Recherche

La contrevie

Extraits

ActuaLitté

Poches Littérature internation

La contrevie

Signe de contradiction pour les Juifs, scandale pour les gentils, comment Nathan Zuckerman, l'écrivain sarcastique et lucide qui est le double de Philip Roth, pourrait-il - malgré son succès - échapper à la vindicte et à l'opprobre des uns comme des autres ? Peut-être bien en imaginant, pour lui-même et ses personnages, une contrevie, une vie alternative à la fois nouvelle, imprévue et bizarrement réversible. Car, dans ce roman-miroir, les figures principales sont en abîme, affrontées deux à deux, correspondantes : Nathan et son frère Henry ; les deux femmes qui symbolisent pour eux la contrevie et portent le même prénom, Maria (Maria : Marie, visage essentiel de la chrétienté). Shuki Elchanan la colombe et Mordecai Lippman le faucon, en qui s'incarne le dilemme israélien ; le fou juif et la folle goy, etc. Le roman déploie un kaléidoscope de lieux (Newark, New York, Tel-Aviv, Jérusalem, un village de Judée, Londres, un village du Gloucestershire, sans compter la carlingue d'un avion en vol), traversés de personnages en proie au doute, au questionnement, au désespoir, à l'exaltation ou à la folie. Tous animés du désir de changer la vie, de la changer en la risquant vraiment, le risque majeur étant assumé par les figures jumelles du narrateur et de son frère qui, réellement ou fictivement, affrontent tous deux la mort. La mort, le prix à payer pour en finir avec l'impuissance, la claustration, la contingence ; la mort, façon définitive de démontrer que " la vraie vie est ailleurs ".

12/1991

ActuaLitté

Littérature anglo-saxonne

La contrevie

La contrevie est le roman d'hommes et de femmes qui réalisent leur rêve de prendre un nouveau départ et d'échapper au cours censément irréversible de la destinée - parfois au péril de leur vie. Où qu'ils se trouvent, ces personnages se laissent tenter par la perspective d'une existence de rechange, à rebours de la voie tracée. La conscience du romancier Nathan Zuckerman éclaire ces vies en transit et les paysages du livre, familiers ou lointains mais toujours riches de sens. Sa vision d'ensemble, son intelligence sceptique évaluent le prix à payer pour qui veut réécrire son destin personnel ou infléchir l'histoire, que ce soit dans le cabinet dentaire d'une banlieue résidentielle du New Jersey, un village ancestral du Gloucestershire, une église du West End à Londres, ou une minuscule colonie israélienne en Cisjordanie.

06/2007

ActuaLitté

Littérature anglo-saxonne

La contrevie

Signe de contradiction pour les juifs, scandale pour les gentils, comment Nathan Zuckerman, l'écrivain sarcastique et lucide qui est le double de Philip Roth, pourrait-il - malgré son succès - échapper à la vindicte et à l'opprobre des uns comme des autres ? Peut-être bien en imaginant, pour lui-même et ses personnages, une contrevie, une vie alternative à la fois nouvelle, imprévue et bizarrement réversible. Car, dans ce roman-miroir, les figures principales sont en abîme, affrontées deux à deux, correspondantes... Le roman déploie un kaléidoscope de lieux, traversés de personnages en proie au doute, au questionnement, au désespoir, à l'exaltation ou à la folie. Tous animés du désir de changer la vie, de la changer en la risquant vraiment, le risque majeur étant assumé par les figures jumelles du narrateur et de son frère qui, réellement ou fictivement, affrontent tous deux la mort. La mort, le prix à payer pour en finir avec l'impuissance, la claustration, la contingence ; la mort, façon définitive de démontrer que " la vraie vie est ailleurs ".

