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La République ne vous appartient pas

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Sciences politiques

La République ne vous appartient pas

"La République ne vous appartient pas." Le 9 décembre 2019 Juan Branco ouvre par ces mots son discours dans l'amphithéâtre d'honneur de Polytechnique. Face aux étudiants de la plus prestigieuse école du pays, il se livre à une leçon magistrale sur le dévoiement du système qui vient de les consacrer et donne les clés pour comprendre les finalités d'un système éducatif où les écoles du soi(disant mérite sont créées pour reproduire une logique de domination au profit de quelques-uns. Son appel au sursaut est un plaidoyer pour une idée de la République, abandonnée par leurs aînés. Suivi des échanges avec les étudiants, un discours qui s'adresse à tous les Français et fera date sur un système de sélection dont ils sont avant tout victimes.

09/2020

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Votre vie vous appartient

Il est souvent reproché aux hommes et femmes politiques d'être déconnectés de la réalité du commun des Français. A la lecture de son récit de vie chacun comprendra que ce n'est pas le cas de Valérie Gomez-Bassac. Un témoignage tout en sincérité. Que de chemin parcouru entre une enfance passée dans les cités des Alpes-Maritimes, où il a fallu faire face aux difficultés de l'existence, à son entrée au palais Bourbon. L'étudiante qui travaillait comme caissière pour financer son diplôme de droit peut être fière d'elle mais page après page, ligne après ligne il n'est jamais question de jouer les donneuses de leçon. Au contraire le message, en filigrane, reste que lorsque la motivation est à son paroxysme alors tous les rêves, même les plus fous peuvent devenir réalité. A condition de conserver les valeurs apprises très tôt et notamment celles du travail et de la fidélité en amitié entre autres. Car Valérie Gomez-Bassac ne pouvait imaginer une telle trajectoire au moment d'envoyer sa candidature pour intégrer les rangs de la République en Marche (LREM). Voilà pourquoi aujourd'hui la députée se livre comme jamais pour dévoiler la femme qui se cache derrière l'élue...

11/2021

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Actualité politique France

Crépuscule

Philosophe, avocat et docteur en droit, Juan Branco est l'auteur au Diable vauvert de La République ne vous appartient pas, Abattre l'ennemi, Treize pillards et Coup d'Etat. Cette nouvelle édition de Crépuscule, best-seller vendu à 160 000 exemplaires et téléchargé plus d'un million de fois, est enrichie d'un avant-propos et d'une postface inédits de l'auteur.

03/2023

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Ouvrages généraux et thématiqu

Jeanne la Pucelle

Jeanne la Pucelle Incarnation virginale de Perceval Approche ésotérique de la geste johannique : de Domrémy à Rennes-le-Château. Reste-t-il des choses à découvrir sur Jeanne ? L'auteur nous invite ici à une exploration inédite du mystère de Jeanne la Pucelle. L'Eglise de Rome ainsi que la République ne veulent pas que vous sachiez que Jeanne fut la fille de Louis d'Orléans, premier titulaire de la royauté cachée, née en 1392. Secondée dans sa mission par la Maison d'Anjou et Yolande d'Aragon, Jeanne, princesse royale, défendit aussi les prérogatives de l'Eglise d'Avignon, née en 1390, et incarnée par le pape avignonnais, l'Aragonais Pedro di Luna alias Benoît XIII et ses successeurs. Cette " crypto-Eglise ", née des affres du Grand Schisme d'Occident de 1378, année mythique de la naissance de Christian Rosen-Kreutz, fondateur éponyme de la Rose-Croix, sera diffamée et pourchassée par l'Eglise de Rome pour hérésie et déviance doctrinale, mais réussira néanmoins à se survivre jusqu'à nos jours où elle est reconnaissable à travers quelques personnages tels, Alfred Baudrillart, Antonio Salazar, le Père d'Herbigny, etc. L'auteur, dans un ultime rappel, rattache l'épopée johannique au mystère de Rennes-le-Château, capitale secrète de l'histoire de France. La conclusion est aujourd'hui sans pourvoi, Jeanne n'appartient ni à la République ni à l'Eglise de Rome, Jeanne demeurant l'éclat pérenne de la dissidence de la Fraternité du Serpent et du 515 dantesque !

05/2025

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Comprendre l'histoire politique du Congo-Brazzaville (1958-2020)

Ce texte est né d'une obstination à entrer dans la lecture des événements qui ont émaillé l'histoire politique du Congo-Brazzaville, depuis l'adoption de la Délibération 112-58 qui portait création de la République du Congo, le 28 novembre 1958. Malgré les promesses liées à cette création qui fut un tournant historique, cet Etat institutionnalisé à la décolonisation n'a pas permis aux différentes composantes des populations du Moyen-Congo de le faire leur, suite aux conséquences dues à un double malentendu : - A partir de la Loi Cadre-Defferre de 1956, qui définissait la personnalité politique des territoires d'AEF, d'AOF et de Madagascar et leur accordait une certaine autonomie, et surtout la Constitution du 04 Octobre 1958 qui instituait la Communauté, les élites de ces territoires, et notamment la République du Congo, projetaient d'atteindre un certain statut, l'indépendance, alors que pour la puissance coloniale, il s'agissait d'un simple transfert de certaines compétences consistant à leur concéder les "signes extérieurs" de l'indépendance, tout en bridant par les accords de coopération toute possibilité de détermination des termes du développement économique et industriel. Ainsi, la première République, sous la présidence de l'abbé Fulbert Youlou, en fera les frais avec le projet du barrage du Kouilou. - Bien que le gouverneur Deriau, entérinant au nom de la France ladite Délibération 112-58, déclarait qu'"... il vous appartient en conséquence de définir la structure que vous entendez donner à vos nouvelles institutions quant à la composition, au mode de désignation et aux compétences des pouvoirs législatif et exécutif...", les élites congolaises, au lieu d'une invention démocratique qui devait prendre en compte la réalité de "la diversité des populations du Moyen-Congo" constitutives de ce nouvel Etat, s'étaient contentées de l'Etat unitaire, la République une et indivisible héritée du jacobinisme français. Dès lors, le Congo va vivre les limites de son action politique. Au fil de ces six premières décennies de sa vie commencée le 28 novembre 1958, il va ruiner toutes ses chances de se présenter et de se promouvoir comme un pays, compte tenu de l'incapacité politique des élites de reconnaître et d'assumer la vérité historique, c'est-à-dire l'incompatibilité entre le système de l'Etat jacobin et la diversité des populations congolaises proclamée dans l'acte de naissance dudit Etat. L'Etat, une institution qui a la prétention de garantir à la fois l'unité et la permanence de ce corps politique en constitution, doit s'inscrire dans un projet politique qui l'identifie et lui donne sens puisque, dans le contexte des indépendances, il était censé ouvrir à une configuration politique nouvelle ; laquelle demeure une invention démocratique, qui doit se concevoir à partir de l'exploration de voies politiques nouvelles qui vont dans le sens d'une décentralisation, d'une régionalisation, ou encore d'un fédéralisme à assumer, pour dépasser les limites politiques du jacobinisme ; un système politique qui, dans le contexte analysé de cette histoire politique, est favorable à la dictature d'un parti unique.

01/2021

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