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La Tortue de Georges

Extraits

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Littérature française

La Tortue de Georges

Georges est un grand-père ordinaire. Rien ne le distingue franchement des autres hommes d'Helsting. En apparence, sa vie se déroule paisible et banale dans cette campagne lorraine. Entre sa ferme, les champs, la mine et sa femme Simone, son existence est sans histoire. Pourtant tout bascule en cet été de 1985 dans les vestiaires d'une piscine allemande. Le doute, l'effroi, le déni ou le désir impérieux de justice saisiront ceux qui croyaient le connaître. Lorsqu'il est accusé de viols envers Juliette et Valérie, ses actes à l'égard des enfants resteront une énigme. Dans le roman, nous suivrons pas à pas le difficile cheminement de Georges durant ses années d'incarcération. Comment en est-il arrivé là ? Le vieil homme se confrontera à ses démons intérieurs dont il n'avait pas conscience jusqu'alors.

10/2022

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Histoire de la flibuste

Tantôt corsaires - lorsque mandatés par leur souverain -, tantôt pirates - volant donc pour leur propre intérêt -, ces hommes sont connus dans l'Histoire sous le nom de flibustiers. Pendant près de quatre siècles, pillant et massacrant au gré de leur quête de trésor, ils firent régner la terreur sur des rivages lointains. Leur histoire commence peu après la découverte du Nouveau Monde. Ces aventuriers venus d'Europe, attirés par l'or transporté par les galions espagnols de retour d'Amérique, établirent d'étranges colonies dans les îles des Caraïbes, particulièrement à la Tortue et à la Jamaïque. Traînant la réputation de brutes sanguinaires, voleurs sans scrupules, non sans talent, les flibustiers écumèrent la mer caraïbe et le golfe du Mexique à la recherche de butins. C'est leur fabuleuse épopée que Georges Blond nous raconte ici.

11/2021

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Anthologies

Le goût de la lenteur

Se hâter avec lenteur, telle est l'option de la Tortue de la fable de La Fontaine dont on connaît la morale : "Rien ne sert de courir, il faut partir à point". Dans une société de la rapidité, de l'éphémère, des échanges simultanés où le temps est devenu une menace, la lenteur est notre plus grand espoir. Nombreux sont les écrivains qui l'appellent de leurs voeux. Tels les écrivains voyageurs, choisissant la marche ou le train. Apprivoiser le temps, résister aux injonctions sociales, la lenteur est une promesse : échapper au monde pour se retrouver... Voyage en compagnie de Jean-Jacques Rousseau, Marcel Proust, Nicolas Bouvier, Eric Faye, Victor Segalen, Pierre Sansot, Saint-John Perse, Dino Buzzati, Virginia Woolf, Marguerite Duras, Aimé Césaire, W. G. Sebald, Julien Gracq, Georges Perec, Jean Giono, Milan Kundera, et bien d'autres. .

03/2023

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Littérature scandinave

La faim

L'errance physique et mentale d'un jeune écrivain torturé par la faim et par la misère dans la capitale norvégienne... La Faim (1890), récit initiatique et semi-autobiographique le plus célèbre de Knut Hamsun, prix Nobel de littérature 1920, a eu une influence considérable sur la littérature du XXe siècle. Avant-propos d'Octave Mirbeau. Préface d'André Gide. Le plus célèbre roman du prix Nobel de Littérature 1920 Le narrateur de La Faim (1890) est un anonyme auquel Knut Hamsun, après avoir connu la misère et l'exil, a prêté nombre de ses traits. Jeune écrivain torturé par la faim et le désespoir, il survit misérablement en plaçant non sans mal quelques articles dans un journal local. Le lecteur suit pas à pas ses errances en quête d'inspiration dans Christiana (qui deviendra Oslo en 1925), ses déambulations mentales et ses hallucinations, qui l'apparentent au Raskolnikov de Crime et Châtiment, à l'orée de la folie. Mais la faim n'est pas son ennemie : elle est la compagne de sa destinée, peut-être même la source d'où jaillira l'oeuvre en gestation, entre accès d'euphorie et phases d'abattement. Il ne trouvera la délivrance qu'en fuyant la ville à bord d'un navire... Long monologue, " vie inconsciente de l'âme " préfigurant le stream of consciousness d'un Joyce ou d'une Virginia Woolf, La Faim fut une révélation pour des auteurs comme André Gide, qui ne commit pas l'erreur de ranger Hamsun au nombre des disciples du naturalisme zolien, écrivant dans sa préface : " On tourne les feuillets de ce livre étrange. Au bout de peu de temps, on a des larmes et du sang plein les doigts, plein le coeur. Ah ! Combien toute notre littérature paraît, auprès d'un tel livre, raisonnable. " " Une oeuvre unique, de premier ordre et qui passionne. " (Octave Mirbeau) " Toute la fiction moderne est irriguée par l'oeuvre de Hamsun " (Isaac Bashevis Singer)

02/2023

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Six nuits sur l'Acropole

Ne pas pouvoir travailler, autre torture. A peine me suis-je affranchi de la routine, à peine la plume touche-t-elle le papier que je revois ce corps, et les barrages cèdent. Jamais ses seins n'ont été aussi vivants que la dernière fois. Ils avaient la force d'un profond printemps en marche. Mauvaise nuit. Une aiguille me brodait son nom sur la peau comme sur le tricot d'un marin. J'étais brûlant. A l'aube, un sommeil lourd, sans rêves. A peine réveillé, je suis sorti et je suis monté vers Maroussi. Les baraquements des tuberculeux, dont les planches n'avaient même pas été rabotées. Le parfum de la terre chaude mêlée à l'horreur du corps humain. Dans un café, un violon et un piano répétaient la Valensia. Au fond, la crête de l'Hymette, d'une incroyable présence. Georges Séféris.

03/1996

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Le dernier Mitterrand

Dans un mois, dans un an, le souverain va mourir. Torturé par la maladie, lâché par une partie des siens, despote presque fantôme d'un règne crépusculaire, le vieux chef français n'a pas renoncé à poser pour l'Histoire. Mille jours à vivre, sous le regard fasciné d'un jeune journaliste choisi pour être le dernier témoin de sa grandeur et de ses faiblesses, de son courage et de son épouvante devant la mort qui vient. Ombre shakespearienne de l'Elysée, agonisant à Latche, replié dans sa retraite du Champs-de-Mars, jusqu'au bout François Mitterrand, Président de la république française de 1981 à 1995, en livrant son dernier combat, séduit, étonne, irrite, subjugue : « Notez, notez tout… et dites-leur que je ne suis pas le diable ».

02/2005

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