05/2006

ActuaLitté

Littérature anglo-saxonne

La contrevie

Signe de contradiction pour les Juifs, scandale pour les gentils, comment Nathan Zuckerman, l'écrivain sarcastique et lucide qui est le double de Philip Roth, pourrait-il - malgré son succès - échapper à la vindicte et à l'opprobre des uns comme des autres ? Peut-être bien en imaginant, pour lui-même et ses personnages, une contrevie, une vie alternative à la fois nouvelle, imprévue et bizarrement réversible. Car, dans ce roman-miroir, les figures principales sont en abîme, affrontées deux à deux, correspondantes : Nathan et son frère Henry ; les deux femmes qui symbolisent pour eux la contrevie et portent le même prénom, Maria (Maria : Marie, visage essentiel de la chrétienté). Shuki Elchanan la colombe et Mordecai Lippman le faucon, en qui s'incarne le dilemme israélien ; le fou juif et la folle goy, etc. Le roman déploie un kaléidoscope de lieux (Newark, New York, Tel-Aviv, Jérusalem, un village de Judée, Londres, un village du Gloucestershire, sans compter la carlingue d'un avion en vol), traversés de personnages en proie au doute, au questionnement, au désespoir, à l'exaltation ou à la folie. Tous animés du désir de changer la vie, de la changer en la risquant vraiment, le risque majeur étant assumé par les figures jumelles du narrateur et de son frère qui, réellement ou fictivement, affrontent tous deux la mort. La mort, le prix à payer pour en finir avec l'impuissance, la claustration, la contingence ; la mort, façon définitive de démontrer que " la vraie vie est ailleurs ".

01/2018

ActuaLitté

Littérature anglo-saxonne

La contrevie

Signe de contradiction pour les Juifs, scandale pour les gentils, comment Nathan Zuckerman, l'écrivain sarcastique et lucide qui est le double de Philip Roth, pourrait-il - malgré son succès - échapper à la vindicte et à l'opprobre des uns comme des autres ? Peut-être bien en imaginant, pour lui-même et ses personnages, une contrevie, une vie alternative à la fois nouvelle, imprévue et bizarrement réversible. Car, dans ce roman-miroir, les figures principales sont en abîme, affrontées deux à deux, correspondantes : Nathan et son frère Henry ; les deux femmes qui symbolisent pour eux la contrevie et portent le même prénom, Maria (Maria : Marie, visage essentiel de la chrétienté). Shuki Elchanan la colombe et Mordecai Lippman le faucon, en qui s'incarne le dilemme israélien ; le fou juif et la folle goy, etc. Le roman déploie un kaléidoscope de lieux (Newark, New York, Tel-Aviv, Jérusalem, un village de Judée, Londres, un village du Gloucestershire, sans compter la carlingue d'un avion en vol), traversés de personnages en proie au doute, au questionnement, au désespoir, à l'exaltation ou à la folie. Tous animés du désir de changer la vie, de la changer en la risquant vraiment, le risque majeur étant assumé par les figures jumelles du narrateur et de son frère qui, réellement ou fictivement, affrontent tous deux la mort. La mort, le prix à payer pour en finir avec l'impuissance, la claustration, la contingence ; la mort, façon définitive de démontrer que " la vraie vie est ailleurs ".

09/2004

ActuaLitté

Littérature étrangère

La Contrevie

Signe de contradiction pour les Juifs, scandale pour les gentils, comment Nathan Zuckerman, l'écrivain sarcastique et lucide qui est le double de Philip Roth, pourrait-il - malgré son succès - échapper à la vindicte et à l'opprobre des uns comme des autres ? Peut-être bien en imaginant, pour lui-même et ses personnages, une contrevie, une vie alternative à la fois nouvelle, imprévue et bizarrement réversible. Car, dans ce roman-miroir, les figures principales sont en abîme, affrontées deux à deux, correspondantes : Nathan et son frère Henry ; les deux femmes qui symbolisent pour eux la contrevie et portent le même prénom, Maria (Maria : Marie, visage essentiel de la chrétienté). Shuki Elchanan la colombe et Mordecai Lippman le faucon, en qui s'incarne le dilemme israélien ; le fou juif et la folle goy, etc. Le roman déploie un kaléidoscope de lieux (Newark, New York, Tel-Aviv, Jérusalem, un village de Judée, Londres, un village du Gloucestershire, sans compter la carlingue d'un avion en vol), traversés de personnages en proie au doute, au questionnement, au désespoir, à l'exaltation ou à la folie. Tous animés du désir de changer la vie, de la changer en la risquant vraiment, le risque majeur étant assumé par les figures jumelles du narrateur et de son frère qui, réellement ou fictivement, affrontent tous deux la mort. La mort, le prix à payer pour en finir avec l'impuissance, la claustration, la contingence ; la mort, façon définitive de démontrer que " la vraie vie est ailleurs ".

05/1989

Tous les articles