec passion malgré les drames qui ont jalonné sa vie, notamment la guerre, l'inceste, la fugue et la maladie. Barbara, c'est un ange noir qui s'est mis à nu dans son oeuvre et a tout donné à son public. Sa plus belle histoire d'amour.

11/2022

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Théâtre - Pièces

Le songe d'une nuit d'été: A midsummer night's dream

THESEUS Now, fair Hippolyta, our nuptial hour Draws on apace : four happy days bring in Another moon ; but O, methinks how slow This old moon wanes ! She lingers my desires, Like to a step-dame, or a dowager, Long withering out a young man's revenue. HIPPOLYTA Four days will quickly steep themselves in night: Four nights will quickly dream away the time : And then the moon, like to a sliver bow New-bent in heaven, shall behold the night Of our solemnities... THESEE Et maintenant, belle Hippolyta, voici notre heure nuptiale qui approche à grands pas. Dans quatre heureux jours apparaîtra la nouvelle lune. Elle étire mes désirs ainsi qu'une marâtre ou une douairière qui laisse se dessécher le revenu d'un jeune homme. HIPPOLYTA Quatre jours s'évanouiront vite dans la nuit ; quatre nuits se dissiperont vite dans le rêve ! Alors la lune, comme un arc d'argent qui vient de s'incurver dans le ciel, contemplera la nuit de notre union solennelle. THESEE Va, Philostrate, entraîne aux réjouissances la jeunesse d'Athènes ; éveille l'esprit de la gaîté, agile et bondissant ; renvoie aux funérailles la mélancolie : cette pâle commère ne sied pas à nos festivités... Traduction de Jules Supervielle et Jean-Louis Supervielle.

04/1996

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Littérature française

Contes

Je me préparais à sonner au presbytère, quand la porte s'ouvrit. Je dus m'effacer pour livrer passage à une femme en deuil qui sortait. Elle me parut très pâle sous son voile de crêpe anglais, mais il me fut impossible de distinguer ses traits. D'ailleurs, elle passa rapidement, reconduite par le curé jusqu'à la voiture - une vieille calèche de campagne attelée d'un gros percheron - qui stationnait à la porte. - Ainsi, monsieur le curé, c'est bien entendu comme cela ? Voyons, nous n'avons rien oublié ? - Je ne crois pas, madame la marquise. - Faudra-t-il vous envoyer quelqu'un de la ferme pour vous aider, monsieur le curé ? - Merci, merci, madame la marquise... Gaudaud, mon sacristain, est habitué... Je l'emmènerai. - Eh bien ! au revoir, monsieur le curé. - Je vous présente mes respects, madame la marquise. Le curé referma la portière, et la voiture partit, dans un bruit de ferrailles, vénérable et disloquée. - Quelle bonne dame ! me dit le vieux curé, comme nous entrions au presbytère. Si celle-là ne va pas tout droit en paradis, c'est que personne n'ira. - Qui est-ce donc ? demandai-je. Il me semble que cette figure ne m'est pas inconnue. - C'est Mme la marquise de Perseigne. - Comment, la marquise de Perseigne ? la célèbre et belle marquise de Perseigne ?

01/2023

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