Recherche

La Faim

Dossiers

Extraits

ActuaLitté

Cuisine familiale

Faim ! Faim ! Faim !

Cuisiner pour tous les jours peut rimer avec fun, plaisir et originalité ! Marion Chibrard du blog The Flying flour, vous propose un livre de cuisine du quotidien ultra gourmand et vivant, riche en idées et en astuces avec des recettes faciles et addictives qui ont toutes "un twist" en plus ! Apéro, entrées, classiques twistés, passion pasta, plats rapides, plats solo, bols et salades, cuisine du monde, desserts, goûters... Un livre ponctué d'astuces (anti gâchis, gain de temps...), d'anecdotes, d'ambiances, de gestes, en tenant compte des saisons et avec toujours des alternatives pour se débrouiller avec ce qu'on a à la maison. Un livre moderne et vivant pour ajouter un truc en plus à votre cuisine de tous les jours !

10/2022

ActuaLitté

Littérature russe

La faim

Petrograd. 1919. Journal affamé d'une jeune fille dépecée par les souffrances. La narratrice est Fénia, une adolescente très pauvre au lendemain de la révolution. Ses préoccupations - ses obsessions, plutôt : le système du rationnement, la structure économique du pays, certes. Mais surtout, Fénia consigne avec une infinie minutie les innombrables malédictions (divisions, mesquineries...) que répand la faim sur la famille. La Faim est le genre de livre qu'on vit... qui donne la dalle !

05/2021

ActuaLitté

Littérature scandinave

La faim

L'errance physique et mentale d'un jeune écrivain torturé par la faim et par la misère dans la capitale norvégienne... La Faim (1890), récit initiatique et semi-autobiographique le plus célèbre de Knut Hamsun, prix Nobel de littérature 1920, a eu une influence considérable sur la littérature du XXe siècle. Avant-propos d'Octave Mirbeau. Préface d'André Gide. Le plus célèbre roman du prix Nobel de Littérature 1920 Le narrateur de La Faim (1890) est un anonyme auquel Knut Hamsun, après avoir connu la misère et l'exil, a prêté nombre de ses traits. Jeune écrivain torturé par la faim et le désespoir, il survit misérablement en plaçant non sans mal quelques articles dans un journal local. Le lecteur suit pas à pas ses errances en quête d'inspiration dans Christiana (qui deviendra Oslo en 1925), ses déambulations mentales et ses hallucinations, qui l'apparentent au Raskolnikov de Crime et Châtiment, à l'orée de la folie. Mais la faim n'est pas son ennemie : elle est la compagne de sa destinée, peut-être même la source d'où jaillira l'oeuvre en gestation, entre accès d'euphorie et phases d'abattement. Il ne trouvera la délivrance qu'en fuyant la ville à bord d'un navire... Long monologue, " vie inconsciente de l'âme " préfigurant le stream of consciousness d'un Joyce ou d'une Virginia Woolf, La Faim fut une révélation pour des auteurs comme André Gide, qui ne commit pas l'erreur de ranger Hamsun au nombre des disciples du naturalisme zolien, écrivant dans sa préface : " On tourne les feuillets de ce livre étrange. Au bout de peu de temps, on a des larmes et du sang plein les doigts, plein le coeur. Ah ! Combien toute notre littérature paraît, auprès d'un tel livre, raisonnable. " " Une oeuvre unique, de premier ordre et qui passionne. " (Octave Mirbeau) " Toute la fiction moderne est irriguée par l'oeuvre de Hamsun " (Isaac Bashevis Singer)

01/1986

ActuaLitté

Littérature française

La faim

Roman semi-autobiographique d'une grande finesse psychologique, "La Faim" relate les déboires d'un jeune écrivain solitaire et famélique errant dans les rues de Christiania (aujourd'hui Oslo). Refusant toute contrainte matérielle, il entretient son anorexie par orgueil et provoque lui-même sa misère et son désespoir afin de pouvoir écrire, s'inventer d'autres destinées, d'autres identités. A la fin, assumant totalement sa vie de chien errant au coeur du monde, il se fait embaucher sur un navire en partance. En partie influencé par l'oeuvre de Dostoïevski et opposé au genre réaliste alors en vogue, "La Faim" signe le véritable début de la carrière littéraire de Knut Hamsun, qui recevra le prix Nobel de littérature en 1920. Par bien des points, le roman préfigure les écrits de Kafka et d'autres auteurs existentialistes qui écriront sur la condition de l'homme contemporain. Salué par André Gide, Henry Miller, André Breton ou encore Octave Mirbeau, "La Faim" est aujourd'hui considéré comme l'un des chef-d'oeuvres de la littérature européenne du XXe siècle.

01/2023

ActuaLitté

Littérature scandinave

La faim

La Faim creuse la nuit des hommes. L'automne au froid piquant des pays du Nord. Un jeune homme erre chaque jour à travers la ville de Christiania, à la recherche de l'inspiration qui lui permettra d'écrire un article. Notre jeune homme est dans la gêne, une gêne sévère car son allure porte les stigmates du manque persistant : mauvaise mise, mauvaise mine. Ce sidérant récit de La Faim qui, malgré son style tranchant, ménage au lecteur des moments de tendresse et de surprise amusée tant le héros est plus naïf que rusé et généreux qu'intéressé. Il tourne dans la ville et fait tourner les coeurs. Main dans la main avec son double intérieur, il est fort d'une grande vérité sans nom et ne tombe jamais tout à fait. Il lui arrive même de fredonner et l'on pense à Rimbaud écrivant, soudainement inspiré : "Je est un autre"... Lui aussi devait avoir la faim au ventre.

05/2016

ActuaLitté

Littérature scandinave

La faim

N'était-ce pas le diable aussi, le diable dans tous ses états, que mes tribulations ne veuillent jamais prendre fin ! A pas longs et furieux, le col de mon manteau brutalement relevé sur la nuque, les mains nouées dans les poches de mon pantalon, j'allais, injuriant tout le temps ma malheureuse étoile. Pas un vrai moment insouciant en sept, huit mois, pas le strict nécessaire pour manger pendant une courte semaine, avant que la misère ne recommence à me mettre à genoux. Par-dessus le marché, j'étais resté honnête au beau milieu de ma détresse, hé hé ! honnête, foncièrement ! Dieu me garde, comme j'avais été ridicule ! Et j'entrepris de me raconter à moi-même comment j'étais même allé jusqu'à avoir mauvaise conscience parce qu'un jour j'avais porté la couverture de Hans Pauli au mont-de-piété. J'eus un rire sardonique pour ma tendre intégrité, je crachai par terre avec mépris, je ne trouvais pas de mots assez forts pour me moquer de moi à cause de ma bêtise. Ah ! si c'était maintenant ! Que je trouve dans la rue en ce moment, les skillings épargnés par une écolière, l'unique øre d'une pauvre veuve, je les ramasserais et les fourrerais dans ma poche, je les volerais délibérément et dormirais tranquillement comme une pierre, toute la nuit d'après. Ce n'était tout de même pas pour rien que j'avais souffert si indiciblement, ma patience était à bout, j'étais prêt à n'importe quoi. Knut HAMSUN.

01/1994

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté