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L'homme de cour

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Littérature française

L'homme de cour

"L'Homme de Cour" (en espagnol "El Hombre de Corte") est une oeuvre écrite par le philosophe et écrivain jésuite espagnol Baltasar Gracián. Cet ouvrage, publié au XVIIe siècle (1630), fait partie de la série de maximes morales et de conseils pratiques intitulée "L'Homme Universel" (en espagnol "El Hombre Universal"). Dans "L'Homme de Cour", Gracián explore les qualités et les comportements souhaitables pour réussir dans les sphères politiques et sociales de l'époque. Il offre des conseils sur la diplomatie, la prudence, la perspicacité et l'adaptabilité, s'adressant principalement à ceux qui aspirent à une vie de cour. L'oeuvre de Baltasar Gracián est caractérisée par son style éloquent et son approche morale, visant à guider les individus vers le succès et la sagesse dans la vie.

03/2024

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L'homme de cour

L'oeuvre de Baltasar Gracian, écrivain jésuite, que l'on peut rattacher à celles de Machiavel et de Castiglione, est l'une des plus représentatives du baroque espagnol du Siècle d'Or. Aujourd'hui classée sous l'étiquette du "conceptisme", esthétique littéraire initiée par Luis de Gongora, elle est pleine de doubles sens et de jeux de mots, et fourmille de traits psychologiques pleins de vérité et de piquant. L'auteur en a laissé la théorie dans son "Art et figures de l'esprit", qui fut le code de la vie littéraire espagnole jusqu'à la fin du XVIIe siècle. Mais ses ouvrages ont aussi exercé une grande influence en Europe sur un plan philosophique, inspirant notamment les moralistes français (La Rochefoucauld), Voltaire, puis, au XIXe siècle, Athur Schopenhauer et Friedrich Nietzsche. Plus récemment, Vladimir Jankélévitch, Jacques Lacan et le situationniste Guy Debord ont lu avec passion son traité sur L'Homme de Cour, intitulé originellement Oracle manuel et Art de la prudence, qui reste d'une modernité brûlante. L'ouvrage rassemble quelque trois cents maximes sur l'art de la courtisanerie. Au-delà des préceptes politiques individuels, c'est une profonde réflexion sur l'art de se gouverner soi-même, et plus généralement sur la condition humaine et mondaine.

04/2023

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L'Homme de cour

Baltasar Gracian (1601-1658) est l'un des plus grands essayistes espagnols du Siècle d'or, que l'on peut comparer à Montaigne et à La Rochefoucauld. Dans L'Homme de cour, dont le texte original date de 1647, qui réunit trois cents maximes ou réflexions, il propose un art de vivre à la cour comme à la ville, en sauvant son honneur et son monde intérieur. La traduction de 1684 est l'un de ces monuments du style littéraire à la française, dont la clé semble oubliée.

12/2010

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L'homme de cour

Plus de trois siècles après sa publication, L'Homme de cour, œuvre du jésuite espagnol Baltasar Gracian (1601-1658), demeure un ouvrage dangereux. Grand connaisseur de l'âme humaine et des mécanismes de domination, celui qui ne voulait pas seulement vaincre par la force mais aussi par la manière, livre là un édifiant traité de morale et de survie politique.

02/1997

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L'Homme de cour

L'oeuvre de Baltasar Gracian, écrivain jésuite, que l'on peut rattacher à celles de Machiavel et de Castiglione, est l'une des plus représentatives du baroque espagnol du Siècle d'Or. Aujourd'hui classée sous l'étiquette du "conceptisme", esthétique littéraire initiée par Luis de Gongora, elle est pleine de doubles sens et de jeux de mots, et fourmille de traits psychologiques pleins de vérité et de piquant. L'auteur en a laissé la théorie dans son "Art et figures de l'esprit", qui fut le code de la vie littéraire espagnole jusqu'à la fin du XVIIe siècle. Mais ses ouvrages ont aussi exercé une grande influence en Europe sur un plan philosophique, inspirant notamment les moralistes français (La Rochefoucauld), Voltaire, puis, au XIXe siècle, Athur Schopenhauer et Friedrich Nietzsche. Plus récemment, Vladimir Jankélévitch, Jacques Lacan et le situationniste Guy Debord ont lu avec passion son traité sur L'Homme de Cour, intitulé originellement Oracle manuel et Art de la prudence, qui reste d'une modernité brûlante. L'ouvrage rassemble quelque trois cents maximes sur l'art de la courtisanerie. Au-delà des préceptes politiques individuels, c'est une profonde réflexion sur l'art de se gouverner soi-même, et plus généralement sur la condition humaine et mondaine.

06/2003

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Sainteté de cour

De la bataille de Bouvines en 1214 à la mort de Philippe le Bel un siècle plus tard, le pouvoir capétien connut un essor irrésistible, appuyé sur une idéologie inspirée par le christianisme : le "très chrétien" roi de France était présenté comme bénéficiaire privilégié de la faveur divine, la France, comme Terre sainte et les Français, comme peuple élu. Des croisades du saint roi Louis au conflit avec le pape Boniface VIII, le récit de cette période où l'Eglise et le pouvoir royal s'imbriquent et s'affrontent est traditionnellement dominé par un point de vue très masculin. Pourtant, au cours de ce long XIIIe siècle, des saintes femmes furent liées, de gré ou de force, à la dynastie capétienne qui n'hésita pas à s'en servir pour asseoir sa légitimité en renforçant sa sacralité et sa prédestination à la sainteté. Sean L. Field retrace les fastes et les déboires de ces mulieres sanctae qui surent inspirer une crainte matinée de fascination : Isabelle de France, Douceline de Digne, Elisabeth de Spalbeek, Paupertas de Metz, Margueronne de Bellevillette et Marguerite Porete. L'analyse de leurs actions, racontées par elles-mêmes ou par d'autres, met au jour un modèle de sainteté royale à la française, tout en dévoilant le rapport ambivalent que la cour entretint avec le sacré et ses incarnations féminines.

03/2022

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